Lesmensonges les plus courants des hommes. La confiance est un Ă©lĂ©ment majeur de toutes relations affectives. Voici pourquoi : les hommes mentent aux femmes, les femmes mentent aux hommes. Et la plupart des gens sont dâaccord avec le fait que, parfois, mentir est nĂ©cessaire, soit pour Ă©viter des querelles inutiles soit pour prĂ©server lâunitĂ© dâune relation.
Une Ă©vidence pour beaucoup de chrĂ©tiens ! Pourtant la chose nâest pas si simple que ça ! Cette pensĂ©e sâappuie sur ĂphĂ©siens 5 23 Car lâhomme est le chef de la femme » voir aussi 1 Co 11 3. Chef » pas la meilleure traduction Cependant, il ne sâagit pas dâune traduction trĂšs heureuse. LittĂ©ralement ce verset dit Car lâhomme est la tĂȘte kĂ©phalĂš de la femme ». Si lâon prend en compte le contexte, on voit clairement que Paul parle ici du mariage. Ainsi la traduction Car le mari est la tĂȘte de sa femme » NFC rend mieux lâoriginal, aner pouvant aussi vouloir dire mari. Tout homme nâest pas la tĂȘte de toute femme dans son entourage, mais le mari est la tĂȘte de son Ă©pouse. Il est important de le souligner, car ce texte est parfois utilisĂ© pour affirmer que les femmes ne pourraient assumer de rĂŽle de direction dans lâĂglise, et mĂȘme en dehors de lâĂglise, dans une Ćuvre para-ecclĂ©siale ou dans une entreprise sĂ©culiĂšre. TĂȘte » est plus appropriĂ© Selon plusieurs dictionnaires le terme grec kĂ©phalĂš, qui dĂ©signe tout dâabord la tĂȘte physique, peut ĂȘtre traduit par tĂȘte ou par chef. Cependant tĂȘteââ signifiant chefââ nâest pratiquement pas attestĂ© dans la littĂ©rature grecque sĂ©culaire ou paĂŻenne avant le 4e siĂšcle de notre Ăšre »[1]. Et quand dans lâAncien Testament le mot hĂ©breu pour tĂȘte rosh » a le sens de chef », la Septante ne le traduit gĂ©nĂ©ralement pas par kĂ©phalĂš »[2] ! Nous privilĂ©gions donc la traduction tĂȘte » qui est la plus neutre. Une traduction a pour but de rendre le mieux lâoriginal tout en Ă©tant comprĂ©hensible pour le public cible. Traduire kĂ©phalĂš » par chef » a le dĂ©savantage dâĂȘtre porteur de prĂ©supposĂ©s et de tout un poids de tradition. Câest un terme chargĂ© qui comporte le risque que les lecteurs et lectrices dâaujourdâhui plaquent sur lui la comprĂ©hension actuelle du mot chef ». Chef » introduit la notion dâ autoritĂ© » En effet, chef » introduit la notion dâ autoritĂ© » ou de hiĂ©rarchie ». Pourtant, mĂȘme quand Paul parle dans ce mĂȘme passage de se soumettre mutuellement au sein de la communautĂ© chrĂ©tienne et prĂ©cise vous les femmes Ă votre mari » Ăph 5 22, il ne sâagit pas dâentrer dans des rapports dâautoritĂ©. ValĂ©rie Duval-Poujol affirme Paul aurait pu choisir dâautres mots plus clairs qui existent en grec. Or il fait le choix dâun verbe qui dĂ©signe une dĂ©marche volontaire, dans lâamour, qui peut se comprendre comme ĂȘtre fidĂšle, ĂȘtre un appuiââ »[3]. Le mariage est ainsi dĂ©crit comme un vivre ensemble » dans le don de soi, lâamour et le respect mutuels. La relative neutralitĂ© de tĂȘte » va dans ce sens. Elle oblige le lecteur Ă plonger plus profondĂ©ment dans le mouvement du texte et Ă le dĂ©cortiquer dans une attitude dâĂ©coute de lâEsprit saint avec lâensemble de la communautĂ© chrĂ©tienne pour se laisser transformer par lui et en saisir la portĂ©e subversive. Deux tĂȘtes, deux corps ! Car que dit Paul dans ce passage quand il dit que le mari est la tĂȘte de sa femme » ? La femme est appelĂ©e Ă tenir compte du fait quâelle nâa plus quâune tĂȘte, mais deux. En se mariant elle ne devient pas un corps sans tĂȘte. Elle ne doit pas non plus remplacer la sienne par celle de son mari. Mais elle doit se souvenir quâelle a reçu une deuxiĂšme tĂȘte. Comme le dit si bien JoĂ«lle Razanajohary-Sutter Elle reste responsable de sa vie, de ses choix, de son salut, de sa relation avec Dieu, comme tout disciple lâest. Ce qui est demandĂ© Ă lâĂ©pouse, câest de comprendre et dâagir comme si elle en [tĂȘte] avait deux. Autrement dit de tenir compte des raisonnements de son autre tĂȘte et de se soumettre Ă elle dans le respect »[4], Ă lâimage du Christ ! Le mari, de son cĂŽtĂ©, est appelĂ© Ă se souvenir quâil nâa plus un seul corps. Il en a deux[5] Les maris doivent donc aimer leur femme comme ils aiment leur propre corps » Eph 5 28. Prendre soin de son deuxiĂšme corps est une prioritĂ© pour lui. Le mari est la tĂȘte de sa femme, il a la prééminence pour prendre soin dâelle, Ă lâimage du Christ ! Cela a quelque chose Ă avoir avec le fait de prendre une bassine et de laver les pieds de lâautre. Câest se dĂ©pouiller de ses propres droits et laver les pieds de ceux qui sont censĂ©s, selon la conception du monde, ĂȘtre en-dessous de soi, en se plaçant soi-mĂȘme sous leurs pieds. »[6] Suggestion de lecture JoĂ«lle Sutter-Razanajohary, Que les femmes soient soumises » Les consĂ©quences dâune soumission non biblique ». Mary Cotes, Qui doit pratiquer la soumission dans le mariage ? » Le deuxiĂšme livre de JoĂ«lle Sutter-Razanajohary, Une invitation Ă la danse. La mĂ©taphore conjugale dans la Bible dont vous pouvez regarder la vidĂ©o de prĂ©sentation ici ou lire la recension ici. Ne manquez pas les autres articles bingodesclichĂ©s La Bible est claire, il suffit de la lire Nâoubliez pas lâordre crĂ©ationnel LâautoritĂ© masculine Dâautres articles sont Ă venir dans la sĂ©rie bingodesclichĂ©s le premier vendredi de chaque mois. Il sâagit dâun bingo des phrases entendues couramment. Un bingo de certaines idĂ©es reçues sur le ministĂšre pastoral des femmes. En 9 courts articles nous aimerons y apporter une rĂ©ponse et donner des pistes pour aller plus loin. Nous sommes impatientes de partager la suite avec vous ! RĂ©fĂ©rences [1] Marg Mowczko, 4 reasons âheadâ does not mean âleaderâ in 1 Corinthians 113 », en ligne consultĂ© le 17/01/2022, en sâappuyant sur Al Wolters, Head as Metaphor », Koers 2011 137-153, 142. [2] Cf. Marg Mowczko, 4 reasons âheadâ does not mean âleaderâ in 1 Corinthians 113 », en ligne consultĂ© le 17/01/2022. [3] ValĂ©rie Duval-Poujol, La Bible est-elle sexiste ?, Ăditions empreinte temps prĂ©sent, Paris, 2021, p. 212. [4] JoĂ«lle Sutter-Razanajohary, Que les femmes soient soumises » Les consĂ©quences dâune soumission non biblique ». [5] LâidĂ©e vient du mĂȘme article. [6] JoĂ«lle Sutter-Razanajohary, Une invitation Ă la danse. La mĂ©taphore conjugale dans la Bible, OlivĂ©tan, Lyon, 2021, p. 76.
DemĂȘme que pour le point prĂ©cĂ©dent, ce nâest pas une surprise : le regard des hommes est inĂ©vitablement attirĂ© Ă un moment de la soirĂ©e par le derriĂšre de la jeune femme quâils
Cette sĂ©rie dâarticles rend compte de mon intervention lors de la journĂ©e Points Chauds » du 2 mai 2019 au Centre de Formation du Bienenberg. Pour obtenir davantage dâinformations quant au journĂ©es-dĂ©bats Points chauds », visitez ce lien. ** Comme je lâindiquais la semaine derniĂšre, je publie depuis le 2 mars 2019 les notes de mon dĂ©bat avec Yoder, lors duquel je dĂ©fendais la position complĂ©mentariste traditionnelle. Jâai commencĂ© lâensemble des textes clĂ©s de GenĂšse 1-3, que jâestime fondamentaux, et y ai relevĂ© Que la crĂ©ation de lâhomme et de la femme Ă lâimage de Dieu offre quelques indices en faveur du complĂ©mentarisme voir ici Que la crĂ©ation de la femme de lâhomme et pour lâhomme implique une relation de direction/subordination entre les deux voir ici Que la chute a changĂ© de maniĂšre tragique cette complĂ©mentaritĂ© idĂ©ale en une relation de domination abusive, avec toutes les dĂ©rives que nous connaissons aujourdâhui voir ici MĂȘme si les textes les plus dĂ©battus se situent dans le Nouveau Testament, plus spĂ©cifiquement dans les Ă©crits pauliniens, je maintiens que la clĂ© du dĂ©bat se trouve dans lâinterprĂ©tation des rĂ©cits de la crĂ©ation. Comme je lâindiquais dans le dernier article de la sĂ©rie, publiĂ© la semaine derniĂšre voir ici, lâensemble des passages de lâĂcriture ultĂ©rieurs Ă GenĂšse 1-3 touchant directement aux questions de masculinitĂ© et de fĂ©minitĂ© font systĂ©matiquement rĂ©fĂ©rence aux rĂ©cits bibliques des origines. Ainsi, par exemple, le passage tant dĂ©criĂ© de la soumission de la femme Ă lâhomme en ĂphĂ©siens fait clairement appel Ă Cette semaine, nous nous tournons vers un autre passage controversĂ© đ Un texte unique en son genre Ce passage, câest celui de 1 Co la seule et unique rĂ©fĂ©rence au port du voile dans tout le Nouveau Testament. MĂȘme si la formule dâintroduction est obscure Paul y rĂ©pond sans doute Ă une question ou Ă une affirmation erronĂ©e de lâune des factions qui sâentre dĂ©chiraient au sein de lâĂglise de Corinthe. Lâobjectif de Paul est apparement de justifier lâune de ses instructions antĂ©rieures relative au port du voile. Dans cet article, mes commentaires seront limitĂ©s Ă la question de la masculinitĂ© et de la fĂ©minitĂ©. Pour une exposition plus dĂ©taillĂ©e de ce texte, et Ă©ventuellement si mon avis sur la question du port voile vous intĂ©resse, Ă©coutez ce podcast. Une analogie trinitaire Pour Paul, le port du voile est intimement liĂ© Ă la relation quâentretiennent les chrĂ©tiens et les chrĂ©tiennes de Corinthe. Au sein de la sĂ©rie dâarguments quâil propose, on retrouve une analogie trinitaire mettant en parallĂšle entre le rapport ente lâhomme et la femme avec le rapport en le PĂšre et Christ En substance, lâargument de Paul est hiĂ©rarchique Dieu le PĂšre est le chef litt., la tĂȘte », kephalĂš de Christ, qui est lui-mĂȘme le chef de tout homme, ce dernier Ă©tant lui-mĂȘme le chef de la femme. Selon Paul, toute femme non voilĂ©e dĂ©shonore son chef, tandis que câest lâinverse pour lâhomme GĂ©nĂ©ralement, les dĂ©bats se focalisent ici sur deux points. 1- La relation de subordination trinitaire dĂ©crite dans ce passage Cette relation intra-trinitaire a Ă©tĂ© lâobjet de nombreux dĂ©bats au sein du monde Ă©vangĂ©lique ces vingt derniĂšres annĂ©es. Certains thĂ©ologiens complĂ©mentariens Bruce Ware, Wayne Grudem [qui a beaucoup Ă©voluĂ© dans ses positions], Denny Burk, Mark Thompson, Mike Ovey dĂ©fendent leur position en affirmant que le Fils est Ă©ternellement soumis au PĂšre de maniĂšre fonctionnelle au sein de la TrinitĂ© on appelle cette position EFS, Eternal Functional Submission of the Son. Les thĂ©ologiens Ă©galitariens rejettent cette affirmation au motif quâelle est hĂ©tĂ©rodoxe, voire hĂ©rĂ©tique, et quâelle sâĂ©carte trĂšs nettement des dĂ©finitions Ă©tablies aux conciles de NicĂ©e et de Constantinople. Sur ce point, ce sont les Ă©galitariens qui ont raison, et les dĂ©fenseurs du thĂ©isme classique dont je suis ne peuvent que constater les dĂ©gĂąts causĂ©s par certaines formulations hasardeuses des thĂ©ologiens complĂ©mentariens mentionnĂ©s ci-dessus. Lâanalogie trinitaire avancĂ©e par Paul au verset 3 nâest quâune analogie en voulant la pousser trop loin, lâon risque de glisser dans lâerreur subordinatianiste OrigĂšne. Je reste personnellement convaincu que Paul sâappuie sur la relation entre le PĂšre et le Fils incarnĂ© pour construire son analogie. Il nâest nullement nĂ©cessaire de spĂ©culer sur les relations intra-trinitaires Ă©ternelles pour affirmer ou infirmer le complĂ©mentarisme. 2- La traduction du mot kephalĂš Depuis 1954, suite Ă un influent article de Stephen Bedale, le sens mĂ©taphorique de direction donnĂ© Ă kephalĂš est rĂ©guliĂšrement contestĂ© au profit de la traduction source ». Si nous devons suivre cette proposition, alors il nous faut accepter que Paul ne dĂ©veloppe aucun argument hiĂ©rarchique en 1 Cor 11, mais quâil suit plutĂŽt la logique procrĂ©ationelle » que les Ă©galitariens pensent pouvoir lire dans les rĂ©cits des origines voir les trois premiers articles de cette sĂ©rie sur Gen 1-3, notamment celui-ci. Il mâest impossible de rendre compte de lâensemble des dĂ©bats que cette proposition a suscitĂ©. Je reste personnellement convaincu que la traduction source » est indĂ©fendable, en particulier en 1 Cor 11, et je me rallie pleinement aux conclusions de Sylvain Romerowski dont je vous encourage Ă lire les travaux Ă ce sujet dans la Revue de ThĂ©ologie EvangĂ©lique. Voir lâarticle initial ici et son complĂ©ment ici. Grudem, Ă mon sens, a mis fin au dĂ©bat dĂšs 1985 en analysant prĂšs de 2 336 occurrences de kephalĂš dans la littĂ©rature hellĂ©nistique voir ici, en anglais. Certes, plusieurs spĂ©cialistes Ă©galitatiens ont tentĂ© de rĂ©pondre Ă son article, sans se montrer rĂ©ellement convaincant. Grudem rĂ©pond Ă leurs principales critiques dans un article de JETS en 2001 voir ici, en anglais. Un appel Ă lâordre crĂ©ationnel Bien que Paul utilise kephalĂš dans le sens de tĂȘte », au sein dâune mĂ©taphore visant Ă dĂ©crire une forme de hiĂ©rarchie, il fait tout de mĂȘme appel Ă lâargument de lâorigine de la femme dans un deuxiĂšme temps Lâhomme nâa pas Ă©tĂ© tirĂ© de la femme, mais la femme a Ă©tĂ© tirĂ©e de lâhomme, et lâhomme nâa pas Ă©tĂ© créé Ă cause de la femme, mais la femme a Ă©tĂ© créée Ă cause de lâhomme » Il en tire la conclusion Ă©nigmatique du Câest pourquoi la femme, Ă cause des anges, doit avoir sur la tĂȘte [une marque de lâ] autoritĂ© dont elle dĂ©pend. » Traditionnellement, la rĂ©fĂ©rence aux anges est expliquĂ©e par EphĂ©siens texte selon lequel le monde invisible, dĂ©signĂ© par le couple domination et autoritĂ© », apprend la sagesse infiniment variĂ©e de Dieu par lâEglise ». Cette explication est plausible, mais il faut reconnaĂźtre que la formule de Paul est bien trop laconique pour trancher avec certitude. Sans doute faisait-il rĂ©fĂ©rence Ă lâun de ses enseignements donnĂ©s Ă Corinthe lors de son sĂ©jour, de sorte que ses lecteurs savaient exactement Ă quoi il se rĂ©fĂ©rait. Il me semble toutefois que lâemprunt textuel appuie largement lâidĂ©e de hiĂ©rarchie Ă©tablie par Paul au dĂ©but du chapitre 11. En se rĂ©fĂ©rant Ă la crĂ©ation de la femme de lâhomme et pour lâhomme, Paul rappelle que la responsabilitĂ© de direction a Ă©tĂ© confiĂ©e Ă ce dernier dĂšs lâĂ©tat de perfection. Et son instruction sur le voile sert Ă manifester cette rĂ©alitĂ© Ă cause des anges », quoi que cela signifie. AutoritĂ©, mais de qui ? Les discussions autour de cet obscur se focalisent surtout sur la notion dâautoritĂ© exoucia. Ce terme peut recouvrir une multitude de sens, comme le pouvoir, la libertĂ©, ou de droit. La frontiĂšre entre chacun de ces concepts est parfois bien fine, et ils peuvent mĂȘme se superposer en certains contextes. Comme je lâai indiquĂ©, le laconisme du nâaide pas les interprĂštes. La plupart de nos traductions sont obligĂ©es de supplĂ©er certains mots par exemple, dans la NEG79, le terme marque » et lâexpression dont elle dĂ©pend » sont en rĂ©alitĂ© interpolĂ©s par les traducteurs. Les thĂ©ologiens Ă©galitariens adoptent deux principales stratĂ©gies interprĂ©tatives ils contestent toute rĂ©fĂ©rence Ă une notion dâautoritĂ© ou, lorsquâils lâacceptent, ils cherchent Ă la confĂ©rer Ă la femme en traduisant elle doit avoir sur la tĂȘte une marque de sa propre autoritĂ© ». Cependant, de telles interprĂ©tations nâont aucun sens au regard de la logique employĂ©e par lâapĂŽtre dans ce passage, surtout si kephalĂš Ă©tablit un contexte de direction/subordination, comme je le pense. Avec Romerowski voir son article ici, jâestime quâexoucia fait bien rĂ©fĂ©rence Ă lâautoritĂ© de lâhomme, chef » de la femme Reste Ă savoir qui est lâhomme dont il est question ici est-ce le mari, comme le conclut Romerowski ? Tous les hommes en gĂ©nĂ©ral ? Qui est donc ce chef de la femme » ? Je ne crois pas que 1 Cor 11 suggĂšre que toute femme est appelĂ©e Ă se subordonner Ă tous les hommes en gĂ©nĂ©ral. Aucun texte du canon biblique ne va dans ce sens. La relation intertextuelle que ce texte entretient avec GenĂšse 1-3 suggĂšre plutĂŽt que Paul fait simplement rĂ©fĂ©rence Ă lâordre crĂ©ationnel il rappelle le principe initial selon lequel la responsabilitĂ© de direction est confiĂ©e Ă lâhomme, qui en retour est appelĂ© Ă exercer un leadership sacrificiel envers la femme, Ă lâaimer, Ă la chĂ©rir, et travailler conjointement avec elle Ă lâavancement du Royaume de Dieu. Câest ce principe qui est matĂ©rialisĂ© par le port du voile. Ă suivre. Ces ressources pourraient vous intĂ©resser VoilĂ pourquoi JĂ©sus peut pardonner vos pĂ©chĂ©s FĂ©minisme et esclavagisme Une autre chair », Jude 7 et lâhomosexualitĂ©
Il est difficile d'identifier avec précision les origines de la philosophie des droits de l'homme. Le regard de l'observateur est en effet assez mécaniquement obscurci par une forme de paréidolie historique qui le pousse à voir rétrospectivement dans des textes anciens des expressions de cette philosophie » [18].Ainsi, le cylindre de Cyrus est souvent mentionné anachroniquement
Question RĂ©ponse 1 Corinthiens aborde la question des femmes et du voile. Le contexte de ce passage est la soumission Ă lÊŒordre instituĂ© par Dieu et Ă la chaĂźne dÊŒautoritĂ© ». Le voile qui couvre la tĂȘte dÊŒune femme est employĂ© pour illustrer lÊŒordre, la seigneurie et lÊŒautoritĂ© divine. Le verset-clĂ© de ce passage est 1 Corinthiens Je veux cependant que vous sachiez ceci Christ est le chef de tout homme, lÊŒhomme est le chef de la femme, et Dieu est le chef de Christ. » Le reste du passage traite des implications de cette vĂ©ritĂ©. Voici lÊŒordre dÊŒautoritĂ© Dieu le PĂšre, Dieu le Fils, le mari, puis la femme. Le voile qui couvrait la tĂȘte dÊŒune femme corinthienne croyante montrait quÊŒelle Ă©tait sous lÊŒautoritĂ© de son mari, donc soumise Ă Dieu. Le verset 10 est intĂ©ressant VoilĂ pourquoi, Ă cause des anges, la femme doit porter sur la tĂȘte une marque dÊŒautoritĂ©. » Pourquoi est-ce important pour les anges quÊŒune femme se couvre la tĂȘte ? Nous savons que les hommes apprennent de la relation de Dieu avec lÊŒhumanitĂ© 1 Pierre La soumission dÊŒune femme Ă lÊŒautoritĂ© dĂ©lĂ©guĂ©e par Dieu est donc un exemple pour les anges. Les saints anges, qui sont parfaitement soumis Ă Dieu, sÊŒattendent Ă ce que nous, en tant que disciples de Christ, le soyons aussi. La couverture mentionnĂ©e au verset 13 pouvait ĂȘtre un tissu, mais aussi une rĂ©fĂ©rence Ă la longueur des cheveux dÊŒune femme, comme le montrent les deux versets suivants La nature elle-mĂȘme ne vous enseigne-t-elle pas que cÊŒest une honte pour lÊŒhomme de porter les cheveux longs, alors que cÊŒest une gloire pour la femme dÊŒen porter parce que la chevelure lui a Ă©tĂ© donnĂ©e pour lui servir de voile. » 1 Corinthiens Dans le contexte de ce passage, une femme aux cheveux plus longs se distingue clairement en tant que femme, et non en tant quÊŒhomme. LÊŒapĂŽtre Paul dit que, dans la culture corinthienne, quand les cheveux dÊŒune femme Ă©taient plus longs que ceux de son mari, cela montrait sa soumission Ă son autoritĂ©. Les rĂŽles masculin et fĂ©minin ont Ă©tĂ© conçus par Dieu pour symboliser une leçon spirituelle profonde la soumission Ă la volontĂ© et Ă lÊŒordre de Dieu. Mais pourquoi les cheveux Ă©taient-ils un problĂšme Ă Corinthe ? La rĂ©ponse est liĂ©e Ă la culture de lÊŒĂ©poque la ville de Corinthe avait un temple dĂ©diĂ© Ă Aphrodite, la dĂ©esse de lÊŒamour, un endroit rĂ©putĂ© pour sa pratique de la prostitution sacrĂ©e. Les femmes qui servaient dans le temple avaient la tĂȘte rasĂ©e. Dans la culture corinthienne, une femme Ă la tĂȘte rasĂ©e Ă©tait une prostituĂ©e du temple. Paul Ă©crit Ă lÊŒĂglise quÊŒune femme tondue ou rasĂ©e devait avoir la tĂȘte couverte 1 Corinthiens parce quÊŒune femme dĂ©pouillĂ©e de ses cheveux avait perdu sa gloire » et nÊŒĂ©tait pas sous la protection dÊŒun mari. Une tĂȘte rasĂ©e et dĂ©couverte communiquait le message suivant Je refuse de me soumettre Ă lÊŒordre divin. » Par consĂ©quent, Paul enseigne aux Corinthiens que la longueur des cheveux ou le port dÊŒun voile par une femme Ă©taient une manifestation extĂ©rieure de sa soumission Ă Dieu et Ă lÊŒautoritĂ© Ă©tablie par lui. CÊŒĂ©tait une maniĂšre pour lÊŒĂglise de Corinthe de se sĂ©parer de la culture paĂŻenne corrompue qui les environnait 2 Corinthiens Ce passage nÊŒenseigne pas que la femme est infĂ©rieure Ă lÊŒhomme ou quÊŒelle doit ĂȘtre soumise Ă chaque homme il expose seulement lÊŒordre divin et la direction spirituelle dans la relation conjugale. Dans la culture corinthienne, une femme qui se couvrait la tĂȘte pendant le culte ou en public manifestait sa soumission Ă lÊŒautoritĂ©. Dans notre culture aujourdÊŒhui, le voile fĂ©minin nÊŒest plus considĂ©re comme un signe de soumission. Dans la plupart des sociĂ©tĂ©s modernes, les foulards et couvre-chefs ne sont rien de plus que des accessoires de mode. Une femme dÊŒaujourdÊŒhui peut toujours porter un voile si elle le considĂšre comme un signe de sa soumission Ă lÊŒautoritĂ© de son mari, mais cÊŒest un choix personnel et non un signe de spiritualitĂ©. Le vĂ©ritable problĂšme est lÊŒattitude du cĆur lÊŒobĂ©issance et la soumission Ă lÊŒautoritĂ© comme au Seigneur » ĂphĂ©siens Dieu se soucie bien plus de ce quÊŒil y a dans nos cĆurs que de ce qui couvre nos tĂȘtes. English Retour Ă la page d'accueil en français Les femmes chrĂ©tiennes doivent-elles se couvrir la tĂȘte ?
Quandun chef de clan est arrĂȘtĂ©, il nâest pas rare que celui-ci insiste pour que sa compagne ou sa soeur reprenne le pouvoir. Ces «femmes dâhonneur», ne se contentent plus de tenir leurs foyers, mais jouent un rĂŽle actif dans lâorganisation. Elles sont une centaine aux mains de la justice contre plus de 6 000 hommes emprisonnĂ©s. La
Question RĂ©ponse Bien que lâhomme et la femme soient Ă©gaux devant Christ, les Ăcritures leur attribuent des rĂŽles spĂ©cifiques dans le mariage. Le mari doit assumer la direction du foyer 1 Corinthiens ĂphĂ©siens Son rĂŽle de chef de famille ne doit pas ĂȘtre autoritaire, hautain ou condescendant envers la femme, mais doit suivre lâexemple de Christ avec lâĂglise. Maris, aimez votre femme comme Christ a aimĂ© lâĂglise. Il sâest donnĂ© lui-mĂȘme pour elle afin de la conduire Ă la saintetĂ© aprĂšs lâavoir purifiĂ©e et lavĂ©e par lâeau de la parole. » ĂphĂ©siens Christ a aimĂ© lâĂglise son peuple avec compassion, misĂ©ricorde, pardon et respect, sans rien attendre en retour. Câest ainsi que les maris doivent aimer leurs Ă©pouses. Les femmes doivent se soumettre Ă lâautoritĂ© de leur mari. Femmes, soumettez-vous Ă votre mari comme au Seigneur, car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de lâĂglise qui est son corps et dont il est le Sauveur. Mais tout comme lâĂglise se soumet Ă Christ, que les femmes aussi se soumettent en tout Ă leur mari. » ĂphĂ©siens Si les femmes doivent se soumettre Ă leur mari, la Bible dit aussi Ă plusieurs reprises aux hommes comment ils doivent se comporter avec leur femme pas comme des dictateurs, mais et la respectant, elle et ses opinions. En fait, ĂphĂ©siens exhorte les maris Ă aimer leurs femmes comme leur propre corps, quâils nourrissent et dont ils prennent soin. Lâamour dâun homme pour sa femme devrait ĂȘtre le mĂȘme que lâamour de Christ pour son corps, lâĂglise. Femmes, soumettez-vous Ă votre mari comme il convient dans le Seigneur. Maris, aimez votre femme et ne vous aigrissez pas contre elle. » Colossiens Maris, vivez de mĂȘme en montrant de la comprĂ©hension Ă votre femme, en tenant compte de sa nature plus dĂ©licate ; montrez-lui de lâestime, car elle doit hĂ©riter avec vous de la grĂące de la vie. Agissez ainsi afin que rien ne fasse obstacle Ă vos priĂšres. » 1 Pierre Dans ces versets, on voit que le rĂŽle du mari comme de la femme se caractĂ©rise par lâamour et le respect. Ă partir de lĂ , lâautoritĂ©, la direction, lâamour et la soumission ne poseront problĂšme Ă aucun des deux conjoints. Pour ce qui est du partage des responsabilitĂ©s au sein du foyer, la Bible demande aux maris de pourvoir aux besoins de leurs familles. Cela implique quâil travaille et gagne assez dâargent pour pourvoir Ă tous les besoins de la vie quotidienne pour sa femme et ses enfants. Manquer Ă cela a des consĂ©quences spirituelles claires Si quelquâun ne prend pas soin des siens, et en particulier des membres de sa famille proche, il a reniĂ© la foi et il est pire quâun non-croyant. »1 TimothĂ©e Un mari qui ne fait aucun effort pour pourvoir aux besoins de sa famille ne peut donc pas, en toute bonne conscience, se dire chrĂ©tien. Cela ne signifie pas dire que lâĂ©pouse ne puisse pas lâaider dans cette tĂąche Proverbes 31 montre quâune femme de valeur le fera certainement ; toutefois, ce nâest pas sa premiĂšre responsabilitĂ©, mais celle de son mari. Si le mari doit aider sa femme Ă sâoccuper des enfants et participer aux tĂąches mĂ©nagĂšres conformĂ©ment Ă son devoir dâaimer sa femme, Proverbes 31 dit clairement que le foyer est la principale sphĂšre dâinfluence et de responsabilitĂ© de la femme. MĂȘme si elle doit se coucher tard et se lever tĂŽt, elle sâoccupe bien de sa famille. Vivre ainsi nâest pas facile pour beaucoup de femmes, surtout dans les pays occidentaux dĂ©veloppĂ©s. Beaucoup trop de femmes sont stressĂ©es et dĂ©bordĂ©es jusquâĂ lâĂ©puisement. Pour Ă©viter cela, les deux conjoints doivent réévaluer leurs prioritĂ©s dans la priĂšre et suivre les injonctions bibliques quant leurs rĂŽles respectifs. Les conflits concernant la rĂ©partition des tĂąches dans le mariage sont inĂ©vitables, mais si les deux conjoints sont soumis Ă Christ, leur ampleur restera minime. Si les disputes Ă ce sujet sont trop frĂ©quentes ou virulentes ou semblent caractĂ©riser une union, il sâagit dâun problĂšme dâordre spirituel. Dans ce cas, les conjoints doivent se reconsacrer Ă la priĂšre et Ă la soumission, dâabord Ă Christ, puis lâun Ă lâautre, dans une attitude dâamour et de respect. English Retour Ă la page d'accueil en français Quel est le rĂŽle du mari et de la femme au sein de la famille ?
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Lâhomme, chef » de la femme ? par Jean-Pierre BORY Paul Ă©crit en 1 Co avec une certaine fermetĂ© et le rĂ©pĂšte presque mot Ă mot en Ep Je veux que vous sachiez que de tout homme, la tĂȘte kephalĂš câest Christ, la tĂȘte de la femme câest lâhomme, la tĂȘte de Christ câest Dieu ». Le triple usage de ce mot kephalĂš dans trois expressions parallĂšles dâune mĂȘme phrase oblige Ă lui donner un sens proche, voire identique dans chaque cas. Certains auteurs ont voulu attĂ©nuer ce qui apparaĂźt ici comme une suprĂ©matie masculine sur la femme ; ils y ont vu une influence culturelle qui aurait marquĂ© la conception de lâauteur ; ils rapprochent le dĂ©but du v. 3 du v. 8 de 1 Co 11 en relevant quâAdam est plutĂŽt la source » de la femme créée aprĂšs lâhomme, et Ă partir dâune cĂŽte de lâhomme selon Gn Cependant, il est difficile dâenlever au mot kephalĂš un sens de primautĂ©, de prééminence dans les deux expressions suivantes de 1 Co lâhomme nâest pas lâĂ©gal de Christ, fut-il croyant et enfant de Dieu ; et le Christ reconnaĂźt la prééminence du PĂšre par rapport Ă lui-mĂȘme en tant que personne, mĂȘme sâil y a identitĂ© dâessence entre le PĂšre et le Fils Tu mâas envoyĂ© » Jn JĂ©sus a appris lâobĂ©issance bien quâil fĂ»t Fils » HĂ© Dans ce dernier verset on a pensĂ© que ce nâĂ©tait que dans sa nature humaine que JĂ©sus avait souffert et sâĂ©tait soumis ; toutefois dâautres textes suggĂšrent que ce respect du Fils par rapport Ă la volontĂ© du PĂšre prĂ©cĂšde de loin le temps de lâincarnation Jn ; ; ; Ep ; Dieu est celui qui a conçu le dessein du salut par lâenvoi du Fils. Par ailleurs, dans le Nouveau Testament, le mot kephalĂš nâa jamais le sens de source hormis son emploi en 1 Co on le trouve dans 74 autres textes 58 fois avec le sens de tĂȘte, 11 fois de façon imagĂ©e il dĂ©signe le chef de lâarmĂ©e, la tĂȘte de lâarmĂ©e, et 5 fois encore il signale quâune chose est principale par exemple en Luc la pierre principale de lâangle ». Il serait surprenant que kephalĂš ait une seule fois le sens de source dans 1 Co sans idĂ©e de primautĂ©, de prééminence. Comment comprendre alors cette primautĂ© de lâhomme sur la femme ? La Bible met en Ă©vidence que les trois personnes de la trinitĂ© se prĂ©sentent dans un ordre », et non sur le mĂȘme rang. Nous voyons le PĂšre prendre des initiatives avant la fondation du monde » Ep Le PĂšre et Le Fils sont associĂ©s dans lâenvoi du Saint-Esprit Jn Et mĂȘme dans la gloire retrouvĂ©e, le Fils lui-mĂȘme se placera sous lâautoritĂ© de celui qui lui a tout soumis » 1 Co On ne peut que reconnaĂźtre un ordre dans la trinitĂ© le PĂšre, puis le Fils, puis le Saint-Esprit, tout en affirmant la pleine Ă©galitĂ© de ces trois personnes, en essence, en puissance, en divinitĂ©, en gloire le Fils et le PĂšre sont unis intrinsĂšquement le PĂšre est en moi et je suis dans le PĂšre Jn ; tout ce que le PĂšre a est Ă moi Jn La trinitĂ© reste un mystĂšre pour nous Ă nos yeux, prééminence du PĂšre et unitĂ© dâessence du PĂšre et du Fils semblent faire paradoxe, pourtant les textes bibliques affirment ces deux vĂ©ritĂ©s. Lâanalogie faite par lâapĂŽtre Paul Ă plusieurs reprises entre la relation qui existe Ă lâintĂ©rieur du couple humain avec celle qui lâest dans la trinitĂ©, aide Ă saisir les nuances difficiles Ă exprimer dans nos mots lorsque nous voulons dĂ©crire cette relation Paul affirme dans le couple homme-femme comme dans la trinitĂ© une unitĂ© de nature, une Ă©galitĂ© de valeur et un ordre des personnes. Câest Ă lâhomme de prendre certaines initiatives en tant que tĂȘte» du couple, mais il se doit aussi dâimiter le Christ, tĂȘte de lâEglise » qui a aimĂ© lâEglise et a donnĂ© sa vie pour elle, qui sâest fait serviteur lui-mĂȘme des disciples dont il Ă©tait le maĂźtre, invitant les disciples Ă lâimiter. Devant Dieu, homme et femme sont Ă©galement objets de son amour, ont Ă©galement accĂšs au salut et Ă sa communion Ga cependant Dieu confĂšre Ă lâhomme des responsabilitĂ©s et une mission particuliĂšre vis-Ă -vis de son Ă©pouse, responsabilitĂ©s quâil ne peut toutefois accomplir en dominant mais en aimant et en servant.
BelAmi est nĂ© au plus beau moment de la premiĂšre grande pĂ©riode de spĂ©culation qui ait marquĂ© l'histoire de la troisiĂšme RĂ©publique et mĂ©rite d'ĂȘter considĂ©rĂ© comme le chef d'oeuvre qu'ait inspirĂ© les Ă©vĂ©nements de cette pĂ©riode. AndrĂ© Vial , Guy de Maupassant et l'art du roman,1954. Source bibliographique.
Introd Le Foyer chrĂ©tien donnĂ© par DIEU Ă la crĂ©ation, reflĂšte une vie parfaite avec DIEU. Malheureusement, il existe le pĂ©chĂ© qui met en dĂ©sordre, dĂ©saccord le mariage que DIEU a instituĂ©. 1. Le mariage. Gn ; DIEU les bĂ©nit et leur dit Soyez fĂ©cond, multipliez, dominez sur toutes choses de la terreâŠâŠ Il nâest pas bon que lâhomme soit seul, câest pourquoi lâhomme quittera son pĂšre et sâattachera Ă sa femme et deviendront une seule chair.. ». DIEU mĂȘme a instituĂ© le mariage Ă la crĂ©ation, parce quâil voyait que lâhomme serait malheureux, triste. Il doit rester ensemble afin quâil deviennent un, une seule personne en Christ. Matt Ainsi, ils ne sont plus 2, mais ils sont une seule chair. Que lâhomme donc ne sĂ©pare pas ce que DIEU a joint.. ». De mĂȘme, lâhomme quittera son pĂšre et sâattachera Ă sa femme. DIEU a instituĂ© le mariage et quand un homme Ă©pouse une femme, ils sont unis pour la vie, alors lâhomme ne pourra plus les sĂ©parĂ©, car ils sont pour la vie. Ex Tu ne commettra point dâadultĂšre.. ». En faite dans le mariage, il y a le pĂ©chĂ© qui fait rage. Il dĂ©truit le mariage et lâhomme ou la femme va voir ailleurs ». Pourtant la loi de DIEU est contre ces choses. 2. Des conseils pour avoir un mariage heureux. Eph Femme que chacune soit soumise Ă son mari, comme au Seigneur, car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de lâEglise qui est son corps.. ». Pour avoir un mariage heureux, que homme et femme sont soumis lâun Ă lâautre, comme câest. De mĂȘme ce verset nous dĂ©clare, que lâhomme est le chef du foyer, comme Christ est le chef de LâEglise. Tite Le but dâapprendre aux jeunes femmes Ă aimer leurs maris et leurs enfants, Ă ĂȘtre retenus, occupĂ©s aux soins domestiques, afin que la Parole de DIEU ne soit pas calomniĂ©s.. » La femme doit aimer son mari et ses enfants. De mĂȘme son rĂŽle est de sâoccuper des affaires de la maison afin que la Parole de DIEU ne soit pas calomniĂ©s Prov Mieux vaut habiter Ă lâangle dâun toit, que de partager la demeure dâune femme querelleuse. LâĂąme du mĂ©chant dĂ©sire le mal.. ». De mĂȘme pour que le foyer soit respectĂ©, il faut que la femme ne soit pas querelleuse, il doit avoir une communion intime, afin que lâamour rĂšgne dans le foyer. Eph Câest ainsi que le mari doit aimer sa femme comme son propre corps, car personne nâa pu haĂŻr sa propre chair, mais il lâa nourrit et en prends soin.. ». De mĂȘme le mari doit aimer sa femme, le chĂ©rir comme son propre corps, car il forme un seul corps par le mariage. Il doit en prendre soin, la nourrir et lâaimer de toute son cĆur. Col Mari que chacun aime sa femme et ne sâaigrisse pas contre elle.. ». En faite le principe du mariage doit ĂȘtre lâamour. Il doit ĂȘtre patient, calme. Il ne doit pas sâĂ©nerver pour rien, car on doit supporter tout. 3. LâĂ©ducation des enfants. Prov Instruit lâenfant selon la voie quâil doit suivre, Et il sera vieux il ne sâen dĂ©tournera point ⊠». En tant que parent, nous devons Ă©duquer les enfants dans la vĂ©ritĂ©, les conduire vers Christ, notre Sauveur. LâĂ©ducation spirituelle est trĂšs importante dans sa vie future. Prov Celui qui mĂ©nage sa verge hait son fils, mais celui lâaime chercher Ă le corriger.. ». De mĂȘme, nous voyons que lâenfant doit recevoir la correction afin de le conduire dans la bonne direction. Car DIEU lui-mĂȘme, nous donnera des Ă©preuves et difficultĂ©s Ă surmonter qui correspondront aux corrections de nos parents qui veulent nous corriger. JosuĂ© Si nous ne trouvez pas bon de servir DIEU, choisissez aujourdâhui qui vous voulez servir, soit les dieux que vos pĂšres ont servi, des dieux paĂŻens. Mais Moi et Ma maison nous serviront lâEternel.. ». En tant que parent, nous dĂ©cidons de servir DIEU notre Sauveur. Câest pour cela quâil enseignera Ă leurs enfants lâimportance dâobĂ©ir Ă DIEU. Mais DIEU ne nous oblige pas Ă lui obĂ©ir, il nous laisse le choix de le faire vr Eccl 2 Tim Des ton enfance tu connais les saintes Ă©critures, qui peuvent te rendre sage pour le salut en JC. Tout Ă©criture est inspirĂ©e pour corriger, pour instruire, nous convaincre, nous enseigner. ». Lâenseignement que nous recevons de nos parents, nous permet dâobtenir le salut de JC, sa sagesse.. Conclusion Le foyer doit reprĂ©senter la vie de JC dans toute sa splendeur. Nous devons suivre lâexemple de JC, dans la vie de tout les jours donner le bon exemple de son amour pour nous. APPEL Jâhonorerai DIEU dans mon foyer.
Cetteaugmentation est le rĂ©sultat de lâapplication de la contrainte paritaire dans les dĂ©partements concernĂ©s par le scrutin de liste et des effets de la loi interdisant le cumul des mandats. Les Ă©lections lĂ©gislatives qui ont eu lieu en 2017 se sont aussi traduites par une forte progression de la paritĂ© avec 40 % de femmes dĂ©putĂ©es, contre 26 % en 2012.
ĂgalitĂ© des droits, divorce, Ă©ducation pour tous⊠Celle qui plaça la femme au cĆur de sa lutte, dans la tempĂȘte politique que fut la RĂ©volution, avait une libertĂ© de parole qui lui coĂ»ta la Laura Manzanera, Ă©crivainePublication 14 juil. 2021, 1400 CESTOlympe de Gouges remettant sa DĂ©claration des droits de la femme et de la citoyenne » Ă Marie-Antoinette. Estampe Ă©ditĂ©e en 1790. PHOTOGRAPHIE DE Claude-Louis Desrais illustrateur et Frussotte graveur, 1790./BibliothĂšque nationale de France, dĂ©partement Estampes et photographie/ GallicaControversĂ©e et embarrassante pour la RĂ©volution par ses opinions modĂ©rĂ©es, Olympe de Gouges est condamnĂ©e Ă mort en 1793. Juste avant que la lame ne tombe, elle sâexclame Enfants de la Patrie, vous vengerez ma mort ! » Elle ne reçoit quâune rĂ©ponse unanime Vive la RĂ©publique ! » DES ORIGINES MODESTES Elle est baptisĂ©e Ă Montauban sous le nom de Marie Gouze en 1748. Ses parents sont Anne-Olympe et Pierre Gouze, boucher, bien quâil soit de notoriĂ©tĂ© publique que son pĂšre biologique est lâauteur dramatique Jean-Jacques Lefranc de Pompignan. Son Ă©ducation elle apprend Ă peine Ă lire et Ă Ă©crire est trĂšs limitĂ©e. En 1765, elle est mariĂ©e de force Ă Louis-Yves Aubry, de qui elle eut son unique enfant. Elle est vite libĂ©rĂ©e de ce mariage en devenant veuve lâannĂ©e suivante, et ne se remariera jamais le mariage est pour elle le tombeau de lâamour et de la confiance ». Son idĂ©al du couple est une union entre homme et femme Ă travers un contrat qui, en cas de sĂ©paration, permet dâavoir avec dâautres personnes des enfants reconnus. DĂ©sireuse de commencer une nouvelle vie, elle change de nom et devient Olympe de » Gouges, une particule avec laquelle elle voulait sans doute masquer ses origines modestes. Sous cette nouvelle identitĂ©, elle sâinstalle Ă Paris avec son ami et amant Jacques BiĂ©trix, dont la gĂ©nĂ©rositĂ© lui permet de vivre sans soucis dâargent et de tenter sa chance comme Ă©crivaine. Olympe sâintĂšgre bien dans la France des apparences de Louis XVI et met Ă profit son esprit et son aisance Ă parler pour se faire une place dans lâĂ©lĂ©gante sociĂ©tĂ© parisienne, notamment dans les salons littĂ©raires tenus par des femmes, premiĂšre Ă©tape vers son ambition. MalgrĂ© sa mince Ă©ducation, elle sera lâautrice de plus de 4 000 pages pamphlets, lettres et piĂšces de théùtre, textes politiques, philosophiques et utopiques. La voici devenue femme de lettres. POLĂMIQUE EN PLEIN THĂĂTRE Ă cette Ă©poque, seule une minoritĂ© de Français lisaient couramment, ce qui explique le succĂšs rencontrĂ© par le théùtre, dont Paris Ă©tait la capitale. AprĂšs avoir assistĂ© au Mariage de Figaro de Beaumarchais, au théùtre de la ComĂ©die-Française, Olympe Ă©crit Le Mariage inattendu de ChĂ©rubin, personnage secondaire de lâĆuvre de Beaumarchais, qui lâaccuse de plagiat la piĂšce ne sera jamais jouĂ©e sur scĂšne. Portrait d'Olympe de Gouges attribuĂ© Ă Alexandre Kucharski. Pastel sur parchemin, vers DE WikimĂ©dia CommonsAprĂšs ce premier Ă©chec, Olympe se confronte en 1784 aux acteurs de la ComĂ©die-Française, le seul théùtre Ă disposer alors dâune troupe stable dâinterprĂštes, avec Zamore et Mirza, un drame dont le hĂ©ros est un esclave noir et dont le thĂšme, politiquement subversif, dĂ©fend lâabolitionnisme. Peut-ĂȘtre nâa-t-elle pas fait preuve de beaucoup de tact en insultant les comĂ©diens et en essayant de les soudoyer. La piĂšce est alors rayĂ©e du rĂ©pertoire de la ComĂ©die-Française. Le caractĂšre impulsif de la jeune femme lâa fait tomber dans le piĂšge des comĂ©diens, qui ont utilisĂ© une lettre de cachet â une lettre adressĂ©e au pouvoir royal â exigeant son emprisonnement. Un coup de chance et quelques protecteurs permettent cependant Ă Olympe de Gouges dâĂ©viter le pire, mais elle est dĂ©jĂ sur liste noire. Câest pourquoi elle a sans doute Ă©tĂ© la premiĂšre surprise lorsque, en dĂ©cembre 1789, est finalement jouĂ©e la premiĂšre de Zamore et Mirza. DISPOSITIONS HUMANISTES ET ENGAGEMENT SOCIAL Cette mĂȘme annĂ©e, le 5 mai, les Ătats gĂ©nĂ©raux de France ont Ă©tĂ© convoquĂ©s Ă Versailles. Mais la reprĂ©sentation du tiers Ă©tat â lâordre comprenant ceux qui nâappartenaient ni au clergĂ© ni Ă la noblesse, câest-Ă -dire la majoritĂ© des Français, y compris la grande bourgeoisie â nâest pas Ă©quitable, et cela dĂ©chaĂźne la tempĂȘte. Le peuple sâempare de la Bastille, les catogans remplacent les perruques, et la cocarde tricolore sâaffiche partout. La politique est Ă la mode, et Olympe en tire profit. Dans ses Ă©crits, elle exige des maisons pour les personnes ĂągĂ©es, les veuves avec des enfants et les orphelins, des ateliers pour les chĂŽmeurs ou un impĂŽt sur le luxe. Ses dispositions humanistes et son engagement social ne masquent pas un rapport avec sa propre situation elle a un fils et sâinquiĂšte pour les mĂšres, elle a Ă©tĂ© une Ă©pouse malheureuse et se bat pour le divorce, elle est une bĂątarde et exige la reconnaissance des enfants naturels, elle nâa reçu quâune maigre Ă©ducation et veut quâelle soit dispensĂ©e Ă tous. Mais ses positions modĂ©rĂ©es dressent contre elle tant les royalistes que les rĂ©volutionnaires ou patriotes ». Lors de la marche des femmes » sur Versailles, le 5 octobre 1789, des hommes de main font irruption chez elle et lâaccusent de revendications populaires et dâoffenses Ă la famille royale. Il est vrai quâOlympe, bourgeoise progressiste au grand cĆur, nâa jamais voulu sâĂ©loigner de lâaristocratie elle dĂ©fend une monarchie rĂ©formĂ©e et se dĂ©finit comme une patriote royaliste », deux termes alors peu conciliables. Et si elle voit dâun mauvais Ćil la dĂ©pensiĂšre Marie-Antoinette, elle exonĂšre en revanche Louis XVI. Son Ă©nergie et sa spontanĂ©itĂ© vont provoquer sa perte. Anonyme, Olympe de Gouges. Mine de plomb et aquarelle, dix-huitiĂšme siĂšcle. MusĂ©e du DE WikimĂ©dia CommonsNâappartenant Ă aucune formation politique, elle se fait beaucoup dâennemis, flottant dâun parti Ă lâautre, [âŠ], au flot de son cĆur », comme le dit dâelle Michelet dans son Histoire de la RĂ©volution française 1847-1853. Ses arguments changent, et elle finit par devenir contre-rĂ©volutionnaire ». Mais en 1791, bien quâaffectĂ©e par lâarrestation de la famille royale en fuite et malgrĂ© sa dĂ©fense de Louis XVI, elle revient au rĂ©publicanisme. Enfin, elle soutient les Girondins face aux Montagnards, ce qui signe sa condamnation Ă mort. DE LA PRISON Ă L'ĂCHAFAUD Parmi les principes dĂ©fendus puis abandonnĂ©s par la RĂ©volution se trouve la participation Ă la vie publique des femmes, qui ne sont plus habilitĂ©es Ă assister Ă aucune assemblĂ©e politique ». Déçue, Olympe publie en septembre 1791 la DĂ©claration des droits de la femme et de la citoyenne, considĂ©rĂ©e comme le premier manifeste fĂ©ministe. Olympe y rĂ©clame lâĂ©galitĂ© juridique et lĂ©gale des femmes, et inclut des rĂ©formes pionniĂšres, telles que le suffrage universel, le divorce ou le concubinage, qui ne deviendront rĂ©alitĂ© quâau XXe siĂšcle, voire, dans certains pays, seulement au XXIe siĂšcle. Sa chute est provoquĂ©e par une affiche oĂč elle propose que chaque dĂ©partement du pays choisisse entre trois types de gouvernement rĂ©publicain, fĂ©dĂ©ral ou monarchique. Elle nâest pas signĂ©e, mais une dĂ©lation la conduit devant le Tribunal rĂ©volutionnaire pour promouvoir une autre forme de gouvernement qui nâest pas la RĂ©publique », puis Ă la prison de la Conciergerie, oĂč elle continue Ă Ă©crire contre la terreur jacobine et son chef, Robespierre. Olympe est guillotinĂ©e deux semaines aprĂšs Marie-Antoinette, le 3 novembre 1793. La femme a le droit de monter sur lâĂ©chafaud ; elle doit avoir Ă©galement celui de monter Ă la tribune », avait-elle Ă©crit. On lui refuse la tribune. Mais, aprĂšs lâĂ©chafaud, elle tombe dans lâoubli. Certes, Olympe de Gouges nâa pas Ă©tĂ© la femme la plus vertueuse de son siĂšcle », selon ses propres mots ; mais nous devons Ă une ignorante de grandes dĂ©couvertes », affirme Mirabeau, activiste et thĂ©oricien de la RĂ©volution française. De nombreux contemporains voyaient en elle une rebelle sans cause, mais ses actions suivaient une stratĂ©gie rĂ©flĂ©chie. Elle a osĂ© en effet soulever des questions que les rĂ©volutionnaires eux-mĂȘmes ont ignorĂ©es. Et il faut admirer son esprit de dĂ©passement. Ătre provinciale, plĂ©bĂ©ienne, bĂątarde et dâĂ©ducation sommaire ne lâa pas empĂȘchĂ©e de faire entendre sa voix. Câest probablement en sa personne quâelle a poussĂ© le plus loin la devise LibertĂ©, ĂgalitĂ©, FraternitĂ© ». Cet article a initialement paru dans le magazine National Geographic Histoire et Civilisations. S'abonner au magazine
Lechef-d'oeuvre de la femme dans la société : se faire des amis utiles avec d'anciens amants. 31. Citation de célébrité. Alfred Capus. Artiste, Dramaturge, écrivain, Journaliste, Romancier (1857 - 1922) Proverbe Famille & Chef. Un bon chef de famille, c'est celui qui se montre un peu sourd. 770. Proverbe. Proverbe Chinois. Citation Verite & Chef. Quand on est chef de gouvernement
l'essentiel La FĂ©dĂ©ration nationale des Chasseur a dĂ©cidĂ© de porter plainte contre la dĂ©putĂ© EELV, qui avait dĂ©clarĂ© en fĂ©vrier "qu'un fĂ©minicide sur quatre [Ă©tait] liĂ© Ă une arme de chasse". L'association demande 100 000 euros de dĂ©dommagement selon les informations de l'Obs. La FĂ©dĂ©ration nationale des Chasseurs FDC porte plainte contre Sandrine Rousseau. L'association demande la somme exacte de 98 879,40 euros de dommages et intĂ©rĂȘts, soit 10 centimes pour chacun des 998 794 chasseurs de France selon une information de l'Obs. Elle accuse la dĂ©putĂ©e Ă©cologiste parisienne d'avoir profĂ©rĂ© des propos stigmatisant sur les chasseurs. Au mois de fĂ©vrier dernier, alors qu'un chasseur avait provoquĂ© la mort d'une randonneuse dans le Cantal, Sandrine Rousseau avait Ă©tĂ© interrogĂ©e sur l'affaire Ă la tĂ©lĂ©vision. Elle avait alors dĂ©clarĂ© "Moi, je pense qu'il faut arrĂȘter la chasse complĂštement. Ce n'est pas un loisir que d'aller tuer des animaux le week-end avec des fusils. Et par ailleurs [...], le reste de la semaine, on peut aussi le braquer contre sa femme. On a vu qu'un fĂ©minicide sur quatre est liĂ© Ă une arme de chasse, un fĂ©minicide sur quatre". "Un gros raccourci" Cette statistique provient du dĂ©compte effectuĂ© par l'association "FĂ©minicide par compagnon ou ex". Ce collectif affirme qu'un fusil de chasse a Ă©tĂ© utilisĂ© dans un quart des 102 fĂ©minicides commis en 2020 et des 106 comptabilisĂ©s en 2021. InterrogĂ© par nos confrĂšres de l'Obs, Jean-Michel Dapvril, directeur dĂ©lĂ©guĂ© en charge des affaires juridiques de la FĂ©dĂ©ration nationale des Chasseurs a affirmĂ© qu'il s'agissait "d'un gros raccourci, il n'y a Ă©videmment pas que les chasseurs qui possĂšdent un fusil de chasse..." "Ces propos sont scandaleux elle n'aime pas la chasse, c'est son droit, mais de lĂ Ă faire des raccourcis dans les mĂ©dias entre les fĂ©minicides et la chasse, c'est extrĂȘmement insultant", a justifiĂ© le prĂ©sident de la FNC, Willy Schraen, auprĂšs de l'AFP. "On a l'habitude de se faire insulter de tous les noms par les reprĂ©sentants de la Nupes et par les Ă©colos, mais là ça dĂ©passe les bornes", a-t-il ajoutĂ©, expliquant vouloir "laver l'honneur des chasseurs" qui "ont Ă©tĂ© profondĂ©ment blessĂ©s". Audience le 21 septembre La plainte dĂ©posĂ©e ne dĂ©sarme pas pour autant Sandrine Rousseau "La confrontation va avoir lieu et je ne compte pas me laisser intimider par ces gens" a-t-elle dĂ©clarĂ© Ă l'Obs. "Les chasseurs ne supportent pas qu'on ne soit pas d'accord avec eux", a rĂ©agi jeudi Sandrine Rousseau devant des journalistes en marge des journĂ©es d'Ă©tĂ© des Verts Ă Grenoble. "La nature ne leur appartient pas. On ira Ă ce procĂšs. Je viens de sortir un livre, +Sortir de l'androcĂšne+ nĂ©ologisme signifiant l'Ăšre des mĂąles, ndlr, ils devraient le lire", a-t-elle dĂ©clarĂ©. Une premiĂšre audience, pour consignation et fixation du calendrier de la procĂ©dure, doit se tenir le 21 septembre devant la 17e chambre civile du tribunal de Paris.
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ï»ż1 Corinthiens 113 S21Je veux cependant que vous sachiez ceci Christ est le chef de tout homme, l'homme est le chef de la femme, et Dieu est le chef de de lecture et de mĂ©ditation gratuits en rapport avec 1 Corinthiens 113
Lhomme, « chef » de la femme ? par Jean-Pierre Bory Paul Ă©crit en 1 Co 11.3 avec une certaine fermetĂ© (et le rĂ©pĂšte presque mot Ă mot en Ep 5.23-24) : « Je veux que vous sachiez que de tout homme, la tĂȘte (kephalĂš) c'est Christ, la tĂȘte de la femme c'est l'homme, la tĂȘte de Christ c'est Dieu ». Le triple usage de ce mot kephalĂš
Le nouveau projet du Code civil adoptĂ© en Conseil des ministres du mardi 23 mars 2021, prĂ©sidĂ© par Ali Bongo, par visioconfĂ©rence, modifie lâautoritĂ© de lâĂ©poux pour en donner une part Ă©gale Ă lâĂ©pouse sans repartir par contre toutes les charges endossĂ©es par lâĂ©poux. Lâancien Code civil donnait plus de prĂ©rogatives au mari. Les nombreux avantages dĂ©sormais ĂŽtĂ©s Ă lâĂ©poux, parmi tant dâautres, il y a le rĂŽle de chef de famille retirĂ© Ă lâhomme. Il devient donc lâĂ©gal de lâĂ©pouse dans le foyer. Par ailleurs, lâĂ©poux perd lâadministration lĂ©gale des biens dâun mineur non Ă©mancipĂ© pour le remplacer par un exercice commun », prĂ©cise le communiquĂ© du Conseil des ministres. Plus encore, le mari perd le choix de la rĂ©sidence familial pour en faire un choix commun, contrairement au Code civil actuel. Lâautre disposition majeure est la suppression de lâobligation de notifier au mari par la banque, lâouverture dâun compte et la balance dĂ©bitrice de celui-ci par la femme pour les remplacer par un principe Ă©galitaire, en modifiant la disposition qui incombe au mari sur les charges du mariage », rappelle le communiquĂ©. Le projet de loi mentionne aussi lâaugmentation des droits du conjoint survivant et des nouvelles dispositions concernant le divorce. Pour le cas du divorce, les rĂ©formes suivantes sont apportĂ©es lâinscription dans le code civil des critĂšres identiques pour la femme et lâhomme pour qualifier lâadultĂšre qui demeure une cause de divorce ; le cas de lâabandon Ă©tabli comme un cas de divorce pour faute et amĂ©nager le cas Ă©chĂ©ant la prĂ©somption de filiation ; lâinscription dans les cas de divorce pour faute tout fait de violence domestique Ă©tabli Ă lâĂ©gard dâun conjoint ; lâinstauration du divorce par consentement mutuel, avec ou sans lâintervention du juge, en permettant de dĂ©sencombrer les tribunaux et simplifier les divorces non contentieux », mentionne le communiquĂ© final. A titre de rappel le projet de loi met fin Ă lâobligation dâobĂ©issance de la femme vis-Ă -vis de son conjoint. Bien quâĂ©tant un projet, il va ĂȘtre dĂ©battu dans les deux chambres du Parlement. Ces deux chambres sont acquises largement par le Parti dĂ©mocratique gabonais, au pouvoir depuis plus dâun demi-siĂšcle, 53 ans de rĂšgne, et rien du gouvernement comme projet nâa presque jamais Ă©tĂ© rejetĂ©. Toutefois, ce nouveau projet de loi sur le Code civil va faire couler beaucoup dâencre et de salive dans lâopinion car il bouleverse les Codes religieux y compris les us et coutumes au Gabon.
LeHaut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH) joue un rĂŽle de premier plan dans la promotion d'une approche de la traite des personnes fondĂ©e sur les droits de l'homme. Le HCDH a Ă©laborĂ© un document intitulĂ© Principes et directives concernant les droits de l'homme et la traite des ĂȘtres humains : recommandations (PDF
DâaprĂšs la Bible... Que signifie ĂȘtre chef de famille ? SELON la Bible, â le chef de la femme, câest lâhomme â. 1 Corinthiens 113 ; ĂphĂ©siens 523. Parmi ceux qui dĂ©clarent respecter la Bible, beaucoup estiment cependant que ce principe de lâautoritĂ© masculine est archaĂŻque et de surcroĂźt dangereux. â PortĂ©e Ă lâextrĂȘme, la doctrine qui dicte aux femmes de se soumettre de bon grĂ© â [Ă leurs maris] peut conduire Ă des violences dâordre physique ou affectif â, fait remarquer un couple. Malheureusement, lâabus dâautoritĂ© est un phĂ©nomĂšne trĂšs rĂ©pandu. â Dans bien des pays, on considĂšre que battre sa femme est dans lâordre des choses, une prĂ©rogative masculine dont chants, proverbes et cĂ©rĂ©monies de mariage font lâĂ©loge â, dĂ©clare un auteur. Certains laissent entendre que le principe biblique de lâautoritĂ© est Ă lâorigine de ces violences. La notion dâautoritĂ© dans la Bible rabaisse-ât-âelle la femme et encourage-ât-âelle Ă la violence domestique ? Que signifie en rĂ©alitĂ© ĂȘtre chef de famille* ? Un chef, pas un tyran LâautoritĂ©, telle que la Bible lâentend, est une disposition bienveillante et nâest en aucun cas synonyme de tyrannie. La domination brutale de lâhomme sur la femme est une consĂ©quence du mĂ©pris de lâautoritĂ© divinement Ă©tablie GenĂšse 316. AprĂšs lâĂden, les hommes ont frĂ©quemment abusĂ© de leur pouvoir en exploitant avec cruautĂ© leurs semblables, y compris des femmes et des enfants. Pourtant, Dieu nâa jamais voulu quâil en soit ainsi. JĂ©hovah a en horreur les individus qui abusent de leur autoritĂ©. Il a condamnĂ© les IsraĂ©lites qui trahissaient â leurs femmes Malaki 213-16. En outre, Dieu dit que â quiconque aime la violence, Son Ăąme le hait vraiment â. Psaume 115. Aussi, ceux qui maltraitent leur femme physiquement ou dâune autre maniĂšre ne peuvent en aucune façon invoquer la Bible pour lĂ©gitimer leurs brutalitĂ©s. La bonne maniĂšre dâexercer lâautoritĂ© LâautoritĂ© est une disposition fondamentale prise par Dieu pour maintenir lâordre dans lâensemble de sa crĂ©ation. Dieu exceptĂ©, tous ont des comptes Ă rendre Ă quelquâun. Les hommes sont sous lâautoritĂ© de Christ, les enfants sont sous lâautoritĂ© de leurs parents, et tous les chrĂ©tiens sont sous lâautoritĂ© des gouvernements. MĂȘme JĂ©sus est sous lâautoritĂ© de Dieu.â Romains 131 ; 1 Corinthiens 113 ; 1528 ; ĂphĂ©siens 61. La stabilitĂ© et lâordre dâune sociĂ©tĂ© dĂ©pendent de la soumission Ă une direction. De mĂȘme, la stabilitĂ©, le bonheur et la paix dâune famille dĂ©pendent de la soumission Ă un chef. Cela reste vrai, mĂȘme lorsque le foyer est privĂ© de mari ou de pĂšre. Dans ce cas, câest la mĂšre qui assumera la direction de la maisonnĂ©e. En lâabsence du pĂšre et de la mĂšre, lâaĂźnĂ© des enfants ou un parent proche devra le faire. Quelle que soit la situation, une famille se procure des bienfaits quand ses membres accordent le respect dĂ» Ă la personne habilitĂ©e Ă remplir la fonction de chef. Le tout nâest donc pas de rejeter le principe de lâautoritĂ© mais, plutĂŽt, dâen avoir une idĂ©e juste et dâapprendre Ă lâappliquer de la bonne maniĂšre. LâapĂŽtre Paul exhorte les maris chrĂ©tiens Ă ĂȘtre chefs de leur maisonnĂ©e â comme le Christ aussi est chef de la congrĂ©gation â. ĂphĂ©siens 521-23. Il dĂ©signe donc la façon dont Christ a pris soin de la congrĂ©gation comme la norme parfaite en matiĂšre dâautoritĂ©. Quel exemple JĂ©sus a-ât-âil donnĂ© ? En sa qualitĂ© de Messie et de futur roi, JĂ©sus tenait son autoritĂ© de Dieu lui-âmĂȘme. Par ailleurs, il dĂ©passait largement ses disciples en intelligence et en expĂ©rience. Pourtant, il Ă©tait affectueux, chaleureux et compatissant. Il ne sâest jamais montrĂ© rude, inflexible ou exigeant. Il nâĂ©crasait pas les autres de sa supĂ©rioritĂ© ni ne rappelait Ă la moindre occasion quâil Ă©tait le Fils de Dieu. JĂ©sus ne se mettait pas en avant ; il Ă©tait humble de cĆur. Câest pourquoi son joug Ă©tait doux et sa charge Ă©tait lĂ©gĂšre â. Matthieu 1128-30. CâĂ©tait de ce fait un homme abordable et raisonnable. Pour tout dire, Paul montre que JĂ©sus a tellement aimĂ© la congrĂ©gation quâil â sâest livrĂ© lui-âmĂȘme pour elle â. â ĂphĂ©siens 525. Comment imiter JĂ©sus ? Comment les chefs de famille reflĂ©teront-âils les qualitĂ©s de Christ ? Un chef de famille responsable se soucie du bien-ĂȘtre physique et spirituel des siens. Il se dĂ©mĂšne pour consacrer autant de temps et dâattention que nĂ©cessaire Ă combler leurs besoins, individuels et collectifs. Les intĂ©rĂȘts de son conjoint et de ses enfants passent avant les siens 1 Corinthiens 1024 ; Philippiens 24*. Parce quâil met lui-âmĂȘme les principes et les enseignements bibliques en pratique dans sa vie quotidienne, il gagne le respect et le soutien de sa femme et de ses enfants. Sous son autoritĂ© pleine dâamour, leurs efforts conjuguĂ©s pour surmonter les difficultĂ©s ont toutes les chances dâaboutir. Ainsi, le mari qui exerce son autoritĂ© dâune maniĂšre conforme aux Ăcritures bĂątit une famille heureuse qui loue et honore Dieu. Un chef de famille sage est Ă©galement humble. Il sâexcusera volontiers lorsque câest nĂ©cessaire, mĂȘme sâil peut lui paraĂźtre difficile de reconnaĂźtre ses torts. La Bible dit quââ il y a salut dans la multitude des conseillers â. Proverbes 246. En effet, par humilitĂ©, un chef de famille Ă©coutera et sollicitera activement lâavis de sa femme et de ses enfants quand la situation sây prĂȘte. Dans lâexercice de son autoritĂ©, le chef de famille chrĂ©tien qui imite JĂ©sus veillera non seulement Ă assurer le bonheur et la sĂ©curitĂ© des siens mais Ă©galement Ă faire honneur Ă lâAuteur de la famille, JĂ©hovah Dieu, et Ă lui rendre gloire. â ĂphĂ©siens 314, 15. [Notes] Bien que cet article traite essentiellement du rĂŽle de mari et pĂšre, ces conseils Ă lâintention des chefs de famille seront Ă©galement utiles aux mĂšres seules et aux orphelins chargĂ©s de famille. Le livre Le secret du bonheur familial publiĂ© par les TĂ©moins de JĂ©hovah offre des suggestions pratiques sur la façon de prendre soin de sa famille avec amour. [Illustration, page 26] Un mari raisonnable tient compte de lâopinion de sa femme et de ses enfants.
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l homme est le chef de la femme