LecomitĂ© pour l’économie verte rĂ©unit les autoritĂ©s et parties prenantes concernĂ©es par les enjeux de la fiscalitĂ© de l’énergie, de l’économie circulaire, de l’eau et de la biodiversitĂ©, ainsi que de l’ensemble des outils Ă©conomiques permettant, en complĂ©ment des leviers budgĂ©taires et rĂ©glementaires traditionnels, de favoriser la transition Ă©nergĂ©tique.
Lundi 09h00 Ă  12h00 - 14h00 Ă  18h00 Mardi 09h00 Ă  12h00 - 14h00 Ă  18h00 Mercredi 09h00 Ă  12h00 - 14h00 Ă  18h00 Jeudi 09h00 Ă  12h00 - 14h00 Ă  18h00 Vendredi 09h00 Ă  12h00 - 14h00 Ă  18h00 Samedi 09h00 Ă  12h00 - 14h00 Ă  18h00 Dimanche FermĂ© PrĂ©cision sur les horaires Horaires non vĂ©rifiĂ©s. Si vous connaissez les horaires d'ouverture et de fermeture de ComitĂ© d'Expansion Economique de l'Allier CEEA Ă  Moulins Modifier les heures d'ouverture ComitĂ© d'Expansion Economique de l'Allier CEEA Siege social 12 cours Anatole France 03000 Moulins ActivitĂ©s Organismes de dĂ©veloppement Ă©conomique Directeur Effectif 1 personnes Code Naf Siret Contact Email Internet * 2,99 €/appel. Ce numĂ©ro valable 10 minutes n'est pas le numĂ©ro du destinataire mais le numĂ©ro d'un service permettant la mise en relation avec celui-ci. Ce service Ă©ditĂ© par Pourquoi ce numero ? Entreprises semblables ... IndĂ©pendants, Entreprises, Organismes ou Associations, crĂ©ez portail internet et votre fiche de prĂ©sentation gratuitement sur ce portail. Contactez-nous - © -

Rapportdu ComitĂ© L’Allier sur la dĂ©marche de rĂ©flexion avec les associations concernĂ©es par l’application des lois sur le statut des artistes population mais elle mobilisait les jeunes en particulier. Elle est Ă  l’origine de ce qu’il est aujourd’hui convenu d’appeler le QuĂ©bec moderne. C’est donc, lĂ  aussi, la culture

DĂ©tails DĂ©lĂ©gation en France 9 mai 2016 Affichages 5094 Photo Mail TĂ©lĂ©phone bureau06 31 84 22 50 ComplĂ©mentRetraitĂ©s, ne laissez pas s’éteindre vos compĂ©tences, faites en profiter les jeunes gĂ©nĂ©rations, donnez un nouvel Ă©clairage Ă  votre retraite. Entreprises, collectivitĂ©s, Ă©tablissements d'enseignement, acteurs de l'insertion faites appel aux compĂ©tences dont vous avez besoin ... Type de compĂ©tences Anciens chef d'entreprises, cadres et techniciens de sociĂ©tĂ©s rĂ©gionales et d'organismes consulaires, , ils sont reconnus dans de nombreuses spĂ©cialitĂ©s et sont porteurs de vĂ©ritables expertises en marketing, management, export, supplychain, gestion de la qualitĂ©. Les secteurs d’activitĂ© dans lesquels notre dĂ©lĂ©gation intervient SERVICES management, finance, gestion, communication, assurances INDUSTRIE Equipement industriel, GranulĂ©s de bois, DIVERS SantĂ©, coaching Autres questionnez-nous ! Missions rĂ©centes rĂ©alisĂ©es sur notre territoire PME/PMI Aide Ă  la crĂ©ation d'entreprise Accompagnement des PME en difficultĂ©s management, stratĂ©gie, mĂ©tiers fonctionnels. DĂ©veloppement commercial Associations Étude de stratĂ©gie et de dĂ©veloppement Aide Ă  la cohĂ©sion d'une Ă©quipe. Etude pour la rĂ©alisation du Document unique de sĂ©curitĂ© Un exemple detaille d’une mission referente realisee par la region / territoire RĂ©alisation du diagnostic du fonctionnement et de la stratĂ©gie du ComitĂ© RĂ©gional Auvergne d’Education Physique et de Gymnastique Volontaire et des comitĂ©s dĂ©partementaux. Animation du sĂ©minaire annuel Ă  Super Besse. Un exemple detaille d’une mission referente realisee par la region / territoire RĂ©alisation du diagnostic du fonctionnement et de la stratĂ©gie du ComitĂ© RĂ©gional Auvergne d’Education Physique et de Gymnastique Volontaire et des comitĂ©s dĂ©partementaux. Animation du sĂ©minaire annuel Ă  Super recentes ComitĂ© d’expansion Ă©conomique de l’Allier ComitĂ© RĂ©gional Auvergne d’Education Physique et de Gymnastique Volontaire Accompagnement Ă  la CrĂ©ation de GranulĂ©s Bois Allier » Accompagnement au dĂ©veloppement de Optimus »
SylvaineGILLON is the Chargée d'Etudes at Comité d'Expansion Economique de l'Allier / Invest in Allier based in France. Home; Products. Chrome Extension. Find contacts on the web. Prospector. Build highly targeted prospect lists. Bulk Finder. Find contacts by bulk company domains. Visitors. Turn website visitors into qualified leads . API. Put best-in-class data into your system.
FĂ©dĂ©rateur d'Ă©nergies Ă©conomiques L'Allier possĂšde certes les atouts de la qualitĂ© de ses paysages, mais aussi ceux de la facultĂ© de ses hommes Ă  construire des projets ensemble ». PrĂ©sident du groupe 3I Nature de Saint-Bonnet-de-Rochefort, Philippe Laurent martĂšle depuis quelques annĂ©es sur toutes les estrades de la rĂ©gion que le dĂ©veloppement de nos territoires dĂ©pendra de la facultĂ© de leurs acteurs Ă©conomiques Ă  Ă©laborer des stratĂ©gies communes. Hier, Ă  l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du ComitĂ© d'expansion Ă©conomique de l'Allier CEEA, il a tĂ©moignĂ© de ce rĂŽle fĂ©dĂ©rateur assurĂ© par le ComitĂ©. Dans un contexte de guerre Ă©conomique », il prĂŽne l'union sacrĂ©e » entre le public et le privĂ© pour dĂ©gager une vision stratĂ©gique commune. Philippe Laurent bouscule les politiques quand il exhorte Ă  faire des choix on ne pourra pas soutenir toutes les filiĂšres. Concentrons nos efforts sur nos points forts ». PrĂ©sident de Convivial Creuzier-le-Vieux, Jean Meunier insiste sur le rĂŽle central du CEEA il fait aujourd'hui partie intĂ©grante de toutes mes dĂ©cisions stratĂ©giques. C'est en Ă©quipe avec lui que nous avons pu franchir toutes les crises, de la vache folle au horsegate ». Quinze ans de relations avec le CEEA, m'ont fait comprendre que ce n'Ă©tait pas forcĂ©ment d'aides dont nous avions le plus besoin, mais de partenaires », tĂ©moigne Ă  son tour Éric ThĂ©venet, prĂ©sident des Transports ThĂ©venet Bayet. Directeur d'Intersig, Hugo Van Den Broecke ajoute une derniĂšre touche en rappelant pourquoi sa sociĂ©tĂ© s'Ă©tait dĂ©veloppĂ©e Ă  Saint-Pourçain-sur-Sioule plutĂŽt qu'ailleurs parce que nous avons trouvĂ© ici une rĂ©ponse rapide par des gens qui parlaient d'une mĂȘme voix Ville de Saint-Pourçain, Conseil gĂ©nĂ©ral, CEEA, prĂ©fecture ». La proximitĂ© PrĂ©sident du CEEA et du Conseil gĂ©nĂ©ral, Jean-Paul DufrĂšgne s'appuie sur ces dĂ©monstrations pour plaider la pertinence de la proximitĂ© » Ă  l'heure oĂč de nouveaux rapports prĂ©conisent de rĂ©duire les agences de dĂ©veloppement Ă  une par rĂ©gion et de confier la politique Ă©conomique au seul Ă©chelon rĂ©gional. Les rapports d'activitĂ©s du CEEA exposĂ©s hier Ă  Moulins plaident dans le mĂȘme sens. C'est parce qu'il a suivi de prĂšs 108 entreprises l'annĂ©e derniĂšre, que celles-ci ont pu crĂ©er ou prĂ©server 442 emplois, a dĂ©taillĂ© Pierre Guyot, chargĂ© d'affaires au CEEA. Ces entreprises ont bĂ©nĂ©ficiĂ© de 7,1 M€ d'aides qui ont permis d'engager 36,1 M€ d'investissements. On ne s'en sortira pas les uns sans les autres », insiste Philippe Laurent en enfourchant le cheval de bataille du directeur gĂ©nĂ©ral du CEEA, Nicolas Doulain, pour appeler tous les acteurs Ă©conomiques du dĂ©partement Ă  'uvrer ensemble au dĂ©veloppement de tous les maillons d'une mĂȘme filiĂšre. Ăš Nouveau directeur gĂ©nĂ©ral. Nicolas Doulain, qui part en retraite Ă  la mi-juillet, a prĂ©sentĂ© hier son successeur Ă  la direction du CEEA David Malingrey, 45 ans, qui arrive de l'agence de dĂ©veloppement de la Moselle. Avant que la commission MobilitĂ© 21 ne rende son rapport cet aprĂšs-midi au ministre, Jean-Paul DufrĂšgne, interpellĂ© hier, a rĂ©pondu qu'il ne trouverait rien Ă  redire » Ă  une RCEA Ă  2x2 voies concĂ©dĂ©e de Montmarault Ă  Paray-le-Monial rĂ©alisĂ©e avant 2020, mĂȘme si d'autres se contentent de quelques crĂ©neaux de dĂ©passement et d'un calendrier plus dĂ©tendu ». Jean-Marc Laurent
Lirel'Ɠuvre de ComitĂ© d'expansion Ă©conomique sur www.lesenfants.fr. Lire l'Ɠuvre de ComitĂ© d'expansion Ă©conomique sur www.lesenfants.fr. S'identifier; Magasin spĂ©cialisĂ© jeux, jouets et livres jeunesse Magasin. Compte. Panier Magasin. Compte. Panier Livres. Conseils de lecture; Eveil, petite enfance; Albums illustrĂ©s; Livres jeux; Albums animĂ©s et Pop-up; Livres sonores; Le Centre National du Costume de ScĂšne, un lieu prestigieux pour le lancement du Club c CNCS / Marc Luczak Photographie A l’initiative de son comitĂ© d’expansion CEEA, l’Allier a lancĂ© il y a quelques jours, le 3 juillet, son Club des ambassadeurs. Pour le PrĂ©sident du Conseil gĂ©nĂ©ral et du ComitĂ© d’Expansion, Monsieur Jean-Paul DufrĂšgne, la crĂ©ation de ce club est naturelle nous sommes convaincus que les dirigeants d’entreprises -attachĂ©s Ă  leur territoire d’implantation et dĂ©sireux de voir celui-ci se dĂ©velopper- ont un rĂŽle important Ă  jouer en agissant comme de vĂ©ritables ambassadeurs pour notre DĂ©partement. En effet, nombre de dirigeants bourbonnais entretiennent, dans le cadre de leurs activitĂ©s professionnelles, des contacts Ă©troits avec des fournisseurs, des clients, des prestataires, des cabinets,
, qui peuvent constituer des leviers, des points d’appui ou, tout simplement, des sources d’information dans la dĂ©tection de projets de crĂ©ation et/ou de dĂ©veloppement
 A nous et Ă  nos ambassadeurs de faire en sorte que ces projets puissent ĂȘtre orientĂ©s et flĂ©chĂ©s sur l’Allier en mettant en avant les atouts humains et techniques de notre territoire ». La constitution de ce Club, qui s’est donnĂ© pour slogan L’amour du territoire, la passion du dĂ©veloppement », se fait sur la base d’un premier cercle d’une trentaine de chefs d’entreprises ou directeurs d’établissements culturels comme le Centre National du Costume de ScĂšne CNCS qui accueillait cette premiĂšre rĂ©union. Les premiĂšres missions confiĂ©es aux ambassadeurs sont les suivantes Participer Ă  la promotion de l’Allier en diffusant l’image d’un territoire accueillant, dynamique, innovant au tissu industriel diversifiĂ©. DĂ©tecter, Ă  travers leurs rĂ©seaux et contacts professionnels, de nouveaux projets d’implantation et en informer aussitĂŽt le CEEA. Participer Ă  l’accueil d’investisseurs et de prospects en portant tĂ©moignage des atouts de l’Allier. Participer activement Ă  la vie du Club. Une charte fixe les engagements des ambassadeurs, charge au CEEA de traiter les informations transmises et prospects identifiĂ©s par les ambassadeurs dans les meilleurs dĂ©lais, et avec une totale confidentialitĂ© » selon son Directeur gĂ©nĂ©ral Nicolas Doulain. Les ambassadeurs ont Ă  leur disposition un kit de promotion cf. photo ci-aprĂšs, mais aussi un site Internet dĂ©diĂ©. Plus - le communiquĂ© de presse - article La Montagne Lenouvel annuaire Ă©conomique 2015-2016 de l'agglomĂ©ration de Vichy Val d'Allier vient de sortir. PrĂšs de 1 700 fiches d'entreprises, collectivitĂ©s et forces vives sont rĂ©pertoriĂ©es, ainsi qu'une synthĂšse du territoire et de multiples infos pratiques, permettant Ă  l'ensemble des lecteurs d'avoir un aperçu du tissu Ă©conomique de notre bassin d'emploi, mais aussi de la future grande
Luc Ferry, le philosophe, l'ancien ministre de l'Education, a ouvert ce mercredi matin les travaux du comitĂ© d'expansion Ă©conomique de Haute-Loire. Dans les locaux de la Chambre de mĂ©tiers, au Puy-en-Velay, avant sa confĂ©rence qui se jouait Ă  guichets fermĂ©s, Luc Ferry a livrĂ© un certain nombre d'Ă©lĂšments de rĂ©flexion et fait part de ses convictions aux reprĂ©sentants de la presse. Des dĂ©veloppements qui s'inscrivent dans le droit fil de son dernier livre "La RĂ©volution transhumaniste".10 000 emplois supprimĂ©s chaque jour, 9 000 créés D'un cĂŽtĂ©, il met en exergue les progrĂšs des techno-sciences de l'autre la montĂ©e en puissance de l’économie collaborative. Des Ă©volutions fulgurantes qui dessinent un monde Ă  venir Ă  la fois enthousiasmant et effrayant. Ces nouvelles technologies ou modes de consommation sont plus destructeurs que crĂ©ateurs d'emplois, pour une proportion de 10 000 emplois perdus/jour pour 9 000 créés/jour. Et ils gĂ©nĂšrent des conflits d'intĂ©rĂȘts. Et de citer les applications de partage de type Blablacar, Airbnb qui suscitent l'ire des loueurs de voitures et des hĂŽteliers. "Chacun a raison en dĂ©finitive." Cette troisiĂšme rĂ©volution industrielle, Luc Ferry a le sentiment que la France, l'Europe plus globalement, n'en rĂ©coltent que les miettes alors que les Etats-Unis sont moteur, ainsi que la Chine, la Suisse ou encore IsraĂ«l."Aujourd'hui, un prĂ©sident de la RĂ©publique court Ă  poil dans un champ de rĂąteaux, ça fait mal!" Et de regretter une campagne Ă©lectorale oĂč l'on se trompe de combat "On ne parle que de l'islam, on focalise sur Daech. Les vrais enjeux sont ailleurs. Ils sont Ă©conomiques." Luc Ferry plaide pour un gouvernement d'union nationale, signalant que dans un contexte oĂč, en gros, les trois camps en prĂ©sence gauche, droite, extrĂȘme droite reprĂ©sentent 1/3 des voix chacun, le prochain prĂ©sident de la RĂ©publique sera Ă©lu, au mieux, par 20 % des Français. "Aujourd'hui, un prĂ©sident de la RĂ©publique court Ă  poil dans un champ de rĂąteaux, ça fait mal!"
Emploi: Econome Ă  Dompierre-sur-Besbre, Allier ‱ Recherche parmi 763.000+ offres d'emploi en cours ‱ Rapide & Gratuit ‱ Temps plein, temporaire et Ă  temps partiel ‱ Meilleurs employeurs Ă  Dompierre-sur-Besbre, Allier ‱ Emploi: Econome - facile Ă  trouver ! Entretien avec Valentine LABORIE, Chef de Mission Promotion et Communication du ComitĂ© d’Expansion Economique de l’Allier 1 Quelle structure reprĂ©sentez-vous, et depuis combien de temps venez-vous sur le salon? Dans le cadre de la politique volontariste d’attractivitĂ© menĂ©e par le Conseil gĂ©nĂ©ral de l’Allier, le CEEA, La Mission Accueil du Conseil gĂ©nĂ©ral de l’Allier, l’agence Vichy Val d’Allier DĂ©veloppement et PĂŽle Emploi seront prĂ©sents sur le salon pour la 3Ăšme annĂ©e consĂ©cutive. 2 Pourquoi participez-vous au salon, quels sont les objectifs de votre venue? L’objectif commun est de mettre en avant les entreprises de l’Allier qui recrutent et de favoriser l’accueil de porteurs de projets dans notre dĂ©partement. 3 Qui sera prĂ©sent pour animer votre stand? L’ensemble des partenaires ComitĂ© d’Expansion Economique de l’Allier, la Mission Accueil du Conseil gĂ©nĂ©ral de l’Allier, l’agence Vichy Val d’Allier DĂ©veloppement et un reprĂ©sentant de PĂŽle Emploi. 4 Quelles opportunitĂ©s concrĂštes proposez-vous? Des opportunitĂ©s concrĂštes d’installation La valorisation d’offres d’emplois cadres et non cadres sur des mĂ©tiers en tension dans notre dĂ©partement L’accompagnement des demandeurs d’emplois qualifiĂ©s, des porteurs de projets et de leur conjoint Un soutien spĂ©cifique Ă  l’installation des professionnels de santĂ© immersion sur le territoire, suivi privilĂ©giĂ© La prise en charge des dĂ©marches pour faciliter l’intĂ©gration de la famille. 5 OĂč trouver des informations vous concernant avant le salon? Essentiellement sur nos sites internet respectifs LAgence de dĂ©veloppement Ă©conomique, créée en 1989, fĂȘte cette annĂ©e ses 25 ans. Cette petite structure de 4.5 ETP (Ă©quivalent temps plein) accompagne la politique Ă©conomique des Ă©lus avec pour mission principale de gĂ©nĂ©rer de la nouvelle activitĂ© par le biais des crĂ©ations mais aussi par la reprise et le dĂ©veloppement des entreprises existantes. Vichy Moulins CommunautĂ© est l’interlocuteur privilĂ©giĂ© des porteurs de projets par ses rĂ©seaux qu’ils soient institutionnels chambres consulaires, Etat, ComitĂ© d’Expansion Économique, Agence RĂ©gionale de DĂ©veloppement Économique ou financiers OSEO, banques
.Son objectif est d’accompagner et de soutenir aussi bien les entreprises existantes que les porteurs de projets dans leurs diffĂ©rentes dĂ©marches administratives, financiĂšres
 et ĂȘtre l’interface afin de faciliter ces qualitĂ© de l’environnement et l’équilibre dynamique des activitĂ©s prĂ©sentes sur notre territoire traduisent sa force et sa volontĂ© Ă  accueillir tout dĂ©veloppement dans des conditions optimales.
Latelier de propose un espace expérimental, pour découvrir ses données. Frises chronologiques, cartes, galeries d'images vous conduisent vers les ressources de la BnF. Les données de data.bnf.fr sont disponibles et réutilisables librement (licence ouverte) en format RDF et JSON. Réutilisez-les !
REQUEST TO REMOVECEEA ComitĂ© d'Expansion Économique de l'Allier – Bienvenue ... Le ComitĂ© d'Expansion Economique de l'Allier CEEA est une Ă©quipe de professionnels au service des entreprises et du territoire. Accueil des investisseurs ... REQUEST TO REMOVEOrange Vous venez d'ĂȘtre redirigĂ© vers une page d'erreur. L'adresse URL que vous avez saisie ou le lien que vous avez cliquĂ© sont erronĂ©s. Vous pouvez poursuivre votre ... REQUEST TO REMOVESalon Bio & Co 5, 6, 7 avril 2013 - Parc des expositions Micropolis Les salons de la Bio et de la Construction Saine Besançon - Micropolis 5, 6 et 7 avril 2013. REQUEST TO REMOVEChambre d'agriculture de l'Allier Chambre d'Agriculture. de l'Allier. 60, Cours Jean JaurĂšs. BP 1727. 03017 MOULINS CEDEX. TĂ©l 04 70 48 42 42. Fax 04 70 46 30 69 REQUEST TO REMOVECPNS Comite Protection nature site Saint Gilles Croix de Vie Projet d'une. usine de mĂ©thanisation. sur le site de La Culasse Ă  L'Aiguillon sur Vie. Participez Ă  l'enquĂȘte publique qui se dĂ©roule du 1er ... REQUEST TO REMOVEActualitĂ©s - Site Internet ComitĂ© 21 En Ile-de-France, du 1 er septembre au 15 octobre, Elior Restauration Enseignement servira dans 700 restaurants scolaires cinq nouvelles recettes Ă  base de haricots ... REQUEST TO REMOVEInstitut d'Etudes Economiques et Sociales pour la DĂ©croissance ... Site d'information et d'actualite sur la decroissance ... En cette RentrĂ©e 2011, le site arrĂȘte la recension, intarissable, de son bĂȘtisier ... REQUEST TO REMOVELe chantier de l'Ă©glise ouvert au public La rĂ©union de chantier de l'Ă©glise, prĂ©vue vendredi 9 novembre, Ă  9 heures, sera ouverte au public et sera dirigĂ©e par M. Ponsot, l’architecte de l'opĂ©ration. REQUEST TO REMOVEAFCOBOIS Maison en bois- Le marchĂ© de la maison bois Ă©tant en pleine expansion, certains constructeurs s’organisent afin de donner des garanties aux consommateurs. REQUEST TO REMOVEEcoCO2 - RĂ©sultats de la fonction Recherche sur la base de ... EcoCO2 Recherche - Resultats de la recherche sur la base de donnĂ©es eco CO2 REQUEST TO REMOVEIndustrie en Auvergne – ActualitĂ©s par rĂ©gion L'information de l'industrie - Auvergne - Sujets liĂ©s ... Les ACC sauvĂ©s... pour au moins trois ans ! 23/10/2012 Quotidien des Usines Services Ă  l'industrie ... REQUEST TO REMOVELes ambassadeurs du Calvados - Calvados StratĂ©gie, ComitĂ© d ... DĂ©couverte de dirigeants ou chefs d’entreprises du Calvados. Interviews d’hommes et de femmes d’exception, entrepreneurs ou dĂ©cideurs du calvados et ... REQUEST TO REMOVEDaniel VITTE Archives juin 2011 - Association des maires de l ... Chaque annĂ©e, Ă  l’invitation du PrĂ©sident Guy Gagnoud, je participe Ă  l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale de l’Association des maires et adjoints des cantons de ... REQUEST TO REMOVEMutual logistics, transport et logistique, supply chain management ... Mutual Logistics poursuit sa politique de dĂ©veloppement durable et met en oeuvre de nouvelles actions pour rĂ©duire son impact environnemental et sa consommation ... REQUEST TO REMOVECoquelles - Le journal de Calais et de la CĂŽte d'Opale - Nord ... Nord Littoral - Description Nord Littoral ... Coquelles Portes ouvertes des ateliers d'artistes François Croigny-Manier et les peintres du Moulin prĂ©sentent leur ... REQUEST TO REMOVEAnnuaire France Gratuit - Annuaire France Gratuit - L'annuaire gratuit des professionnels de France REQUEST TO REMOVERelaxnews - Conception et production de contenus loisirs rich media La premiĂšre source d'info loisirs. ... RELAXNEWS - Japan Rags cĂ©lĂšbre le 40e anniversaire des jeux vidĂ©o avec une ligne de T-shirts Les dix comĂ©diens en ... REQUEST TO REMOVEMoteur de recherche d'entreprises fran?aises SociĂ©tĂ©s . domaine de casta; noritube industr; societe circular; emboutissage; ohara; sodaic multiserv REQUEST TO REMOVEOrange plus vite Ă  l’essentiel REQUEST TO REMOVEIci Formation Annuaire de la Formation, du Bilan de 
 Annuaire national et moteur de recherche pour la formation, le bilan de compĂ©tence et la VAE, prĂ©sentation du DIF – droit individuel Ă  la formation, du Bilan de ... Bienvenuesur le site de ComitĂ© d'Expansion Economique de l'Allier (CEEA) situĂ© Ă  Moulins. Organismes de dĂ©veloppement Ă©conomique Vous pouvez retrouver les coordonnĂ©es de Sans prĂ©judice de l'article L. 521-8-1 du code de la recherche, le produit des taxes sur les produits de l'industrie et de l'artisanat mentionnĂ©es Ă  l'article L. 471-1 du code des impositions sur les biens et services est affectĂ©, pour contribuer au dĂ©veloppement des branches professionnelles concernĂ©es, aux comitĂ©s professionnels de dĂ©veloppement Ă©conomique dans les conditions suivantes 1° Au ComitĂ© professionnel de dĂ©veloppement de l'horlogerie, de la bijouterie, de la joaillerie, de l'orfĂšvrerie et des arts de la table, Ă  hauteur de la fraction perçue sur les biens des industries de l'horlogerie, de la bijouterie, de la joaillerie, de l'orfĂšvrerie et des arts de la table au sens de l'article L. 471-4 du code des impositions sur les biens et services ; 2° Au ComitĂ© professionnel de dĂ©veloppement des industries du cuir, de la maroquinerie, de la ganterie et de la chaussure, Ă  hauteur de la fraction perçue sur biens des industries du cuir, de la chaussure et de la maroquinerie au sens de l'article L. 471-5 du mĂȘme code ; 3° Au ComitĂ© de dĂ©veloppement et de promotion de l'habillement, Ă  hauteur de la fraction perçue sur les biens des industries de l'habillement au sens de l'article L. 471-6 du mĂȘme code ; 4° Au ComitĂ© professionnel du dĂ©veloppement des industries françaises de l'ameublement et du bois a A hauteur de 70 % de la fraction perçue perçu sur les biens des industries de l'ameublement au sens de l'article L. 471-7 du mĂȘme code ; b A hauteur de 70 % de la fraction perçue sur les biens des industries du bois au sens de l'article L. 471-8 du mĂȘme Ă  l'article 40 de l'ordonnance n° 2021-1843 du 22 dĂ©cembre 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2022.

LeComité d'Expansion Economique de l'Allier (CEEA) est une équipe de professionnels au service des entreprises et du territoire. Accueil des investisseurs industriels, appui et conseil technique

Publié le 19 févr. 2013 à 101Avec la création, en 2006, du premier télécentre d'Auvergne, la communauté de communes du pays de Murat Cantal, un peu plus de habitants fait figure de pionniÚre de l'accueil de télétravailleurs salariés ou indépendants. Depuis l'ouverture d'un second centre, en 2011, elle met à la disposition de ces travailleurs à distance dix bureaux équipés de matériel informatique et de téléphonie, un point bureautique, deux salles de réunion, un systÚme de visioconférence, une salle multimédia et des services animateur, secrétariat.... Quatre bureaux sont occupés en permanence par des salariés d'entreprises extérieures au Cantal. Les autres sont utilisés, réguliÚrement ou occasionnellement, par des net-entrepreneurs », avec un taux d'occupation supérieur à 90 %. Traducteurs, graphistes ou secrétaires d'artisans sont typiques des métiers de ces communauté de communes a également mis en place un dispositif d'accueil et d'accompagnement sur mesure et créé un centre de formation au télétravail, labellisé par l'Etat, qui a déjà accueilli plus de 200 stagiaires venus de toute la France. Cet ensemble a permis 25 installations qui se sont traduites par l'arrivée d'une soixantaine d'habitants dans le territoire du pays de Murat. Nous accompagnons en permanence une dizaine de porteurs de projet. Certains s'installent, d'autres pas », indique Corinne Ibarra, directrice de la communauté de communes. A l'occasion de son quatriÚme forum du télétravail, en octobre dernier, les acteurs du télétravail ont mis en ligne une plate-forme nationale d'échanges pour les télétravailleurs et les entreprises à la recherche de de partenariatA 200 kilomÚtres plus au nord, le Comité d'expansion économique de l'Allier CEEA a choisi une autre voie en signant, en 2011, une convention de partenariat avec Eodom, spécialiste du télétravail. Cette entreprise exploite un centre d'appels virtuel, qui traite des appels entrants chez 400 employés indépendants travaillant partout en France à leur domicile. C'est un moyen d'amener plus d'activité économique dans l'Allier », résume Pauline RiviÚre. Chargée de projet télétravail et téléprojets au CEEA, elle conseille et accompagne les candidats à cette activité entretiens individuels, création d'un site Internet et d'une lettre d'information, réunions et ateliers pratiques. En un an, une quarantaine de personnes se sont lancées. Leurs situations révÚlent la diversité des motivations salariés à temps partiel, demandeurs d'emploi, femmes au foyer, personnes éloignées des bassins d'emploi, personnes handicapées, retraités. Cela peut aussi intéresser des conjoints de personnes qui s'installent dans l'Allier », ajoute Pauline RiviÚre. Comme Eodom recourt exclusivement à des emplois précaires type autoentrepreneurs, le CEEA s'est rapproché d'Appuy Créateurs, une coopérative auvergnate d'activités et d'emplois qui peut salarier les travailleurs CEEA démarche maintenant d'autres entreprises du secteur mais spécialisées dans les appels sortants démarchage téléphonique par exemple, qui sont plus nombreuses et plus rémunératrices, mais nécessitent des compétences supérieures. Nous allons mettre en place des microcellules de formation sur des thÚmes trÚs spécifiques. Ainsi, les télétravailleurs indépendants pourront diversifier leurs sources de revenus », promet Pauline RiviÚre.
LeMedef Allier s’associe aux travaux du ComitĂ© d’Expansion Économique de l’Allier et participe Ă  ses rĂ©flexions. DĂ©signer les mandataires patronaux suppose de leur confĂ©rer une mission explicite : reprĂ©senter les positions des entreprises et du Medef Allier. Il s’agit donc de dĂ©fendre les entreprises, en prioritĂ© lorsque celles-ci ont affaire Ă  un organisme paritaire, Ă  une Au Canada, l’agriculture a Ă©voluĂ© de façon nettement diffĂ©rente dans chaque rĂ©gion du pays. Ceci s’explique d’abord par les diffĂ©rences de climats et de gĂ©ographie, mais aussi par le fait que chaque rĂ©gion a Ă©tĂ© colonisĂ©e Ă  un moment diffĂ©rent du dĂ©veloppement Ă©conomique et politique du pays. Au Canada, l’agriculture a Ă©voluĂ© de façon nettement diffĂ©rente dans chaque rĂ©gion du pays. Ceci s’explique d’abord par les diffĂ©rences de climats et de gĂ©ographie, mais aussi par le fait que chaque rĂ©gion a Ă©tĂ© colonisĂ©e Ă  un moment diffĂ©rent du dĂ©veloppement Ă©conomique et politique du pays. Camrose, en Alberta, en 1900 avec la permission des Provincial Archives of Alberta. Au Canada, l’agriculture a Ă©voluĂ© de façon nettement diffĂ©rente dans chaque rĂ©gion du pays. Ceci s’explique d’abord par les diffĂ©rences de climats et de gĂ©ographie, mais aussi par le fait que chaque rĂ©gion a Ă©tĂ© colonisĂ©e Ă  un moment diffĂ©rent du dĂ©veloppement Ă©conomique et politique du pays. Le gouvernement a toujours constituĂ© le principal facteur d’unification depuis l’époque coloniale. En effet, l’agriculture a Ă©tĂ© essentiellement dirigĂ©e par l’État et subordonnĂ©e Ă  d’autres intĂ©rĂȘts. Pratiques autochtones Avant l’arrivĂ©e des EuropĂ©ens, les Autochtones des Grands Lacs infĂ©rieurs et du Saint-Laurent cultivaient deux types de maĂŻs, des courges et des haricots et ils pratiquaient par ailleurs la sĂ©lection des semences. Bien avant l’arrivĂ©e des marchands français, les PremiĂšres nations troquent leur maĂŻs contre les peaux et la viande que leur procurent les groupes chasseurs des rĂ©gions boisĂ©es. AprĂšs l’avĂšnement de la traite des fourrures, des intermĂ©diaires algonquiens fournissent les Français en pelleteries de choix qu’ils troquent contre leur maĂŻs avec des bandes vivant plus au nord. L’apport de l’agriculture des PremiĂšres nations dans l’approvisionnement du commerce des fourrures demeure important jusqu’à la fin du XVIIIe siĂšcle. Maritimes [H2] Du XVIIIe siĂšcle au milieu du XIXe siĂšcle [H3] Dans les Maritimes, l’agriculture remonte Ă  la fondation de Port-Royal par les Français en 1605. Les colons acadiens voir Acadie construisent alors des digues dans les marĂ©cages d’eau salĂ©e du bassin d’Annapolis qu’ils utilisent comme pĂąturages et pour cultiver du blĂ©, du lin et des lĂ©gumes. AprĂšs la signature du TraitĂ© d’Utrecht 1713, les Français se retirent Ă  Plaisance Terre-Neuve, Ă  l’üle Royale Ăźle du Cap-Breton et Ă  l’üle Saint-Jean Île-du-Prince-Édouard. Ils entendent se servir de l’üle Saint-Jean comme source de cĂ©rĂ©ales et de bĂ©tail pour nourrir les marins et les pĂȘcheurs installĂ©s au Cap-Breton. Peu d’Acadiens quittent leur pays natal pour s’installer dans l’üle Saint-Jean avant les annĂ©es 1750. À cette Ă©poque, les habitants de l’üle Royale, pĂȘcheurs pour la plupart, cultivent dĂ©jĂ  du blĂ© et des lĂ©gumes dans de petites clairiĂšres et s’adonnent Ă  l’élevage. AprĂšs avoir acquis l’Acadie en 1713, l’Angleterre encourage l’agriculture dans les Maritimes Ă  des fins de dĂ©fense et de mercantilisme. Elle doit approvisionner la Nouvelle-Écosse, son rempart stratĂ©gique contre les Français. La Grande-Bretagne encourage aussi l’agriculture afin de fournir des vivres Ă  ses commerçants qui traitent avec les Antilles et du chanvre pour sa marine et les navires marchands le chanvre Ă©tait utilisĂ© pour confectionner la corderie des voiles. Elle offre des avantages financiers aux colons d’Halifax qui dĂ©frichent et qui clĂŽturent leurs terres mais, faute de marchĂ©s importants, la rĂ©gion ne dĂ©passe pas le stade de l’autosuffisance. Les Acadiens continuent Ă  approvisionner les Français retirĂ©s dans l’üle Royale, ce qui contribue Ă  leur expulsion par les Anglais en 1755. Ces derniers, toutefois, demanderont plus tard Ă  des Acadiens de leur enseigner la culture en rĂ©gions marĂ©cageuses, car l’afflux de colons loyalistes dans les annĂ©es 1780 augmente la demande de produits maraĂźchers. À cause de la forte concurrence des AmĂ©ricains dans le domaine de la farine et des cĂ©rĂ©ales, on convertit une grande partie des marais de la baie de Fundy en prairies propices Ă  l’élevage du bĂ©tail. Le gouvernement anglais tente aussi d’encourager les agriculteurs Ă  s’établir dans l’Île-du-Prince-Édouard en cĂ©dant 66 parcelles de 8,094 ha Ă  des particuliers. De 1783 Ă  1850, l’agriculture occupe une place prĂ©dominante dans l’Île-du-Prince-Édouard, tandis qu’en Nouvelle-Écosse elle est moins importante que la pĂȘche de la morue et le commerce avec les Antilles et que le commerce du bois et la construction navale au Nouveau-Brunswick. Avec l’immigration de Britanniques et de loyalistes, la zone agricole dans les Maritimes dĂ©passe les terres marĂ©cageuses et s’étend sur les rives des cours d’eau, le long du fleuve Saint-Jean en particulier. Les nouvelles terres se prĂȘtent bien Ă  la culture cĂ©rĂ©aliĂšre mais, pour des raisons d’ordre culturel, agricole et commercial, les colons s’adonnent en gĂ©nĂ©ral Ă  l’agriculture mixte. La plupart des agriculteurs Ă  temps plein se consacrent avant tout Ă  l’élevage du bĂ©tail, qui demande moins de main-d’Ɠuvre que la culture des cĂ©rĂ©ales. Avant 1850, la Nouvelle-Écosse et le Nouveau-Brunswick demeurent des importateurs nets de denrĂ©es alimentaires des États-Unis. Seule l’Île-du-Prince-Édouard dispose d’un excĂ©dent agricole et, dĂšs 1831, exporte du blĂ© en Angleterre. Au dĂ©but du XIXe siĂšcle, la mise en valeur agricole se heurte au manque de compĂ©tence des immigrants qui succĂšdent aux loyalistes. La plupart de ces colons sont des Écossais des Highlands qui sont peu prĂ©parĂ©s Ă  dĂ©fricher la forĂȘt vierge et Ă  pratiquer l’agriculture. En 1818, un marchand de Halifax, John Young, commence sous le surnom d’ Agricola » Ă  militer pour l’amĂ©lioration des mĂ©thodes agricoles. Des sociĂ©tĂ©s agricoles se forment alors autour d’un organisme central parrainĂ© par le gouvernement et installĂ© Ă  Halifax. Cependant, les efforts de Young sont pratiquement vains, car, les marchands ne s’intĂ©ressant pas Ă  l’agriculture locale, les agriculteurs sont peu motivĂ©s Ă  augmenter leur production pour la vente. NĂ©anmoins, les terres et la production agricoles augmentent progressivement et, vers le milieu du siĂšcle, les agriculteurs constituent une force politique et exigent l’amĂ©lioration des moyens de transport et une meilleure protection de l’agriculture. Du milieu du XIXe siĂšcle au dĂ©but du XXe siĂšcle [H3] AprĂšs 1850, deux importants facteurs touchent l’agriculture des Maritimes la spĂ©cialisation de la production agricole dans tout le monde capitaliste et, aprĂšs 1896 surtout, l’intĂ©gration de l’économie des Maritimes Ă  l’économie canadienne. Entre 1880 et 1900, la production de fromage et de beurre de fabrique augmente et l’exportation de pommes, vers l’Angleterre en particulier, progresse rapidement voir Industrie des fruits et lĂ©gumes. AprĂšs 1896, la prospĂ©ritĂ© liĂ©e Ă  la colonisation des Prairies ouvre le marchĂ© canadien aux fruits pommes surtout et aux pommes de terre. DĂšs les annĂ©es 1920, la concurrence des États-Unis, de l’Australie et de la Colombie-Britannique menace le marchĂ© d’exportation des pommes de la Nouvelle-Écosse en Angleterre, malgrĂ© les amĂ©liorations que les pomiculteurs nĂ©o-Ă©cossais apportent Ă  leurs mĂ©thodes de production. Le marchĂ© de la pomme de terre acquiert de nouveaux dĂ©bouchĂ©s Ă  Cuba et aux États-Unis et bien que, Ă  partir de 1928, Cuba atteigne l’autosuffisance en matiĂšre de pommes de terre, l’Île-du-Prince-Édouard y conserve une part du marchĂ© en lui fournissant des semences. Vers 1920, les secteurs agricoles des Maritimes qui sont tributaires des marchĂ©s locaux commencent Ă  souffrir. Les difficultĂ©s que connaĂźt l’industrie forestiĂšre contribuent Ă  la disparition des marchĂ©s et l’avĂšnement du moteur Ă  combustion interne diminue la demande de chevaux et de foin. La viande provenant d’autres rĂ©gions du Canada supplante la production locale. De plus, dans les annĂ©es 30, il devient plus difficile d’exporter des pommes de terre vers les marchĂ©s cubain et amĂ©ricain. Tous ces facteurs, qui s’ajoutent aux problĂšmes qui sĂ©vissent dans l’industrie des fourrures de renard argentĂ© voir Élevage d’animaux Ă  fourrure sont catastrophiques pour l’Île-du-Prince-Édouard, dont le revenu agricole passe de 9,8 millions de dollars en 1927 Ă  2,3 millions de dollars en 1932. Seul, le marchĂ© des pommes reste stable grĂące au tarif prĂ©fĂ©rentiel que l’Angleterre accorde aux pomiculteurs de l’Empire. Face aux nombreuses difficultĂ©s des annĂ©es 30, de nombreux agriculteurs se tournent vers une agriculture plus diversifiĂ©e et autarcique, changement qui a pour consĂ©quence l’augmentation des produits laitiers, de volaille et d’Ɠufs. Terre-Neuve [H2] À Terre-Neuve, l’agriculture a toujours Ă©tĂ© marginale. Les pĂȘcheurs pratiquent nĂ©anmoins une agriculture de subsistance le long des criques et des ports de la cĂŽte orientale et l’agriculture commerciale se dĂ©veloppe dans la pĂ©ninsule d’Avalon et dans certaines parties des baies de Bonavista, de Notre-Dame et de la TrinitĂ©. L’agriculture terre-neuvienne connaĂźt ses vĂ©ritables dĂ©buts au moment des pĂ©nuries de vivres liĂ©es Ă  la guerre de l’IndĂ©pendance amĂ©ricaine 3100 ha sont alors mis en culture dans les rĂ©gions de St. John’s, de Harbour Grace et de Carbonear. Puis, au dĂ©but du XIXe siĂšcle, plusieurs facteurs viennent stimuler l’agriculture l’arrivĂ©e d’immigrants irlandais compĂ©tents dans ce domaine, l’essor de St. John’s en tant que marchĂ© de lĂ©gumes, l’instauration d’un programme de construction de routes et, en 1813, l’autorisation permettant au gouverneur d’accorder des titres de propriĂ©tĂ© Ă  des fins commerciales. À la fin du XIXe et au dĂ©but du XXe siĂšcle, le gouvernement redouble d’efforts pour intĂ©resser la population Ă  l’agriculture. DĂšs 1900, la colonie compte 298 km2 de terres en culture et quelque 120 000 chevaux, bovins et moutons. Par l’intermĂ©diaire du Newfoundland Agricultural Board Commission agricole de Terre-Neuve formĂ© en 1907, le gouvernement crĂ©e des sociĂ©tĂ©s agricoles 91 en 1913 qui fournissent une aide dans des domaines tels que le dĂ©frichage de terres ou l’achat de semences et d’outillage agricole. Dans les annĂ©es 20, le gouvernement importe des animaux de race pour amĂ©liorer le cheptel local et, dans les annĂ©es 30, afin d’allĂ©ger les Ă©preuves dues Ă  la Crise, il cĂšde aux instances d’un groupe privĂ©, la Land Development Association Association pour la mise en valeur des terres, et fournit gratuitement des semences de pommes de terre dans le but d’encourager la culture potagĂšre. AprĂšs son entrĂ©e dans la ConfĂ©dĂ©ration en 1949, Terre-Neuve profite des subventions fĂ©dĂ©rales pour Ă©laborer des programmes de prĂȘts aux agriculteurs, de dĂ©frichage de terres ainsi que pour stimuler la production d’Ɠufs et de porcs. QuĂ©bec [H2] XVIIe et XVIIIe siĂšcles [H3] En 1617, Louis HĂ©bert commence Ă  Ă©lever du bĂ©tail et Ă  dĂ©fricher un lopin pour la culture. Par la suite, d’autres colons suivent son exemple, cultivent cĂ©rĂ©ales, pois et maĂŻs. Cependant, en 1625, on ne compte encore que six hectares de terres en culture. À partir de 1612, le roi de France accorde des monopoles de traite des fourrures Ă  une sĂ©rie de compagnies qui, en Ă©change, s’engagent Ă  installer des colons. Ces compagnies Ă  charte font venir des colons qui dĂ©frichent des terres Ă  l’aide de bƓufs, d’ñnes et, plus tard, de chevaux, mais l’agriculture ne rĂ©pond aux besoins locaux que vers 1640 et la commercialisation des produits agricoles demeure difficile durant tout le rĂ©gime français. En 1663, Louis XIV rĂ©affirme la domination royale et encourage la colonisation par des familles. L’intendant Jean Talon rĂ©serve des parcelles pour des expĂ©riences et des dĂ©monstrations agricoles, introduit la culture du chanvre et du houblon notamment, Ă©lĂšve diverses espĂšces de bĂ©tail et conseille les colons en matiĂšre de mĂ©thodes agricoles. DĂšs 1721, les agriculteurs de la Nouvelle-France rĂ©coltent chaque annĂ©e 99 600 hectolitres hl de blĂ© et des quantitĂ©s moindres d’autres denrĂ©es. Ils possĂšdent en outre quelque 30 000 bĂȘtes bovins, porcs, moutons et chevaux voir RĂ©gime seigneurial. AprĂšs 1763, Ă  la suite de l’arrivĂ©e de marchands anglais, les produits agricoles canadiens trouvent de nouveaux dĂ©bouchĂ©s au sein du systĂšme mercantile britannique. La culture est surtout l’affaire des habitants francophones, mais des colons anglophones viennent les rejoindre. Des sujets anglais achĂštent des seigneuries qu’ils peuplent d’immigrants Ă©cossais, irlandais et amĂ©ricains. Des colons de la Nouvelle-Angleterre viennent aussi s’installer dans les Cantons de l’Est et dans d’autres rĂ©gions. Dans les journaux, les Anglo-Canadiens font valoir de nouvelles techniques de culture du blĂ© et de la pomme de terre et, en 1792, crĂ©ent une sociĂ©tĂ© d’agriculture Ă  QuĂ©bec. Comme le gouvernement encourage surtout le Haut-Canada l’Ontario et les Maritimes, la croissance des exportations de blĂ© du Bas-Canada le QuĂ©bec, avant 1800, demeure modeste. Pendant la premiĂšre moitiĂ© du XIXe siĂšcle, toutefois, la production de blĂ© du Bas-Canada reste loin derriĂšre celle du Haut-Canada. Certains attribuent cet Ă©chec aux sols et au climat de la rĂ©gion qui conviennent assez mal Ă  la culture du blĂ©, seule denrĂ©e offrant des possibilitĂ©s importantes d’exportation, Ă  l’épuisement du sol et au fait que, pendant cette pĂ©riode, la population de la province croĂźt plus rapidement que sa production agricole. Disposant de peu d’excĂ©dents Ă  rĂ©investir en valeurs, le Bas-Canada tarde Ă  dĂ©velopper un rĂ©seau routier et les frais de transport y demeurent Ă©levĂ©s. Du dĂ©but du XIXe siĂšcle au milieu du XXe siĂšcle [H3] Dans les annĂ©es 1830, le Bas-Canada ne peut dĂ©jĂ  plus subvenir Ă  ses propres besoins en blĂ© et en farine et commence Ă  importer de plus en plus du Haut-Canada. Au milieu du siĂšcle, la production agricole brute du Canada-Est le QuĂ©bec s’élĂšve Ă  21 millions de dollars, soit seulement 60 % environ de la production du Canada-Ouest l’Ontario. Les fermes en voie de modernisation, tout comme les fermes traditionnelles, ont la charge de plus d’enfants qu’elles ne peuvent en nourrir et la pauvretĂ© gĂ©nĂ©rale incite des milliers d’habitants Ă  s’installer dans les villes du QuĂ©bec ou Ă  Ă©migrer en Nouvelle-Angleterre voir Franco-AmĂ©ricains. AiguillonnĂ©e par des colonisateurs religieux, la colonisation s’étend aussi au nord de Trois-RiviĂšres, au sud du lac Saint-Jean et sur la rive sud de la riviĂšre ChaudiĂšre, mais on y pratique peu l’agriculture commerciale. Vers la fin du XIXe siĂšcle, l’agriculture du QuĂ©bec connaĂźt une augmentation de la superficie cultivĂ©e et de la productivitĂ© et on dĂ©laisse la culture du blĂ© pour se tourner vers l’industrie laitiĂšre et l’élevage. À partir des annĂ©es 1860, des agents du gouvernement s’emploient Ă  faire valoir, auprĂšs des agriculteurs, les possibilitĂ©s commerciales de l’industrie laitiĂšre et des agronomes comme Édouard Barnard mettent sur pied une presse agricole et instituent l’inspection gouvernementale des produits laitiers. Des laiteries, des fromageries et des beurreries s’ouvrent prĂšs des villes et des voies ferrĂ©es, notamment dans la plaine montrĂ©alaise et dans les Cantons de l’Est. Au QuĂ©bec, vers 1900, l’industrie laitiĂšre constitue le principal secteur agricole. Elle se mĂ©canise, aux champs comme Ă  l’usine, et l’industrie comprend de plus en plus d’hommes Ă  mesure que les produits de la ferme se transforment en usine. À la fin du siĂšcle, le QuĂ©bec produit 3,6 millions de kilogrammes de fromage, soit 8 fois plus qu’en 1851. Vers 1920, toutefois, l’agriculture ne reprĂ©sente dĂ©jĂ  plus que le tiers de l’économie quĂ©bĂ©coise. La PremiĂšre Guerre mondiale ayant provoquĂ© une stimulation artificielle de la production, les secteurs minier, forestier et hydroĂ©lectrique attirent des entreprises qui ouvrent de nouveaux marchĂ©s et contribuent Ă  transformer l’économie quĂ©bĂ©coise, jusqu’ici agricole, en une Ă©conomie industrielle. Dans les annĂ©es 20, les terres du QuĂ©bec s’épuisent de nouveau par manque de fertilisants dĂ» Ă  l’absence de crĂ©dits. C’est Ă  ce problĂšme, ainsi qu’à d’autres, que s’attaquent les organisations politiques d’agriculteurs, comme l’Union catholique des cultivateurs, fondĂ©e en 1924. Comme tous les agriculteurs canadiens, les cultivateurs quĂ©bĂ©cois souffrent pendant les annĂ©es 30. Dans les rĂ©gions Ă©loignĂ©es des marchĂ©s urbains, on assiste Ă  la reprise de l’agriculture non commerciale et Ă  la multiplication des fermes. Pendant cette dĂ©cennie, le revenu des fermiers diminue beaucoup plus que celui des citadins. La DeuxiĂšme Guerre mondiale marque le retour en force de l’agriculture commerciale. Ensuite, l’aprĂšs-guerre se caractĂ©rise par la diminution du nombre de fermes et de la population rurale ainsi que par l’augmentation de la taille moyenne des propriĂ©tĂ©s agricoles. Ontario [H2] De la fin du XVIIIe siĂšcle au milieu du XIXe siĂšcle [H3] L’avĂšnement de l’indĂ©pendance amĂ©ricaine en 1783 a deux consĂ©quences. Elle reprĂ©sente une menace Ă  la sĂ©curitĂ© de la frontiĂšre mĂ©ridionale de l’AmĂ©rique du Nord britannique et elle prive l’Angleterre de sa principale source de produits agricoles en AmĂ©rique du Nord. Les Anglais dirigent les loyalistes dans la rĂ©gion infĂ©rieure des Grands Lacs, le long desquels le gouverneur Simcoe suggĂšre d’installer des soldats Ă  des fins de dĂ©fense, tandis que d’autres colons s’installeront sur les terres Ă  l’arriĂšre. Les autoritĂ©s encouragent d’abord la culture du chanvre comme produit d’exportation propre Ă  stimuler l’industrie anglaise et Ă  contribuer Ă  la dĂ©fense. Mais le projet Ă©choue Ă  cause de la main-d’Ɠuvre insuffisante par rapport Ă  l’envergure de la rĂ©gion Ă  cultiver. Entre 1783 et 1815, le peuplement progresse sur les rives des Grands Lacs et du Saint-Laurent, oĂč l’on cultive des cĂ©rĂ©ales et des lĂ©gumes, en gĂ©nĂ©ral pour subvenir Ă  ses besoins. De 1800 Ă  1860, la culture du blĂ© domine dans la rĂ©gion qui constitue actuellement l’Ontario. Le blĂ©, la denrĂ©e la plus facile Ă  cultiver et Ă  Ă©couler est une source importante de revenus pour les colons. Outre la demande intĂ©rieure des garnisons anglaises, des Ă©quipes des chantiers de construction et des camps de bĂ»cherons, les marchĂ©s principaux sont l’Angleterre et le Bas-Canada. De 1817 Ă  1825, les agriculteurs du Haut-Canada expĂ©dient une moyenne de 57 800 hl hectolitres de blĂ© Ă  MontrĂ©al. Cette dĂ©pendance Ă  la culture du blĂ© se traduit par une Ă©conomie en dents de scie. En 1820, l’application des restrictions prĂ©vues dans la loi sur les cĂ©rĂ©ales ferme les marchĂ©s britanniques au blĂ© de l’AmĂ©rique du Nord britannique et provoque une baisse dĂ©sastreuse des prix du blĂ© et de la valeur des terres. GrĂące Ă  l’établissement, en 1825, de droits prĂ©fĂ©rentiels pour le blĂ© de l’AmĂ©rique du Nord britannique, les prix et les exportations reprennent, mais le marchĂ© s’effondre en 1834-1835. À la fin des annĂ©es 1830, les mauvaises rĂ©coltes rĂ©duisent presque Ă  la famine de nombreuses rĂ©gions rĂ©cemment colonisĂ©es. Du milieu du XIXe siĂšcle au dĂ©but du XXe siĂšcle [H3] Les États-Unis connaissent des revers analogues, ce qui permet temporairement au Haut-Canada d’y exporter ses surplus de blĂ© en dĂ©pit des tarifs douaniers. Entre-temps, l’amĂ©lioration des moyens de transport facilite l’expĂ©dition de denrĂ©es vers d’autres rĂ©gions. GrĂące Ă  ces progrĂšs, Ă  des conditions climatiques favorables et Ă  la croissance des marchĂ©s, les exportations de blĂ© passent de 1 million d’hectolitres en 1840 Ă  2,25 millions d’hectolitres en 1850. AprĂšs 1850, l’agriculture en Ontario se diversifie de plus en plus. L’abrogation des lois sur les cĂ©rĂ©ales en 1846 abolit le statut prĂ©fĂ©rentiel du blĂ© de l’AmĂ©rique du Nord britannique et favorise ainsi la dĂ©stabilisation des prix, mais la hausse des prix amĂ©ricains aprĂšs la dĂ©couverte d’or en Californie aide les producteurs Ă  surmonter les obstacles au commerce du bĂ©tail, de la laine, du beurre et des cĂ©rĂ©ales secondaires. De 1854 Ă  1866, le TraitĂ© de rĂ©ciprocitĂ© prolonge la situation favorable aux Ă©changes commerciaux. Par ailleurs, la baisse des prix en 1857 et la destruction des rĂ©coltes par les moucherons en 1858 hĂątent le passage Ă  l’élevage du bĂ©tail. En 1864, commence la fabrication industrielle du fromage et, vers 1900, le cheddar canadien, fabriquĂ© principalement en Ontario, a dĂ©jĂ  conquis 60 % du marchĂ© anglais. Deux organisations d’agriculteurs – la Grange aprĂšs 1872 et les Patrons of Industry aprĂšs 1889 montrent que les agriculteurs ontariens prennent de plus en plus conscience de leurs capacitĂ©s de production. Au XIXe siĂšcle, les progrĂšs techniques facilitent Ă  la fois la culture des cĂ©rĂ©ales et l’élevage du bĂ©tail. AprĂšs 1815, l’introduction de charrues en fonte, copies des modĂšles amĂ©ricains, amĂ©liore le labourage. De 1830 Ă  1850 environ, la rotation des cultures se rĂ©pand tous les deux ans, on pratique gĂ©nĂ©ralement la mise en jachĂšre des terres pendant l’étĂ© terre non ensemencĂ©e pour lutter contre les mauvaises herbes. Les autoritĂ©s gouvernementales recommandent aussi la technique anglaise des drains couverts pour assĂ©cher de vastes Ă©tendues de terrains bas ou marĂ©cageux. Cette technique permet d’éviter les fossĂ©s et les rigoles de drainage qui gĂȘnent la mĂ©canisation. L’usage de la moissonneuse, qui se rĂ©pand rapidement vers 1860, permet d’augmenter la production de grains. L’utilisation courante de l’écrĂ©meuse, dĂšs 1900, stimule la production du beurre, tandis que la rĂ©frigĂ©ration lance l’industrie du bƓuf et du porc. Du dĂ©but au milieu du XXe siĂšcle [H3] À la fin du XIXe et au dĂ©but du XXe siĂšcle, l’urbanisation augmente le besoin de culture maraĂźchĂšre prĂšs des villes et de cultures plus spĂ©cialisĂ©es dans diffĂ©rentes rĂ©gions vergers dans la pĂ©ninsule du Niagara et dans les comtĂ©s de Prince-Édouard et d’Elgin, tabac dans les comtĂ©s d’Essex et de Kent. L’industrie laitiĂšre se dĂ©veloppe Ă  la lisiĂšre des villes; les cultures marchandes diminuent au profit des grains de provende et du fourrage. De leur cĂŽtĂ©, les producteurs de bƓuf ne peuvent plus rĂ©pondre Ă  la demande intĂ©rieure. On trouve dans tout l’Ontario rural, des associations d’éleveurs, de producteurs laitiers, de producteurs de cĂ©rĂ©ales, de fruits, etc. fondĂ©es par les cultivateurs ainsi que les Farmers’ Institutes et les Women’s Institutes lancĂ©s par le gouvernement. Ces associations tĂ©moignent de la foi en la vie campagnarde, face Ă  l’exode rural et Ă  une sociĂ©tĂ© en voie d’industrialisation. Divers groupes organisĂ©s par des agriculteurs participent au mouvement des Fermiers unis de l’Ontario qui constitue le gouvernement provincial en 1919, sous la direction de E. C. Drury. Pendant les annĂ©es 20, la hausse du prix de certaines denrĂ©es agricoles permet aux agriculteurs ontariens de goĂ»ter Ă  la prospĂ©ritĂ©, dont l’un des effets est de ralentir l’exode vers les villes. En 1931, cependant, les revenus agricoles ont dĂ©jĂ  diminuĂ© de 50 % par rapport Ă  1926. L’Ontario Ă©chappe Ă  la sĂ©cheresse qui sĂ©vit dans les Prairies, mais les fermiers n’arrivent pas Ă  vendre le plus gros de leur production les surplus de viande, de fromage, de lĂ©gumes et de pommes sont envoyĂ©s dans l’Ouest. Le gouvernement fait face Ă  la crise en recourant Ă  la rĂ©glementation, pour l’industrie laitiĂšre principalement. En 1931, il crĂ©e la RĂ©gie des marchĂ©s de l’Ontario, dotĂ©e d’un plan quinquennal en 1932. GrĂące aux prĂȘts gouvernementaux, les producteurs amĂ©liorent leurs troupeaux et modernisent leurs exploitations. DĂšs la DeuxiĂšme Guerre mondiale, l’agriculture ontarienne se diversifie en fonction d’un marchĂ© urbain, et les rĂ©gies des marchĂ©s agricoles de mĂȘme que les coopĂ©ratives d’agriculteurs jouent des rĂŽles de premier plan. Prairies [H2] Du dĂ©but du XIXe siĂšcle au dĂ©but du XXe siĂšcle [H3] AmĂ©rique du Nord britannique, les colons Ă©cossais, aprĂšs leur arrivĂ©e en 1812, pratiquent l’agriculture sur des terres riveraines dans la colonie de la riviĂšre Rouge. Le systĂšme d’arpentage est canadien-français, mais les coutumes agricoles s’inspirent du modĂšle Ă©cossais. On cultive en bandes les terres adjacentes Ă  la riviĂšre infield, tandis que les terres situĂ©es Ă  l’arriĂšre outfield sont rĂ©servĂ©es aux pĂąturages. Les MĂ©tis font alterner l’agriculture et les activitĂ©s saisonniĂšres comme la chasse au bison. La colonie de la riviĂšre Rouge en vient Ă  jouer un rĂŽle dans l’approvisionnement du commerce des fourrures, en s’ajoutant Ă  l’agriculture pratiquĂ©e par les Autochtones et sous l’autoritĂ© des compagnies. La ConfĂ©dĂ©ration stimule le dĂ©veloppement de l’agriculture des Prairies occidentales. Au milieu du XIXe siĂšcle, des hommes d’affaires du centre du Canada cherchent des possibilitĂ©s d’investissement susceptibles de parfaire le dĂ©veloppement industriel du centre du pays. La perspective d’étendre l’agriculture Ă  l’intĂ©rieur des terres de l’Ouest leur semble bien attirante. Le Canada achĂšte la Terre de Rupert Ă  la Compagnie de la Baie d’Hudson 1870, rĂ©prime la rĂ©sistance des MĂ©tis 1869-1970 et 1885, dĂ©place la population autochtone et procĂšde Ă  l’arpentage des terres qu’il entend cĂ©der aux colons voir Politique sur les terres fĂ©dĂ©rales. Le blĂ© prend rapidement une place importante dans l’économie. Cependant, la stagnation prolongĂ©e des prix mondiaux qui aboutit Ă  une crise mondiale au dĂ©but des annĂ©es 1890 interrompt le dĂ©veloppement jusqu’à 1900. L’Ouest canadien se heurte Ă  deux obstacles majeurs la sĂ©cheresse du climat et la briĂšvetĂ© de la saison de culture. NĂ©anmoins, des expĂ©riences gĂ©nĂ©tiques amĂšnent la mise au point du blĂ© Marquis en 1907 et le gouvernement du Dominion encourage la mise en jachĂšre pendant l’étĂ© pour conserver l’humiditĂ© du sol et lutter contre les mauvaises herbes. Ces mesures aident Ă  supprimer les obstacles techniques Ă  l’expansion continue de l’agriculture. Dans les annĂ©es 1870 et 1880, commence l’amĂ©nagement de vastes ranchs sur les terres louĂ©es Ă  bail dans le Sud de la Saskatchewan et de l’Alberta actuelles. L’irrigation Ă  petite Ă©chelle Ă  partir de 1870 et l’instauration d’une politique d’irrigation en 1894 permettent pratiquement de surmonter le problĂšme de la sĂ©cheresse. De plus, la baisse gĂ©nĂ©rale des frais de transport voir Convention du Nid-de-Corbeau et la hausse relative du prix du blĂ© Ă  la fin des annĂ©es 1890 donnent Ă  l’agriculture de l’Ouest le stimulant Ă©conomique dont elle a besoin. Le gouvernement canadien achĂšve la colonisation agricole des Prairies dans le cadre des projets d’immigration de Clifford Sifton. Fruits de la mĂ©canisation de l’économie du blĂ©, les tracteurs Ă  vapeur et Ă  essence, les charrues polysocs et les batteuses permettent d’amasser d’énormes surplus. La hausse sans prĂ©cĂ©dent du prix du blĂ© pendant la PremiĂšre Guerre mondiale encourage la culture de nouvelles terres, mais la baisse des prix, en 1913, et aprĂšs la guerre prĂ©cipite la faillite de nombreux agriculteurs surcapitalisĂ©s. NĂ©anmoins, de 1901 Ă  1931, la superficie des terres ensemencĂ©es dans les Prairies passe de 1,5 Ă  16,4 millions d’hectares. Du dĂ©but au milieu du XXe siĂšcle [H3] Les agriculteurs des Prairies ressentent durement l’effondrement des prix du blĂ© aprĂšs la PremiĂšre Guerre mondiale. Nombre d’entre eux, incapables de payer l’outillage et les terres achetĂ©s Ă  prix Ă©levĂ© pendant la guerre, perdent leurs fermes. De 1920 Ă  1940, les exploitants de terres au sol plus pauvre, tout comme les agriculteurs installĂ©s dans la zone de sĂ©cheresse du Sud-Ouest de la Saskatchewan et du Sud-Est de l’Alberta, ne cessent de perdre de l’argent. Dans les annĂ©es 30, sĂ©cheresse, sauterelles et maladies des rĂ©coltes aggravent davantage la situation des agriculteurs et le gouvernement rĂ©agit en instaurant une Administration du rĂ©tablissement agricole des Prairies. Les progrĂšs technologiques, comme la mise au point de la moissonneuse-batteuse, augmentent l’efficacitĂ© de l’agriculture et Ă©liminent en mĂȘme temps les agriculteurs qui ne possĂšdent pas le capital nĂ©cessaire Ă  l’achat des nouvelles machines. Interrompue pendant les annĂ©es 30, la mĂ©canisation de l’agriculture dans les Prairies reprend de plus belle aprĂšs la DeuxiĂšme Guerre mondiale. Depuis le dĂ©but de la colonisation, les agriculteurs de l’Ouest dĂ©pendent des hommes d’affaires du centre du Canada pour les intrants de leur production et pour financer, acheter et transporter leur grain. Afin de maĂźtriser quelque peu les forces Ă©conomiques qui les dominent, ils se regroupent en organisations pour dĂ©fendre leurs intĂ©rĂȘts. Au Manitoba et dans les Territoires du Nord-Ouest, les premiers mouvements agraires vantent les vertus de la coopĂ©ration, critiquent la politique tarifaire du gouvernement canadien, le prix du transport des marchandises et le refus du gouvernement fĂ©dĂ©ral d’accorder une charte aux sociĂ©tĂ©s de chemin de fer rivales du Canadien Pacifique. En 1899, aprĂšs avoir forcĂ© le gouvernement Ă  assurer que les sociĂ©tĂ©s ferroviaires offriraient de meilleurs services, les agriculteurs forment des associations de producteurs de grain dans les Territoires du Nord-Ouest en 1901-1902 et au Manitoba en 1903. Ces organisations informent les agriculteurs, recommandent que le gouvernement provincial Ă©tatise les silos Ă  grains de l’intĂ©rieur et militent pour la commercialisation coopĂ©rative des grains. Les agriculteurs rĂ©alisent ce dernier objectif en 1906 en formant la Grain Growers’ Grain Co. Cette compagnie est reprĂ©sentative de la premiĂšre phase de la commercialisation coopĂ©rative des cĂ©rĂ©ales dans les Prairies. À la lumiĂšre de la grande prise de conscience des agriculteurs et des travailleurs aprĂšs la PremiĂšre Guerre mondiale, on lui reproche d’ĂȘtre trop axĂ©e sur les affaires. On voit naĂźtre une aile radicale, dirigĂ©e par Wood, des Fermiers unis de l’Alberta. Entre 1923 et 1924, les agriculteurs organisent des syndicats obligatoires, en fait, une nouvelle forme de commercialisation coopĂ©rative, dans les trois provinces des Prairies voir, par exemple, Saskatchewan Wheat Pool. Les syndicats ont du succĂšs tout au long des annĂ©es 20, mais s’effondrent sous le choc de la Crise des annĂ©es 1930. Le gouvernement fĂ©dĂ©ral intervient pour sauver les syndicats et stabiliser le marchĂ© du blĂ©, mais on accorde la direction de cette opĂ©ration Ă  une personne issue du commerce privĂ© des grains, ce qui sape la nature coopĂ©rative originale des syndicats. Dans le cadre d’une deuxiĂšme tentative visant Ă  stabiliser le marchĂ©, le gouvernement instaure, en 1935, la Commission canadienne du blĂ© que les agriculteurs rĂ©clament depuis leur expĂ©rience d’une commission de blĂ© en 1919-1920. Cependant, cette Commission, Ă  nouveau dominĂ©e par le commerce privĂ© des grains, dĂ©fend ses intĂ©rĂȘts autant que ceux des agriculteurs. En 1943, il devient obligatoire de passer par la Commission du blĂ© pour commercialiser le blĂ© de l’Ouest, puis, en 1949, l’orge et l’avoine. Le gouvernement fĂ©dĂ©ral met fin au monopole de la Commission canadienne du blĂ© en 2012 et permet ainsi aux agriculteurs de vendre leurs cĂ©rĂ©ales Ă  la compagnie de leur choix. Le mouvement agraire de l’Ouest canadien reprĂ©sente plus qu’un phĂ©nomĂšne Ă©conomique. Les membres des syndicats, les associations de producteurs de grains et les partis politiques rĂ©unissant les agriculteurs jouent un rĂŽle important dans les questions de culture, de sociĂ©tĂ© et de politique des Prairies, autant que dans leur Ă©conomie. Par exemple, les femmes qui participent au mouvement agraire sont actives dans la croisade en faveur de la tempĂ©rance, luttent pour la reconnaissance du droit de vote de la femme, pour le bien-ĂȘtre des enfants et pour l’instruction de la population rurale, autant que pour les causes Ă©conomiques et politiques qu’elles dĂ©fendent avec les hommes. Les mouvements politiques de contestation, comme l’Union des agriculteurs du Canada, qui mĂšnent la lutte pour les syndicats dans les annĂ©es 20, se joignent par la suite Ă  la Co-operative Commonwealth Federation oĂč ils constituent un Ă©lĂ©ment important de la tradition socialiste canadienne. Colombie-Britannique [H2] XIXe siĂšcle [H3] En Colombie-Britannique, l’agriculture se dĂ©veloppe d’abord pour alimenter le commerce des fourrures. En 1811, Daniel Harmon, de la Compagnie du Nord-Ouest, entreprend un potager prĂšs du lac Stuart et, plus tard, des agents de la Compagnie de la Baie d’Hudson CBH plantent de petits jardins dans l’üle de Vancouver, Ă  Fort St. James, Fort Fraser et Fort George. La CBH collabore aussi Ă  l’établissement de la Puget’s Sound Agricultural Co. AprĂšs 1858, les ruĂ©es vers l’or stimulent la demande commerciale de produits agricoles. Des entreprises d’élevage et quelques colons agriculteurs s’établissent dans les vallĂ©es des riviĂšres Thompson et Nicola, mais la production demeure bien infĂ©rieure Ă  la demande, car l’or attire davantage les nouveaux venus que les dĂ©bouchĂ©s agricoles. Au dĂ©but des annĂ©es 1880, les camps de construction du chemin de fer fournissent un marchĂ© local pour les produits agricoles, mais la mise en place des raccordements du rail canadien dĂ©truit la jeune industrie du blĂ©, incapable de concurrencer le blĂ© des Prairies, au niveau de la qualitĂ© et du prix. Dans les annĂ©es 1890, l’ouverture des mines Boundary et Kootenay crĂ©e de nouveaux marchĂ©s. Les sociĂ©tĂ©s d’exploitation forestiĂšre et les usines d’emballage du poisson stimulent aussi l’agriculture, mais les producteurs qui dĂ©pendent de l’industrie locale souffrent du dĂ©placement des camps de bĂ»cherons ou de la fermeture des mines et des conserveries. On continue de pratiquer l’agriculture Ă  grande Ă©chelle dans des districts comme ceux de Cariboo et de Similkameen, tandis que des exploitations spĂ©cialisĂ©es plus petites se dĂ©veloppent dans les vallĂ©es de l’Okanagan et du Fraser. DĂšs les annĂ©es 1880, la culture des arbres fruitiers apparaĂźt dans la vallĂ©e de l’Okanagan, tandis que des industries maraĂźchĂšre et laitiĂšre s’épanouissent dans la vallĂ©e infĂ©rieure du Fraser, grĂące Ă  la croissance de marchĂ©s urbains. DĂ©but du XXe siĂšcle [H3] La British Columbia Fruit-Growers’ Association, fondĂ©e en 1889, constitue le premier regroupement officiel de producteurs de la province. L’organisme entend Ă©tudier les possibilitĂ©s de marchĂ© dans les Prairies et les mĂ©thodes de rĂ©gulation de la commercialisation des fruits. En 1913, les difficultĂ©s Ă©conomiques contraignent les producteurs de fruits de l’Okanagan Ă  mettre sur pied une coopĂ©rative de commercialisation et de distribution, amplement financĂ©e par le gouvernement provincial. La coopĂ©rative aide Ă  Ă©liminer la concurrence de l’Est et des États-Unis dans les Prairies. La crise de 1921-1922, toutefois, marque le dĂ©but d’une quĂȘte de stabilitĂ© plus permanente qui durera 18 ans. Le plan de 1923 demande aux producteurs de fruits d’accepter pendant cinq ans de vendre leur rĂ©colte par l’intermĂ©diaire d’une agence centrale. Seulement 80 % des producteurs soutiennent ce plan et la concurrence entre expĂ©diteurs empĂȘche les prix de monter. De 1927 Ă  1937, on met Ă  l’essai divers projets gouvernementaux et privĂ©s, mais sans succĂšs. En 1938, le gouvernement provincial crĂ©e le Tree Fruit Board en tant que seul organisme de commercialisation des pommes. L’annĂ©e suivante, des producteurs crĂ©ent Tree Fruits Ltd., organisme central de vente appartenant aux producteurs. En 1939-1940, le chiffre d’affaires des coopĂ©ratives d’agriculteurs de la Colombie-Britannique - dont Tree Fruits Ltd. est la plus importante - s’élĂšve Ă  prĂšs de 11 millions de dollars. La DeuxiĂšme Guerre mondiale entraĂźne des difficultĂ©s pour l’agriculture de cette province, car elle en paralyse les exportations mais, dĂšs 1944, l’aide gouvernementale et l’amĂ©lioration du pouvoir d’achat des Prairies contribuent Ă  la crĂ©ation d’un marchĂ© favorable aux vendeurs. Le Nord [H2] Au nord des 60 degrĂ©s de latitude nord, l’agriculture commence Ă  l’arrivĂ©e des EuropĂ©ens, car les Autochtones ne possĂšdent pas de techniques de culture adaptĂ©es Ă  cette rĂ©gion. AprĂšs l’expĂ©rience de jardinage tentĂ©e par Peter Pond prĂšs du lac Athabaska en 1778, la Compagnie de la Baie d’Hudson installe des cultures et du bĂ©tail Ă  Fort Simpson, Ă  Fort Norman maintenant Tulita et Ă  Fort Good Hope le long du fleuve Mackenzie, ainsi qu’à Fort Selkirk, au confluent de la riviĂšre Pelly et du fleuve Yukon. À la fin du XIXe siĂšcle et au dĂ©but du XXe siĂšcle, des missionnaires pratiquent l’élevage, le jardinage et la culture dans plusieurs missions. Pendant la ruĂ©e vers l’or du Klondike, des mineurs cultivent leurs propres lĂ©gumes dans le sol assez fertile de Dawson, mais on importe la plus grande partie des denrĂ©es alimentaires. C’est durant la pĂ©riode de la ruĂ©e vers l’or que se dĂ©veloppent les petits jardins maraĂźchers et l’agriculture Ă  temps partiel, subordonnĂ©e Ă  l’exploitation miniĂšre, qui caractĂ©risent l’agriculture dans le Nord au XXe siĂšcle. Au Yukon, des entreprises d’élevage s’établissent le long de la riviĂšre Pelly et de la piste Whitehorse-Dawson. La rĂ©gion miniĂšre de Mayo crĂ©e une demande de produits maraĂźchers. Dans le district Mackenzie, les missionnaires oblats entreprennent d’importantes activitĂ©s agricoles Ă  Fort Smith, Ă  Fort Resolution et Ă  Fort Providence. Au cours du XXe siĂšcle, le gouvernement fĂ©dĂ©ral Ă©tudie les possibilitĂ©s agricoles du Nord dans le cadre d’expĂ©riences menĂ©es en collaboration avec des agriculteurs qu’il choisit les missionnaires oblats, par exemple et, aprĂšs la DeuxiĂšme Guerre mondiale, dans ses propres sous-stations. Le consensus est que l’agriculture commerciale n’est pas viable dans cette rĂ©gion, d’autant plus que l’amĂ©lioration des transports permet aux produits du sud de supplanter toute production dans le Nord et que le climat y est un obstacle permanent. WSxrX.
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