Ilsse mariĂšrent et eurent beaucoup de surprises Ils se mariĂšrent et eurent beaucoup de surprises 15,00 € TTC "Un jour mon prince viendra, un jour il me dira? Halima, qu'as-tu mis dans les pĂątes? " Elles ont un drĂŽle de goĂ»t!" En enjolivant le rĂ©el, l'idĂ©alisation nous sauve de la routine de notre quotidien. ilS SE maRiĂšREnt Et EuREnt BEaucouP Saison 2013-2014 En famille ILS SE MariĂšrent et eurent beaucoup Texte Philippe Dorin mise en scĂšne Sylviane Fortuny © Andrey Lukin Avec Elvira Akmaeva, Veronica Kim, Maria Pavlova, Sacha Skorynava, Julia Tarnikova, Evgeny Kasantsev, Evgeny Mishechkin et Vladimir Sedletskiy J’aimerais avoir huit ans et avoir croisĂ© dans mon enfance le regard de Philippe Dorin et Sylviane Fortuny. Depuis 1997, ils croisent leur talent pour crĂ©er des spectacles magnifiques. » Brigitte Patient, France Inter LE PROPOS Le Grand T MAI ve 23 2030 DurĂ©e 1h Public Ă  partir de 8 ans Un jeune homme pleure sa fiancĂ©e partie Ă  l’autre bout du monde. Une jeune fille se prĂ©sente et lui dit que, comme la Terre est ronde, ça veut dire qu’elle est juste derriĂšre lui. Le jeune homme veut se retourner. Mais la jeune fille lui dĂ©fend. Car la Terre ne tourne que dans un seul sens. Elle lui propose plutĂŽt de regarder sa fiancĂ©e dans ses yeux Ă  elle. Le jeune homme s’approche. Elle lui dĂ©robe un baiser. Le jeune homme est fĂąchĂ©. Il lui ordonne de porter ce baiser jusqu’à l’autre bout du monde, Ă  celle pour lequel il est destinĂ©. Un petit tour de danse, et la voilĂ  partie. Mais c’est un baiser volĂ©. Tout le monde le sait dĂ©jĂ  et tout le monde en veut aussi. DĂ©jĂ , un nouveau soupirant se prĂ©sente. Ă  propos de Ils se mariĂšrent et eurent beaucoup Une suite de petits duos, de petits numĂ©ros ponctuĂ©s par une valse, qui comme un rideau de scĂšne permet de changer de lieu, d’amoureux et de sujet en deux temps trois mouvements. Est-ce l’amour qui passe ou les amoureux qui sont changeants ? Uniques ou multiples, les histoires d’amour nous transportent. Ce sont elles qui font tourner le monde. Ici, les rebondissements dramatiques sont d’abord des rebondissements de la langue. Les couples se font et se dĂ©font d’abord par les mots. Entre celui du ridicule et celui de la gourmandise, le rouge accompagne toujours les histoires d’amour. Du rideau rouge de la scĂšne Ă  celui du baiser final, il sera le fil conducteur du mĂȘme mot. la compagnie pour ainsi dire Contact pĂŽle public & mĂ©diation Caroline Urvoy [email protected] 02 28 24 28 17 Sylviane Fortuny et Philippe Dorin crĂ©ent la compagnie Pour Ainsi dire en 1997 Ă  Paris, autour d’une boulette de papier blanc trempĂ©e dans l’encre bleue. Les spectacles qui en sont nĂ©s gardent toujours cet esprit de quelque chose qui s’essaie, comme le brouillon encore raturĂ© et annotĂ© d’un Ă©crivain k comme une peinture qui n’est pas encore sĂšche. Il y a des bouts qui manquent et il reste toujours un peu d’encre sur les doigts. Le texte et la mise en scĂšne s’appuient toujours sur les propriĂ©tĂ©s imaginatives du théùtre, comme s’il Ă©tait en lui-mĂȘme la source et le lieu de toutes les histoires. Les spectacles s’adressent en prioritĂ© aux enfants mais totalement aux adultes qui les accompagnent.
Somethingwicked this way comes.Surveillance d'Ailinn Suite de "En pleine nuit" Damn, ils avaient réussi à entrer ! Les deux Mangemorts venaient de forcer la se

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 Un Homme, Une Femme
 ils se mariĂšrent et eurent beaucoup de surprises de Myriam Lakhdar Bounamcha Plus de dĂ©tails 2 ProduitsAttention derniĂšres piĂšces disponibles ! Envoyer Ă  un ami Imprimer Fiche techniqueAuteurMyriam Lakhdar-BounamchaNombre de pages 332Format A5Langues FrançaisType de couverture SoupleAnnĂ©e2007 En savoir pluspack de deux livres Il Était Une Fois
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 ils se mariĂšrent et eurent beaucoup de surprises de Myriam Lakhdar Bounamcha Contenu du pack 4 autres produits dans la mĂȘme catĂ©gorie ils se... 9,00 € Il Était... 9,00 € Il Y A Des... 18,00 € Le Plan De... 22,00 €

Lesinternautes se posaient la question. Ils ont désormais la réponse. Delphine et Romain, l'un des rares couples de la derniÚre saison de Mariés au premier regard, se sont séparés un an

Cette phrase rituelle Ă  la fin des contes de fĂ©e a longtemps Ă©tĂ© celle qui concluait les romances et si, aujourd’hui, pour suivre les Ă©volutions culturelles, elle n’est plus aussi vrai, elle demeure vraie. Je vais m’intĂ©resser surtout Ă  la derniĂšre partie de cette phrase car les bĂ©bĂ©s et les enfants demeurent la conclusion logique et immuable d’une romance rĂ©ussie. C’est mĂȘme un ressort essentiel de certaines histoires avec l’arrivĂ©e d’un bĂ©bĂ© dans une relation qui dĂ©bute ou qui va mal. Ma rĂ©flexion est venue de la lecture du romande Lauren Layne, I Knew You Were Trouble et je prĂ©fĂšre prĂ©venir je vais spoiler un peu le roman, mais pas trop et surtout, il n’existe qu’en anglais pour le moment ! Dans ce roman, l’hĂ©roĂŻne pour diverses raisons ne ressent aucune envie d’enfants et est Ă  peu prĂšs sĂ»re qu’elle n’en aura pas. Autant qu’il est possible d’ĂȘtre certain d’une chose car nous savons tous que parfois, on change d’avis. LĂ  n’est pas le problĂšme. Vous devinez la suite
 non seulement elle va modifier son opinion dans l’espace de quelques semaines mais son envie d’enfant va ĂȘtre trĂšs vite satisfaite par un accident de pilule oubliĂ©e soupir
. La cause de cette Ă©volution soudaine ? Un homme ! Le hĂ©ros. En fait, elle a rencontrĂ© l’homme qu’il fallait et naturellement » l’envie d’enfant est arrivĂ©e. Quel soulagement
 Le plus drĂŽle est qu’il y a dans le mĂȘme roman une discussion entre le hĂ©ros et sa mĂšre. Elle lui explique qu’aprĂšs tout, une femme peut ne pas avoir envie d’enfants et que c’est un choix Ă©minemment personnel qu’on ne doit pas juger, pas plus que l’inverse d’ailleurs. Le hĂ©ros en convient, lui qui a trĂšs envie d’avoir des enfants. Il admet mĂȘme que c’est d’une femme dont il est tombĂ© amoureux, pas d’une future mĂšre de ses propres rejetons. Tout cela me semble terriblement juste. Alors pourquoi retomber quelques pages plus loin dans un schĂ©ma hyper classique, avec une femme ravie de devenir mĂšre et qui quelque part reconnaĂźt s’ĂȘtre trompĂ©e et avoir confondu refus de devenir mĂšre avec le fait de ne pas avoir rencontrĂ© la bonne personne pour ça ? Il me semble que nous avons une fois de plus une romance qui flirte avec le fĂ©minisme la rĂ©flexion de la mĂšre du hĂ©ros est trĂšs juste et tolĂ©rante. Elle a eu plusieurs enfants, c’était son choix, elle est en est ravie mais parvient Ă  comprendre que ce ne soit pas celui de tout le monde. Mais bizarrement, cela n’est pas encore totalement admis dans la romance oĂč une vraie histoire d’amour se termine souvent avec des bĂ©bĂ©s considĂ©rĂ©s alors comme une source de bonheur absolu– les auteures n’hĂ©sitent pas Ă  sauter quelques annĂ©es dans l’épilogue pour nous montrer nos hĂ©ros enfin parents donc ayant concrĂ©tisĂ© leur amour. C’est en effet le schĂ©ma le plus souvent croisĂ© dans la sociĂ©tĂ© et qui rend trĂšs difficile aujourd’hui pour une femme – surtout une femme – de revendiquer son manque d’envie d’avoir un enfant. C’est considĂ©rĂ© comme Ă©goĂŻste ou je ne sais quoi mais en tous cas peu naturel », exceptionnel et surtout transitoire. Tout le monde pense que les choses changeront certainement au fil du temps. Elisabeth Badinter en son temps avait parlĂ© des limites de l’amour maternel L’amour en plus, Flammarion, 1980 et du fait qu’il n’est pas aussi naturel que ça que chaque femme ait envie de procrĂ©er, droit qu’on a souvent plus reconnu aux hommes. Aujourd’hui, il me semble qu’il est aussi normal » qu’un homme veuille des enfants qu’une femme n’en souhaite pas. Une fois de plus, la romance Ă©vite ce sujet Ă©pineux. Il l’est parce qu’il n’est pas facile pour une femme de revendiquer son absence de dĂ©sir d’enfants sans passer pour quelqu’un qui a des problĂšmes ou est une militante dangereuse. Dans la romance, ce besoin de faire avoir des enfants va trĂšs loin, au point que jamais, mĂȘme quand la situation est problĂ©matique pour l’hĂ©roĂŻne, il est question de la remise en cause du bonheur qu’apporte un enfant. Il n’a pas forcĂ©ment Ă©tĂ© dĂ©sirĂ© ? C’est toujours un bonheur. Cela peut l’ĂȘtre, j’en suis convaincue ; mais ça peut aussi ĂȘtre dramatique pour l’enfant et ses parents. La romance Ă©lude, au mieux, un dĂ©bat important, jette un voile honteux sur l’avortement dont le mot n’est pratiquement pas employĂ© ou avec horreur, ne prĂ©sente jamais un couple durablement heureux sans enfants, Ă©vite de parler de la stĂ©rilitĂ© irrĂ©versible dans les livres d’amour, les miracles sont frĂ©quents et la stĂ©rilitĂ© jamais dĂ©finitive. C’est pour moi, une fois de plus, un sujet qui mĂ©riterait d’ĂȘtre Ă©voquĂ© dans une romance plus fĂ©ministe, plus ouverte aux dĂ©bats de notre sociĂ©tĂ©. Elle vĂ©hicule une image trĂšs classique du rapport des femmes Ă  l’enfant et du couple Ă  la parentalitĂ©. Notons, toutefois, que le rapport homme/enfants a, lui, Ă©voluĂ©. Dans les romances d’il y a quelques annĂ©es, l’homme subissait la grossesse surprise de celle qu’il aimait en gĂ©nĂ©ral, il hurlait au piĂšge tendu par une vilaine prĂȘte Ă  tout pour le coincer dans un mariage, procrĂ©ait pour transmettre un nom, des biens et dĂ©couvrait le bĂ©bĂ© de façon trĂšs lointaine. Maintenant, le papa est adorable auprĂšs des petits enfants, jouent avec eux, s’en occupent ou alors on se moque de lui s’il a peur de changer les couches et de gĂ©rer des renvois de bĂ©bĂ©. Un peu clichĂ© aussi, me direz-vous, mais c’est dĂ©jĂ  mieux. De façon un peu pernicieuse, on prĂ©sente des hĂ©roĂŻnes battantes qui assument leur grossesse, seules, qui sont prĂȘtes Ă  refuser l’aide du pĂšre et mĂȘme le mariage quelle audace!. L’hĂ©roĂŻne n’est plus une petite chose victime de la sociĂ©tĂ© et assume sa grossesse, mĂȘme surprise. Tant mieux mais que cela ne cache pas le fait qu’une femme peut aussi avoir un problĂšme avec l’idĂ©e de devenir mĂšre, sujet bien plus tabou. Il reste donc Ă  Ă©crire des romances avec des couples aux prises avec l’absence de dĂ©sir d’enfants, sans tomber dans la caricature ni le jugement. C’est encore un terrain trĂšs peu dĂ©frichĂ© Ă  ce jour !

PhilippeDorin, comme auteur, et Sylviane Fortuny, comme metteur en scÚne, ne jouent pas, avec leur compagnie, pour ainsi dire, le jeu traditionnel du théùtre jeune public. Ils content des histoires interrompues, suspendues, imprévues. Le titre de leur dernier spectacle est explicite : Ils se mariÚrent et eurent beaucoup
Harry Potter 2005 ~€~ Autres Lieux Magiques ~€~ A l'Ă©trangerInvitĂ© Petite promenade en FranceInvitĂ©, le Mer 26 Jan - 1128 [autorisĂ© par Chris Bennet]Laura arrivait dans son pays d'origine La france. Laura avait une chose forte importante Ă  faire ici. Elle marchait et observa le fabuleux paysage. Elle s'arrĂȘta devant la boĂźte au lettres d'une maison, sur la boĂźte aux lettres, il y avait Ă©critMr et Mme JedusorC'Ă©tait la maison de ses parents. Laura sortit sa lettre et la relitCher pĂšre, chĂšre mĂšreJe ne vous Ă©crirais pas grand chose dans cette lettre. Tout ce que je vous dirais c'est que je ne viendrais plus jamais vous voir car je ne veux plus jamais vous voir pas avec toute la soufrance que vous m'avez causĂ©. Ma chouette n'a pas voulu venir, je pense qu'elle vous deteste elle mes parents que je hairais toujours. Elle Ă©tait parfaite, elle expliquait bien que Laura ne voulait plus jamais voir ses parents, ils avaient battus la jeune fille toute son enfance. Une fois sa mĂšre avait pris deux aiguilles et les avaient plantĂ© dans les yeux de Laura. Rien que d'y penser ça la faisait soufrir. Laura devait se ressaisir, elle s'assit au bord d'une fontaine oĂč l'eau Ă©tait potable, et s'asperga la tĂȘte d'eau fraiche. Quelques larmes tombĂšrent sur ses jours, des milliers d'enfants avaient vĂ©cu heureux avec leurs parents mais Le jeune Jedusor avait soufert avec eux et pourquoi. Parce que ses parents voulaient qu'elle deviennent comme son ancĂȘtre, Tom Jedusor, plus connu sous le nom de Voldemort. Akshay LecterSerpentard Re Petite promenade en FranceAkshay Lecter, le Ven 11 Mar - 1059 Akshay avait aussitĂŽt quittĂ© l'Irlande quand il avait appris le meurtre de son beau-frĂšre, la disparition de sa sƓur et l'existence de son neveu. Il transplana tout d'abord Ă  Londres, puis directement Ă  Paris. Il devait rencontrer Aaron Herman, l'inspecteur de la police spĂ©ciale chargĂ©e des relations avec Europole, la police europĂ©enne. L'inspecteur lui avait donnĂ© rendez-vous dans un quartier du centre de la capitale. Il arriva devant un bĂątiment rĂ©cent. Il entra. La secrĂ©taire Ă  l'accueil lui indiqua un bureau Ă  l'Ă©tage. Il s'y rendit. L'apprĂ©hension montait en lui, il avait peur de ce qu'allait lui dire le policier. Il avait aussi peur de son apparence, car il lui semblait qu'il Ă©tait encore plus blanc que d'habitude. De plus, cela faisait un moment qu'il ne s'Ă©tait pas nourrit, ses yeux avaient virer au noir charbonneux depuis quelques heures. Il arriva devant la porte du bureau d'Aaron Herman. Il toqua attendit l'invitation Ă  entrer et poussa la Herman avait l'apparence d'un vieux loup de mer. Il Ă©tait trapu, avait les cheveux poivre et sel, de gros sourcils, un gros nez et l'air dĂ©terminĂ© et bourru. Mais le bonhomme lui inspira quand mĂȘme de la sympathie. Akshay esquissa un sourire triste et l'inspecteur un sourire comprĂ©hensif. Akshay s'approcha et les deux hommes se saluĂšrent et se serrĂšrent la main. L'inspecteur frissonna lĂ©gĂšrement au contact de la main glacĂ©e du avez fais bon voyage?-Un voyage assez angoissant ressemblez beaucoup Ă  votre sƓur d'aprĂšs les photos que j'en ai avez une piste?-A premiĂšre vu, rien n'a Ă©tĂ© volĂ© dans le manoir de votre famille. Nous n'avons pas encore les causes exactes du dĂ©cĂšs de votre beau-frĂšre. Il n'a pas Ă©tĂ© Ă©tranglĂ©, n'a pas reçu de balles. Il ne montre aucune trace de lutte. Il Ă©tait simplement Ă©tendu au sol, mort. Akshay eut la nausĂ©e. Il lui semblait probable maintenant que l'inspecteur ne retrouve pas ceux qui avaient fait ça, puisque selon lui la mort n'avait pas Ă©tĂ© causĂ©e par des hommes, mais plutĂŽt pas un n'avez donc trouvĂ© aucune trace de ma sƓur?-Non, j'en suis dĂ©solĂ©. Mais je peux vous assurer que je ferai tout mon possible pour la en ce qui concerne mon neveux?-Il n'est pas trĂšs loin d'ici dans une famille d'accueil comme je vous l'ai dis. Si vous souhaitez le voir, nous pouvons y aller tout de j' avez rĂ©flĂ©chis Ă  ce dont je vous ai parlĂ© au tĂ©lĂ©phone?-Oui, je pense Ă©galement qu'il serait mieux avec eh bien je passe un coup de fil et je vous retrouve en bas, nous allons le sortit du bureau et se rendit dans le hall. La peur le rongeait de l'intĂ©rieur. Sa sƓur Ă©tait-elle toujours envie? Si c'Ă©tait bien des sorciers qui avaient fait ça, quelle Ă©tait leur motivation? Misha n'avait jamais utilisĂ© la magie Ă  sa connaissance, elle la haĂŻssait. Depuis la mort de ses parents, elle avait rejetĂ© le monde magique. Elle s'Ă©tait mariĂ© Ă  ce Jeremy, avait sa maison et son travail en France, une vie tout a fait normale. Qu'Ă©tait-elle aller faire en Lituanie? Leurs origines Ă©taient lĂ  bas, mais tous leurs cauchemars Ă©galement. La mort de leurs parents, puis celle de leur frĂšre ainĂ©. Et puis qu'avait vu son fils? Avait-il Ă©tĂ© tĂ©moin du meurtre de son pĂšre? Avait-il vu les ravisseurs? Lui aussi Ă©tait probablement sorcier. Mais il doutait que Misha lui ait jamais parler de ses pouvoirs. Il allait sans doute devoir le faire. Toutes ses questions sans rĂ©ponses le le rejoignit en bas et ils prirent sa voiture. Ils firent quelques kilomĂštres avant d'entrer dans des quartiers rupins. L'inspecteur arrĂȘta sa voiture devant le portail d'une grande maison bourgeoise. Il descendirent. L'inspecteur sonna Ă  l'interphone et ils furent tous deux invitĂ©s Ă  rentrer. Une femme d'une cinquantaine d'annĂ©e les attendait sur la pallier. AprĂšs les salutations d'usage Ă©changĂ©es, la femme leur souffla trĂšs sĂ©rieusement-Je vous prĂ©viens il ne parle pas, il n'a pas dis un mot depuis son arrivĂ©e, il y a deux jours. De plus il refuse de changer de vĂȘtements, de se laver et que je lui coupe les cheveux. Il ne mange presque rien et refuse qu'on le deux hommes entrĂšrent Ă  la suite de la maitresse de maison. Elle les amena dans le salon. Akshay eut un choc en voyant le garçon. Il lui ressemblait comme deux gouttes d'eau au mĂȘme Ăąge. Il avait les cheveux bruns mi longs, les yeux bleus, un petit nez retroussĂ©, les lĂšvres charnues. Il semblait avoir 8 ans. Il fut attristĂ© par la dĂ©tresse du jeune garçon. Celui ci fixait quelque chose d'un regard vide. Il Ă©tait sale et Akshay s'avança vers lui et s'agenouilla devant lui. Le garçon ne semblait pas le voir. Akshay posa sa main sur son Ă©paule, l'enfant sursauta et semblait enfin le voir. Il se recula violemment, Ă  la fois en colĂšre et terrorisĂ©. Akshay murmura-Je m'appelle Akshay Lecter. Je suis le frĂšre de ta maman. Je suis de ta famille, je ne te veux aucun disant cela, il avait regardĂ© l'enfant droit dans les yeux avec toute la force de persuasion dont il Ă©tait capable. Sa voix semblait avoir apaisĂ© le garçon. Ce dernier semblait s'ĂȘtre un peu intĂ©ressĂ© Ă  ce qu'il venait d'entendre. Il fronçait les tu es d'accord, tu peux venir avec moi. Je m'occuperais de toi jusqu'Ă  que ta maman ne dit pas un mot, mes des larmes coulaient sur ses jours, alors qu'il fixait Ă  nouveau le suis lĂ , je pourrais prendre soin de toi, ne t'inquiĂšte prit la main du petit garçon. Bizarrement l'enfant ne rĂ©agit pas Ă  son contact glacĂ©. Akshay se releva et se dirigea vers l' semble encore en Ă©tat de choc. -Il ne se remettra pas facilement de ce qu'il a vĂ©cu. Et vu qu'il ne veut pas parler, dieu seul sait ce qu'il a vu. Tenez voici ses feuilleta le dossier. Son neveu s'appelait Maxim IdreĂŻ Lecter. Il avait garder le nom de sa mĂšre. Ses parents lui avaient donc donnĂ© un prĂ©nom Ă  la fois trĂšs rĂ©pandu en Lituanie, mais Ă  consonance française courante Ă©galement. Son deuxiĂšme prĂ©nom quant Ă  lui Ă©tait complĂštement slave. Le garçon avait bien 8 ans. Donc s'il avait des pouvoirs, il avait sans doute du en faire dĂ©jĂ  l'expĂ©rience. Il Ă©tait nĂ© Ă  Paris. Son pĂšre Jeremy Huteau Ă©tait Français, il Ă©tait professeur. Misha sa mĂšre, d'origine lituanienne avait acquis la nationalitĂ© française, elle Ă©tait infirmiĂšre. Akshay ne connaissait pas cette famille, bien que c'Ă©tait la sienne. Sa sƓur ne lui avait pas parler de sa vie Ă  l'Ă©poque oĂč ils correspondaient encore. Et lui Ă©tait trop obnubilĂ© Ă  l'Ă©poque par Poudlard qu'il n'avait pas pris la peine de lui demander quoi que ce soit. Il aurait voulu pleurer, mais les larmes ne vinrent pas. Puis une photo tomba du dossier. Il la ramassa. Elle reprĂ©sentait sa sƓur avec son mari et son fils. Ils Ă©taient heureux lĂ  Akshay allait les venger. L'inspecteur et Akshay ressortirent de la maison. Akshay tenait son neveu par la main et dans l'autre une petite valise. Ils retournĂšrent dans le bureau de l'inspecteur. Celui-ci lui promit de le prĂ©venir en cas de nouveau. Il lui avait remis toutes les affaires de l' Ă©tait temps maintenant d'aller faire un tour dans le pays de son enfance. Pour ne pas traumatiser plus l'enfant, il ne voulut pas transplaner. Il acheta donc des billets d'avion pour Vilnius avec le liquide moldu qu'il avait prĂ©vu d'emmener au cas oĂč. Ils prit donc l'avion avec le garçon direction la Lituanie. MĂ©lina KudersLĂ©gendePoufsouffle Re Petite promenade en FranceMĂ©lina Kuders, le Lun 27 Juin - 1157 Hrpg Suite du rp de fuiteRetour en terre nataleMĂ©lina avait du se sĂ©parer de Nemaja aprĂšs leur dĂ©part prĂ©cipitĂ© du ministĂšre oĂč elle n'Ă©tait plus la bienvenue. Elle ne souhaitait pas que sa collĂšgue sache oĂč elle allait se cacher, afin que d'Ă©viter que quiconque ait des ennuis par sa fautes...mĂȘme si c'Ă©tait dĂ©jĂ  le cas puisque le soutien que lui apportait l'ensemble des aurors, les mettaient hors la loi. Hors la loi...quoi? encore, mais bon sens...la vie de MĂ©lina se rĂ©sumerait peut-ĂȘtre Ă  vivre hors des sentiers battus, loin d'une vie bien sage et bien rangĂ©e...peut ĂȘtre. Cependant, elle n'avait pas envisagĂ© les choses de cette maniĂšre...il Ă©tait clair qu'elle ne pouvait avoir aucune confiance dans les dirigeants qui gouvernaient l'Angleterre qui de toute Ă©vidence avaient Ă©tĂ© surpris d'avoir Ă©tĂ© dĂ©couvert...ils se croyaient trop fort et insoupçonnables...et pourtant, il Ă©tait bien question bien de mangemorts, qui par je ne sais quel tour de passe passe avaient sĂ©duit l'ensemble de la communautĂ© magique. Cependant, la chef des aurors avait dĂ©cidĂ© de mettre un grand coup dans la fourmiliĂšre, sans prendre de gants et elle subissait un retour de bĂąton auquel elle aurait du s'attendre...comment rĂ©agir et ben une chose Ă©tait sĂ»r, il fallait rĂ©pliquer rapidement et reprendre en main le ministĂšre en le discrĂ©ditant aux yeux des sorciers...mais comment...il fallait qu'elle trouve des alliĂ©s et surtout, il fallait qu'elle prĂ©pare son retour en Angleterre, dans les plus bref dĂ©lais...sans pour autant se prĂ©cipiter. Elle se doutait bien que le ministĂšre n'attendait que ça pour l'arrĂȘter...il fallait d'abord faire preuve d'organisation, avant tout. MalgrĂ©, le fait que les aurors ne sachent pas oĂč elle se trouvait, elle Ă©tait toujours en contact avec eux.... Cela lui permettait d'avoir des nouvelles fraiches du front, tous les apprit notamment que Joseph K. Whitworth avait passer un accord avec le ministre et avait prit la place de Will Crow...cela la fit sourire, car cet homme lui fit pitiĂ© puisqu'il lĂ©chait les bottes du premier venu, pour avoir un peu de pouvoir...il n'Ă©tait vraiment digne d'intĂ©rĂȘt...elle lui rĂ©servait un sort particulier...avoir l'appui de cet homme, ridiculisait l'ensemble des membres du ministĂšre. C'Ă©tait vraiment plus que risible et manquait vĂ©ritablement de bon sens. Assise sur la terrasse, elle lisait les derniĂšres nouvelles, le soleil commençait Ă  parler de lui et elle dut enfiler une paire de lunettes pour s'en protĂ©ger. Juste Ă  ce moment lĂ , son fidĂšle ami Ă  plume fit son apparition. Vous trouvez cela peut ĂȘtre dangereux qu'elle communique avec le monde des sorciers par son intermĂ©diaire, puisque beaucoup de monde savait qu'il lui appartenait. Cependant, vous vous doutez bien, qu'elle n'allait pas se laisser repĂ©rer comme une dĂ©butant, son cher compagnon ailĂ©s Ă©tait bien protĂ©gĂ©... il n'Ă©tait pas possible de le dĂ©tecter, seul des personnes bien prĂ©cises pouvaient le reconnaitre...mĂȘme un autre animal qu’il soit de son espĂšce au pas ne pouvait sentir sa prĂ©sence...et oui l'art de crĂ©er des potions...n'avait plus aucun secret pour la chef des aurors. Enfin passons, son hibou Chocolat vint se poser sur le rebord de la table et dans un cri bien spĂ©cifique, il annonça Ă  sa maitresse, il n'Ă©tait pas venu pour rien, il avait accrochĂ© Ă  sa patte, un morceau de parchemin. Alors qu'elle Ă©tait en train de dĂ©tacher le prĂ©cieux courrier, son pĂšre fit son apparition...Il s'approcha de sa fille ainĂ©e, lui donna un baiser sur le front et s'installa prĂšs d'elle...sans rien dire, enfin dans un premier temps. Le visage de ce dernier Ă©tait grave et soucieux, il n'avait pas vĂ©ritablement d'idĂ©es pour venir en aide Ă  sa fille Ă  part peut ĂȘtre la cloitrer dans cette maison, mais il savait que c'Ă©tait peine perdu. Cependant, il Ă©tait venu s'installer Ă  cĂŽtĂ© d'elle sur cette terrasse, pour la mettre en garde...PĂšre de MĂ©lina Je vois que le courrier est abondant depuis que tu es de retour Ă  la maison...j'en avais perdu l'habitude. Le pĂšre Ă©tait visible pas trĂšs Ă  l'aise et ne savait pas comment parler Ă  sa Ă  la chef des aurors, elle n'Ă©couta qu'Ă  moitiĂ© les paroles de son pĂšre, elle Ă©tait plutĂŽt absorbĂ©e par le courrier que lui avait envoyĂ© CĂ©leste et elle lui rĂ©pondit d'une voix distraite MĂ©lina oui...Un oui restĂ© en suspens, par les nouvelles d'Angleterre qui Ă©taient loin d'ĂȘtre trĂšs rĂ©jouissantes, d'ailleurs, CĂ©leste lui interdisait formellement de rentrer puisque les gardiens du ministĂšre Ă©taient activement Ă  sa recherche et ils avaient lancĂ© un enquĂȘte Ă  son sujet, mais aussi par rapport aux autres aurors qui avaient tous Ă©tĂ© convoquĂ©s. Tu parles...se dit-elle, c'est un piĂšge, CĂ©leste partageait son avis sur la question. Ces nouvelles la firent rĂ©flĂ©chir, il fallait qu'elle rentre et trĂšs rapidement. Le problĂšme rĂ©sidait dans son lieu de retrait, sur le sol anglais, il fallait qu'elle contacte de amis en qui, elle aurait toute confiance et il lui vint Ă  l'esprit un nom Matteo. Il fallait qu'elle trouve un moyen discret de le contacter...PĂšre de MĂ©lina MĂ©lina...MĂ©linaMĂ©lina euh oui papa...excuse moi, elle posa sa main sur le bras de son pĂšre, j'ai la tĂȘte ailleurs, mais...mais je dois prĂ©parer mon retour...et pour le prĂ©parer, il faut que je contacte quelques amis en qui j'ai toute confiance et qui pourront m'hĂ©berger le temps que les choses reviennent Ă  la normale. Je sais ce que tu vas me dire...mais s'il te plait ne dit rien. Je ne peux rester ici Ă©ternellement...Il faut que les choses soient mises au claires, je ne peux laisser mon nom et mon honneur sali de cette maniĂšre. J'ai toujours fait mon travail honnĂȘtement et j'ai toujours Ă©tĂ© loyale envers les personnes qui le mĂ©ritaient. Je dois repartir et s'il te plait garde cette histoire pour toi, Maman n'a pas besoin de se faire du soucis pour pĂšre se contenta de lui faire un signe de tĂȘte et il prĂ©fĂ©ra s'Ă©loigner pour la laisser prĂ©parer son nouveau seule, elle commença par Ă  rĂ©flĂ©chir pour contacter Matteo Aendel, naturellement elle pensa Ă  son gallion d'urgence, mĂȘme si elle ne faisait plus partie de l'ordre, elle l'avait toujours sur elle, comme une sorte de porte bonheur, d'ailleurs, son prĂ©nom Ă©tait gravĂ©e dessus. Elle dĂ©cida de lui envoyer son gallion qui remplaçait toute parole entre eux...oui elle avait besoin de lui. C'Ă©tait dĂ©cidĂ©, elle irait lui rendre visite, s'il Ă©tait d'accord, et elle Ă©tait quasiment sur qu'il ne lui refuserait rien. Et ce serait l'endroit idĂ©al pour y rencontrer CĂ©leste. Elle prit un bout de parchemin Rendez dans l'allĂ©e des embrumes, ne soit pas en retard. Pas besoin de signer, cette derniĂšre phrase suffisait... Elle mit la piĂšce dans le bec de son hibou et elle lui accrocha le bout de parchemin Ă  sa patte. Elle lui indiqua les destinations oĂč il devait se rendre. Elle le regarda prendre son envol et elle alla prĂ©parer ses affaires avant de partir. En fin d'aprĂšs midi, son hibou revint avec un morceau de parchemin attachĂ© Ă  la patte, il s'agissait d'une rĂ©ponse positive de Matteo qu'il lui disait qu'elle serait la bienvenue dans sa demeure. Une sourire lĂ©ger se dessina sur son visage fatiguĂ©. Elle salua sa famille et elle transplana...direction l'AllĂ©e des Embrumes... Actarius BrightSerpentard Re Petite promenade en FranceActarius Bright, le Mer 13 Juil - 327 [Elhora Woods & Actarius Bright]Coup de folie. Aucune autre expression ne pouvait dĂ©crire ce qui avait prit Actarius ce jour-ci. En effet, dans sa demeure de Loutry St Chaspoule, le jeune homme Ă©tait restĂ© toute la nuit ou presque sur ses grimoires, prenant seulement soin de dormir un peu plus de deux heures pour tenir le coup. Heureusement, c'Ă©tait le Week-End et il avait qui plus est, dĂ©crĂ©tĂ© que c'Ă©tait jour de repos pour lui-mĂȘme. Il n'irait ni au Chemin de la Salamandre Grise Ă  moins qu'il y ait urgence et encore moins Ă  la boutique d'Animaux. Quoique... Maintenant que les filles n'Ă©taient plus que deux, une mĂȘme, vu que Rily avait pris un congĂ© pour une assez large pĂ©riode, il faudrait bien qu'il y aille plus souvent pour aider. Enfin, avec l'emploi du temps qu'il avait, pas facile, mais bon... Il n'avait pas de solution de rechange pour l' de folie, oui. Non, enfin, si, on s'est Ă©cartĂ© du sujet. Et alors ?Sortant de son bureau secret connu de lui seul et de son elfe de maison ainsi que bien Ă©videmment de son phĂ©nix, le Garde-Chasse de Poudlard s'en Ă©tait allĂ© prendre une tasse de thĂ© frais bien infusĂ© par Aster avant de se rendre dans sa salle de bain oĂč il put se purifier convenablement la peau et tous ses attributs ; y compris ses cheveux auxquels il portait un soin particulier. BientĂŽt, il fut vĂȘtu ; d'un pantalon noir assorti d'une chemise blanche aux bordures brodĂ©es de fils d'or par-dessus desquelles il portait un mantel noir qui lui tombait Ă  hauteur des Fafnir pour une fois sur son Ă©paule, le jeune homme s'avança dans le vaste parc de sa demeure et transplana, sachant qu'en transplanant pour sortir, il ne risquait rien mais qu'inversement, c'Ă©tait impossible Ă  cause du dĂŽme invisible et des multiples et variĂ©s sortilĂšges qu'il avait apparut finalement non loin de l'une des plus huppĂ©es des rues de Paris et, sans perdre de temps, se mĂȘla Ă  la foule de sorciers et moldus qui, pour ces derniers, le regardait parfois comme un extraterrestre Ă  cause de ses vĂȘtements. Ne s'en prĂ©occupant guĂšre, le jeune sorcier se faufilait dans les magasins bondĂ©s en ce pĂ©riode estivale et laissait libre court Ă  ses dĂ©sirs. Autant dire qu'il achetait tout et n'importe, vu comment les moldus le passionnaient ; encore plus depuis qu'Alicia lui avait fait dĂ©couvrir la technologie avancĂ©e des moldus. Il s'Ă©tait mĂȘme achetĂ© un Hiphone 32" et un Mackbouc avec ses Gallions qu'il avait pris soin de convertir Ă  Gringotts.[...] Avançant sans regarder devant lui, obnubilĂ©s par tous ces produits moldus, il ne put s'empĂȘcher de se heurter Ă  une silhouette fĂ©minine qu'il reconnut tout de suite "bien dĂ©veloppĂ©e". Sans chercher Ă  voir le visage de la demoiselle, il se baissa et ramassa un carnet de dessins et quelques stylos et crayons qui s'Ă©taient rĂ©pandus au sol au moment de l'accident. Tout en ramassant les affaires de la dame, il s'adressa Ă  elle, de son français parfait mais bien assez accentuĂ© pour qu'on sache que c'Ă©tait un Ă©tranger Veuillez m'excusez... Je ne suis qu'un Ă©tourdi... InvitĂ© Re Petite promenade en FranceInvitĂ©, le Mer 13 Juil - 1058 -[...] C'est aussi l'un des appareils les plus commercialisĂ© dans le monde, le saviez-vous? Les Moldus sont vraiment de grands inventeurs quand le gĂ©nie les prends, c'est indĂ©niable... Regardez avec quelle classe et quel confort ils ont rĂ©ussis Ă  habiller les siĂšges et tout l'intĂ©rieur de cette machine... Et c'est petites fenĂȘtres, prĂ©sentent de chaque cotĂ©, n'est-ce pas ravissant? Quant... À...Une voix douce et posĂ©e interrompit l'homme dans sa description dĂ©taillĂ©e d'un des moyens de transports les plus connus des voulez-vous une boisson? Prenant le verre qu'on lui tendait, l'homme bien madame. Donc, je reprends quant Ă ...-Et mademoiselle?Cette derniĂšre, plongĂ©e dans la contemplation de l'horizon se contenta de secouer la tĂȘte lĂ©gĂšrement pour exprimer son refus. En d'autres circonstances, la jeune femme aurait fait usage de toutes les politesses pour montrer son rejet de l'aimable proposition ; seulement, plongĂ©e dans sa minutieuse observation du paysage, elle ne pouvait se rĂ©signer Ă  en dĂ©tacher le regard. Un nuage floconneux par ci, un groupe d'oiseaux par lĂ  ou encore un amas de nuages orageux s'approchant au loin... Le domaine du ciel avait toujours Ă©tĂ© le prĂ©fĂ©rĂ© de la jeune sorciĂšre et dĂ©sormais qu'elle se trouvait dans un avion Moldu, tout son ĂȘtre Ă©tait accaparĂ© par son envie de voler. N'ayant jamais eu le temps de passer son permis de transplanage avant et pendant son long sĂ©jour de quatre ans en Roumanie, Elhora demeurait obligĂ©e de faire appel au moyens de base ; Ă  savoir, le rĂ©seau de cheminettes ou les avions. Mais, ayant toujours aimĂ© voler, la jeune demoiselle avait prĂ©fĂ©rĂ© opter pour la seconde option. Ainsi elle se retrouvait lĂ , assise dans un fauteuil peu confortable -quoiqu'en dise son voisin, Ă©merveillĂ© par la machine- Ă  voler vers Paris oĂč elle pourrait prendre sa correspondance, direction Londres. Depuis quatre ans qu'elle se trouvait en Roumanie pour Ă©tudier les dragons, la jeune magicienne n'avait jamais eu le ''mal du pays'' ; jamais, jusqu'Ă  la veille de son dĂ©part dĂ©finitif. Maintenant qu'elle s'apprĂȘtait Ă  retrouver les endroits magiques qu'elle affectionnait tant, mais surtout, qu'elle allait pouvoir revoir sa seule famille, la jeune femme trĂ©pignait d'impatience. À ses cotĂ©s, un vieux sorcier fou des objets Moldus ne cessait de lui rabĂącher les mĂ©rites des Airbus A380 ; c'Ă©tait comme cela depuis qu'ils avaient quittĂ©s la Roumanie, mais malgrĂ© cela, Elhora ne pouvait s'empĂȘcher d'ĂȘtre heureuse. Quelque part, le vieil homme lui rappelait son cousin, affectionnant lui aussi les objets non le bruits des rĂ©acteurs? Quelle puissance! Mais en mĂȘme temps, nos vies ne tiennent qu'Ă  un fils... C'est qu'ils sont courageux en plus ces Moldus... Avez-vous conscience d'ĂȘtre Ă  des milliers de kilomĂštres du sol...? Et... [...]Cette fois, la jeune magicienne ne l'Ă©coutait dĂ©finitivement plus quelque chose de bien plus intĂ©ressant avait piquĂ© sa curiositĂ©. Les nuages masquant la vue, la jeune sorciĂšre n'en fut pas trĂšs certaine au dĂ©but. Mais bientĂŽt, la vue se dĂ©gagea et la jeune femme put observer l'emblĂšme mĂȘme de Paris la tour Eiffel. Souriant de toutes ses dents en comprenant qu'elle arrivait dans la capitale française, la demoiselle commença Ă  rassembler ses affaires et attendit, sur le qui-vive, prĂȘte Ă  descendre. Lorsqu'une agrĂ©able voix douce apprit aux voyageurs qu'ils pouvaient quitter l'appareil, Elhora sauta littĂ©ralement hors de sa place -Ă©crasant au passage son voisin- et se prĂ©cipita dehors, bousculant sans remord tout ĂȘtre lui barrant le passage. ImmĂ©diatement, et n'ayant aucun bagage -car ceux-ci avaient Ă©tĂ© rĂ©duits en miniature au prĂ©alable-, la jeune femme entra dans un taxi et lui indiqua la Gare du Nord oĂč elle devait prendre l'Euro Star partant pour Londres. Une demi-heure plus tard, la jeune femme arriva Ă  la dite Gare. Une demi heure de trop. En effet, la jeune magicienne manqua son train Ă  quelques minutes prĂšs n'en partant qu'un par jour, Elhora, bien que considĂ©rablement déçue se rĂ©signa et prit finalement mĂ©tro. Dans sa tĂȘte, tout Ă©tait clair elle devait attendre vingt-quatre heures... ; autant en profiter pour aller flĂąner sur les Champs ElysĂ©es. Une fois arrivĂ©e en bas de l'avenue, la jeune femme se dĂ©cida Ă  la remonter entiĂšrement pour se rendre Ă  la place de l'Etoile, oĂč, le calepin et les crayons en main, elle pourrait dessiner cette ville qu'elle aimait tant. Sur le trajet, tandis qu'elle marchait en fixant les pavĂ©s, comme elle avait coutume de le faire lorsque ceux-ci semblaient un tant soit peu intĂ©ressant, quelque chose, ou plutĂŽt quelqu'un l'arrĂȘta net dans son avancĂ©e. Laissant tomber ses affaires par inadvertance, Elhora resta un instant debout, Ă©tourdie puis, sortant de ses pensĂ©es, elle se pencha pour les ramasser. Celui qu'elle avait bousculĂ© ou qui l'avait bousculĂ©e -cela dĂ©pend des points de vue en fait- Ă©tait lui aussi au sol et rassemblait les quelques crayons qui s'Ă©taient Ă©chappĂ©s de la trousse pour venir s'Ă©parpiller au sol. -Veuillez m'excusez... Je ne suis qu'un Ă©tourdi...Alors qu'elle tendait sa main pour prendre son criterium favoris, Ă©garĂ© un peu plus loin que les autres, la jeune sorciĂšre s'arrĂȘta net. Cette voix, elle la connaissait... Ou du moins, elle l'avait dĂ©jĂ  entendue quelque part... Mais oĂč? Saisissant finalement le porte-mines, la jeune demoiselle se releva et attendit que l'autre en face de mĂȘme, pour voir s'il s'Ă©tait dĂ©jĂ  rencontrĂ©s. Restant muette au dĂ©but, elle finit Ă  son tour par parler, Ne vous excusez pas, je ne faisais pas vraiment attention moi non plus.[HRPG] J'ai Ă©tĂ© plus inspirĂ©e que prĂ©vu on dirait... ^^ Actarius BrightSerpentard Re Petite promenade en FranceActarius Bright, le Dim 17 Juil - 1815 LĂ©gĂšrement rouge de honte d'avoir heurtĂ© la jeune femme et renversĂ© ses affaires, Actarius s'Ă©tait tout de suite baissĂ© pour rĂ©cupĂ©rer le tout qui s'Ă©talait Ă  mĂȘme le sol. TrĂšs rapidement, et avec l'aide de la jeune demoiselle en face, ils eurent tout ramassĂ© et c'est alors que l'imitant, il se redressa lui aussi et lui tendit son matĂ©riel. Avec les mĂšches de cheveux qui lui Ă©taient tombĂ©s devant les yeux, il ne voyait quasiment plus rien. Pourtant, la voix de la jeune femme lui rappela aussitĂŽt une personne proche, trĂšs proche de lui. Mais ses idĂ©es Ă©taient bien trop vagues de sorte qu'il n'arrivait point Ă  deviner la personne concernĂ©e qui apparaissait telle un fantĂŽme dans son que de penser Ă  autre chose, il prit ses cheveux qui se retrouvaient dans un dĂ©sordre peu commun Ă  la suite du malencontreux accident et les rabattit dĂ©licatement Ă  leur place, les laissant retomber dans son dos avec souplesse et grĂące. Il avait fermĂ© les yeux le temps de l'opĂ©ration et, lorsqu'il les ouvrit... Ce fut le Choc. Devant lui, Ă  pas mĂȘme une longueur de bras, se trouvait... Sa cousine! Elhora! Non, pas possible!N'Ă©tait-elle pas censĂ©e se trouver en Roumanie? Voyage qu'il avait lui-mĂȘme acceptĂ© afin qu'elle puisse assouvir son dĂ©sir d'Ă©tudier et de cĂŽtoyer les dragons. Encore une qui avait la maladie des espĂšces et crĂ©atures magiques... C'Ă©tait de famille fallait croire. Les yeux lĂ©gĂšrement Ă©carquillĂ©s Ă  cause de l'Ă©tonnement, il ne put que s'inquiĂ©ter en premier lieu. MĂȘme lui, en expert en crĂ©ature magique qu'il Ă©tait, maĂźtre mĂȘme, avait hĂ©ritĂ© d'une balafre le long de son avant-bras droit la derniĂšre fois qu'il Ă©tait Ă©tĂ© capturer un Magyar Ă  c'est bien toi...?Il fit un pas en avant, et, pur rĂ©flexe, posa sa main sur la joue de sa cousin comme il avait l'habitude de le faire lorsqu'ils Ă©taient plus jeune encore; un signe d'affection entre eux deux qui, s'il se retrouvait bien en face de sa cousine, lui permettrait de savoir, selon la rĂ©action de la supposĂ©e cousine, si oui ou non c'Ă©tait bien elle. Mais il ne fut pas surprit qu'elle fasse comme lui aussi, dans un Ă©lan de joie, il se "jeta" sur elle et l'enlaça de ses grand bras et dĂ©posa un doux baiser sur son front. Il Ă©tait bien plus grand qu'elle mais bon... Aussi de famille sans dĂ©posa un second baiser sur front et desserra quelque peu son Ă©treinte puis, aprĂšs quelques secondes encore passĂ©s ainsi -les passant devant les prendre pour des fous, non?- il la relĂącha et se recula fais-tu ici bon sang? N'es-tu pas censĂ© ĂȘtre entrain d'Ă©tudier les Dragon en Roumanie??Il avait bien Ă©videmment prononcĂ© le mot "Dragon" sur le bout des lĂšvres afin qu'aucun des moldus qui les entouraient ne puisse l' quand as-tu quittĂ© la Roumanie? Et que fais-tu ici, en France? Hein?Il sourit, dĂ©solĂ© de tant de question Ă  la fois mais il n'avait put se retenir; la joie l'en avait empĂȘchĂ©. InvitĂ© Re Petite promenade en FranceInvitĂ©, le Dim 17 Juil - 2300 Une des avenues parisiennes les plus foulĂ©es de la capitale française ; des milliers de passants et touristes venus, ou pour y dĂ©penser leur argent en objets plus luxueux les uns que les autres, ou pour visiter la fameuse grande rue. Ainsi peut-on decrire les Champs ElysĂ©es, si cĂ©lĂšbres dans le monde des Moldus. Et, au milieu d'une telle foule, sans cesse plus abondante, deux sorciers anonymes, paraissent comme coupĂ©s du monde. Ce n'est pas le leur et, seuls ĂȘtres immobiles dans cette dĂ©ferlante d'hommes et de femmes, ils demeurent telles les deux intrus qu'ils sont ; coupant un moment le rythme accĂ©lĂ©rĂ© des pour qui tout semblait s'ĂȘtre arrĂȘtĂ© autour d'elle, n'avait d'yeux que pour le jeune homme qui vennait Ă  peine de se relever pour lui rendre ses biens ; soit quelques crayons aux mines surement brisĂ©es par leur malencontreuse chute. DĂ©sormais face au sorcier, car, le connaissant on ne peut mieux, la jeune femme s'avait qu'il jouait tout comme elle de sa baguette magique la sang-mĂȘlĂ© n'arrivait plus Ă  en dĂ©tacher son regard azur. Quelles Ă©taient les probabilitĂ©s pour que, le jour de son retour en Angleterre la jeune sorciĂšre rate son train Ă  quelques minutes prĂšs et que, de lĂ , elle dĂ©cide d'aller se promener dans cette rue bien spĂ©cifique de Paris ; puis que, au milieu d'une foule plus dense que jamais, un homme la percute accidentellement? De plus, cet homme, parmi tous les autres n'Ă©tait pas n'importe lequel, il s'agissait lĂ  d'un sorcier et... De son cousin qui plus est! La chance pour que tant d'Ă©vĂ©nements plus ou moins rejouaissants dĂ©bouchent sur une fin si heureuse et ce, en moins de vingt-quatre heures demeurait vraiment mince et la jeune demoiselle ne pouvait que le constater. Perdue dans son rĂ©capitulatif de coĂŻncidences, Elhora resta muette tandis que le jeune sorcier devant elle -qui lui ne l'avait pas reconnue- se recoiffe. Se dĂ©lectant au mieux de la vue que lui offrait son cher cousin, la jeune femme sentait peu Ă  peu sa gorge se resserrer et ses yeux s'Ă©carquiller. Le sorcier demeurant sa seule famille connue et encore en vie, l'ancienne Serdaigle ne savait pas comment rĂ©agir. Attendre qu'Actarius r'ouvre les yeux, certes, mais ensuite? Pleurer ou crier de joie? Dilemme important sur le moment prĂ©sent il lui avait tellement manquĂ© qu'elle restait dĂ©munie en le retrouvant, comme lorsque sa belle chevelure couleur d'Ă©bĂšne retrouva la place qui lui Ă©tait due, le jeune homme se dĂ©cida Ă  r'ouvrir les yeux, laissant ainsi percer ses iris bleus caractĂ©ristique surement propre Ă  leur famille, d'ailleurs. ImmĂ©diatement, le sorcier su qui se trouvait en face de lui et dans son regard, la jeune femme cru voir passer un voile d'inquiĂ©tude *Quatre ans et toujours le mĂȘme...* se rĂ©jouit-elle en son fort intĂ©rieur. Sans qu'elle ne s'en rendre compte, tout deux s'Ă©taient rapprochĂ©s maintenant et lui comme elle avait placĂ© sa main droite sur la joue de l'autre. C'Ă©tait une habitude peu commune que les deux parents avaient pris ainsi, il etait presque impossible de ne pas se reconnaitre ce qui pouvait s'avĂ©rer utile dans le monde des sorciers. Sans attendre, Actarius enlaça la magicienne de ses bras aprĂšs avoir dĂ©posĂ© ses lĂšvres sur son front. L'entourant de ses bras elle aussi, Elhora savoura pleinement l'instant prĂ©sent. DĂ©sormais dans ses bras, la jeune sorciĂšre se rendait compte de au combien il lui avait manquĂ© et resta muette jusqu'Ă  ce qu'enfin ils se sĂ©parent. L'observant de haut en bas, la Serdaigle esquissa un sourire en dĂ©couvrant que physiquement non plus, Actarius n'avait pas en tant que le tuteur qu'il avait Ă©tĂ© un temps, le jeune homme assomma immĂ©diatement la sorciĂšre de toute une sĂ©rie de question. Quand? Comment? Pourquoi? Elles Ă©taient toutes lĂ  et souriant de nouveau du coin de la lĂšvre comme elle le faisait toujours dans ce genre de situation, Elhora entreprit de rĂ©pondre d'une traite mais tout en tournant lĂ©gĂšrement autour du pot, histoire s'Ă©nerver un peu son aussi je suis contente de te revoir...! Commença-t-elle tout en souriant de plus belle car Actarius, pressĂ© par les questions ne s'etait pour une fois, pas attardĂ© en politesse -cas rare chez le gentleman et qu'Elhora, telle une petite soeur attentive au moindre faux pas, se devait de relever juste pour le taquiner, ce qui lui avait manquĂ© Ă©galement. Il fait beau tu ne trouve pas? C'est rare par ici.. Quel coĂŻncidence que l'on se retrouve ici! À Paris...! Ah la la... Que de souvenir pour moi ici. Cela me fait penser, faudrait que je te fasse visiter un jour...Sentant qu'elle jouer trop dangereusement avec la patience du jeune homme, dĂ©cida qu'il Ă©tait temps pour elle de "rentrer dans le rang" et donc, finit par rĂ©pondre une par une aux quelques questions qu'on lui avait bon, j'arrete, j'arrete...! Alors... Ce que je fais lĂ ? Hmm... Je me rendais Ă  Londres pour te revoir toi, mon cher cousin sauf que, manque de bol, j'ai ratĂ© mon train...! À quelques minutes prĂšs, tu le crois toi? Tss.. Il aurait pu m'attendre quand mĂȘme! Ironisa-t-elle plus dĂ©tendue que jamais, avant de reprendre, plus sĂ©rieusement. Et donc, j'ai dĂ©cidĂ© d'aller faire les boutiques sans argent! TrĂšs noble activitĂ©, soit dit en passant, vu que je ne risque pas de me ruiner... N'empĂȘche, je pourrais vous retourner la question Mister Bright...? Et sinon... J'ai quittĂ© la Roumanie trĂšs tĂŽt ce matin. Le mal du pays m'y a poussĂ© et puis cĂŽtoyer les dragons devenait vraiment trop dangereux... Je suis amoureuse de ces crĂ©atures m'enfin, je veux pas me retrouver couverte de cicatrices moi! Souriant Ă  cette idĂ©e Ă©tant donnĂ© que seule une petite balafre au molet marquait sa vie aux cotĂ©s des dragons, Elhora leva la tĂȘte vers Actarius et plongea son regard dans le sien avant de lui poser une unique et simple sinon, tu deviens quoi? Actarius BrightSerpentard Re Petite promenade en FranceActarius Bright, le Jeu 21 Juil - 1927 Non, Actarius n'Ă©tait pas content de revoir sa chĂšre cousine. Euh... Bon, d'accord, il l'Ă©tait... Un peu... Beaucoup. Non mais n'empĂȘche, il n'approuvait vraiment pas son comportement ! Irresponsable, je vous le jure ! Elle aurait pu prĂ©venir qu'elle quittait la Roumanie, non ? Fafnir ou Aster se seraient fait une joie d'aller la chercher... Mieux que d'utiliser ses moyens de transports moldus. Fascinants, certes, mais bien trop lents. Et tandis qu'il assaillait sa jeune cousine, derniĂšre reprĂ©sentante de leur famille -avec lui-mĂȘme- sur le pourquoi du comment, elle, se contentait de tout simplement lui Il dĂ©testait ce sourire qu'elle lui servait lĂ . Vraiment, c'Ă©tait n'importe quoi ! Toujours Ă©gale Ă  elle-mĂȘme quand lui, il s'inquiĂ©tant pour elle ! Pas possible, les petites sƓurs ! Et pourtant, si elle n'avait pas existĂ©, il se serait senti bien seule. Mis Ă  part ClĂ©lia, Alicia encore et quelques autres trucs -inutiles d'en faire l'inventaire-, c'Ă©tait ce qu'il avait de plus chĂšre au monde. Il donnerait mĂȘme la boutique d'Animaux en rançon si elle se faisait kidnapper ; caisse comprise. Ou pas en fait...Et en plus, elle le narguait ! Parler du beau temps quand lui, attendait des rĂ©ponses Ă  des questions biens prĂ©cises. DĂ©cidĂ©ment, la jeunesse, plus aucun respect pour les anciens. En mĂȘme temps, ce n’était pas comme s'ils avaient dĂ©jĂ  passĂ© une journĂ©e ensemble qu'elle ne le taquine ; encore moins lorsqu'il faisait des "faux pas", se dĂ©robant Ă  la ligne de conduite que leurs gĂ©niteurs leur avaient inculquĂ©s. La plaie, hein !Bien qu'en pleine rue moldue, le jeune homme avait envie de lui en faire voir, du beau temps. Sauf qu'il n'avait droit. Aussi se fit-il violence et lĂącha un grognement sourd, tic qu'il avait seulement en la compagnie de la jeune fille, pour exprimer son fut bien satisfait de sa cousine qui, comprenant son message, se rangea aussitĂŽt "dans le rang" comme elle se plaisait Ă  dire. L'histoire qu'elle lui racontait, s'il savait qu'elle Ă©tait vraie, lui arracha un petit rictus sĂ©vĂšre -mais elle savait bien qu'il ne pourrait jamais l'ĂȘtre alors bon... Toujours est-il qu'il peinait Ă  croire sa cousine sur un point Son retard. Non, parce que question temps, elle Ă©tait quasiment tout le temps Ă  l'heure voire mĂȘme, en avance. Alors qu'elle rate son train... Bof !'Fin, il fit fi de ces dĂ©tails et tergiversations inutiles et Ă©couta la fin de son rĂ©cit pour lequel il ne put d'ailleurs pas s'empĂȘcher de lĂącher un subreptice rire cristallin. Ce rire, il n’y en avait pas des masses qui le connaissaient...Hmm... Ben, tu aurais pu prĂ©venir que je vienne te chercher ou que j’envoie Fafnir ou Aster, hein ! Ça t'aurait pris pas mĂȘme une minute pour rentrer Ă  la maison... Enfin, jeune homme se pencha sur sa cousine et dĂ©posa un baiser sur son front, puis, la prenant par la main, l'obligea Ă  marcher Ă  son cotĂ© avant de la que deviens-je ? Eh bien, je suis toujours le mĂȘme que celui que tu as laissĂ© ici, avant ton dĂ©part. Il n'y a pas grand-choses qui ont changĂ©s depuis, affirma-t-il en lui adressant un regard accompagnĂ© d'un sourire tous deux pleins de malices. En fait, j'ai trouvĂ© la perle rare... C'est fois, il lui adressa un sourire qu'elle comprendrait parfaitement avant d'Ă©viter un couple qui Ă©tait sur leur tu me demandes ce que je fais en France, je te dirai que j'ai pris ma journĂ©e et que je prends du bon temps. Rien que pour la taquiner Ă  son temps, il lui avait parlĂ© en français ; un français marquĂ© pour cet accent britannique qui ne le quittait quasiment il la connaissait bien assez pour pouvoir anticiper les questions de la jeune Elhora. Heureusement que Fafnir avait dĂ©jĂ  envoyĂ© les babioles moldues qu'Actarius avait achetĂ© depuis son as-tu achetĂ© quoique ce soit ? Nous sommes lĂ , autant en profiter. InvitĂ© Re Petite promenade en FranceInvitĂ©, le Jeu 21 Juil - 2244 Actarius n'Ă©tait pas content. Ah, ça non, et c'Ă©tait on ne peut plus clair aux yeux d'Elhora qui le regardait de ses yeux pĂ©tillants, amusĂ©e par un tel cinema. Il riait, certes, sonde rire qu'elle aimait tant, mais cela n'etait qu'un subterfuge intĂ©rieurement, il aurait pu l'Ă©triper de ne pas avoir prevenu. Que lui arrivait-il d'ailleurs? Être contrariĂ©, mĂȘme un tout petit peu par de telles futilitĂ©s... Bon, il Ă©tait en droit de s'inquiĂ©ter en tant que grand frĂšre non officiel, mais bon... La jeune femme devait avouer ne pas se le rappelait comme cela et fut un tantinet Ă©tonnĂ©e d'une telle rĂ©action. Peut-ĂȘtre l'exagĂ©rait-elle aprĂšs tout? Elle ne l'avait pas vu depuis plusieurs annĂ©es maintenant, et arriver Ă  dĂ©coder ses manies et tics allait ĂȘtre une vĂ©ritable Ă©preuve Ă  plein temps dĂ©sormais. Il n'avait surement pas changĂ© ; pourquoi aurait-il Ă©tĂ© diffĂ©rent de toute façon? Murir? Pas la peine, il Ă©tait quasiment nĂ© sage Ă  l'image d'un moine bouddhiste. DĂ©jĂ  dans leur enfance, l'ancienne Serdaigle se rappelait d'un petit garçon respectant toujours la mesure, tel un vrai gentilhomme ; tout son contraire Ă  elle, qui, dĂšs la moindre occasion, aussi minime soit-elle, dĂ©sobĂ©issait aux rĂšgles. Des rĂšgles, toujours plus de rĂšgles et de limites, voila comment on les avait Ă©duquĂ©s tour deux ; mais pourquoi imposer de telles bornes si c'Ă©tait pour les respecter? Phrase bien banale quand on y pense, mais toujours est-il qu'elle demeure vrai, Ă©trangement et irrĂ©vocablement vrai. Lorsque son cousin parla de transplaner grĂące Ă  Aster, l'Elfe ou Fafnir, le beau phĂ©nix, la sorciĂšre sourit lĂ©gĂšrement et prĂ©para les rĂ©ponses qu'elle allait pouvoir lui servir aprĂšs qu'il eut terminĂ© de parler. Aux oreilles de la demoiselle, ce ramassait de mots ne se soldait que par un vague bourdonnement lointain. Non que cela ne l'intĂ©resse pas, bien au contraire, mais en vĂ©ritĂ© elle Ă©tait un peu déçue de sa rĂ©ponse. Rien de nouveau? En quatre ans? Elle avait du mal Ă  le croire et l'idĂ©e que le sorcier lui cache des choses l'attristait fortement. Seulement, un dĂ©tail intĂ©ressant qu'il rĂ©vĂ©la sur sa vie privĂ©e Ă©veilla la curiositĂ© malsaine d'Elhora. *La perle rare?* Se disait-elle dĂ©sormais toute ouĂŻe, voulant entendre plus de dĂ©tails, Ă©videmment ; mais le jeune aristocrate n'en fit rien. C'Ă©tait Ă  prĂ©voir, il prĂ©fĂ©ra changer de sujet en rĂ©vĂ©lant la raison de sa venue ici et enchaina ensuite sur une proposition de shopping. Du moins c'est ce que compris la jeune adulte qui n'en tint par rigueur et prit immĂ©diatement la Actarius... J'ai le droit de faire des surprises non? Bon, c'est vrai que m'avoir chez toi, ce n'est pas vraiment un cadeau, m'enfin, c'Ă©tait dĂ©jĂ  ça... Bref, on s'en moque de cela! Évitant soigneusement le sujet de la "Perle Rare", la magicienne fais donc ton tire-au-flanc aujourd'hui? Ah ce n'est pas bien tout ça... Le taquina-t-elle en lui lancent un regard emplit de sens. Enfin, je suis contente que tu l'ai fais... Tu travaille toujours Ă  la boutique d'animaux d'ailleurs? Ajouta-t-elle finalement tout en marchant, les yeux rivĂ©s sur le et en parlant de boutiques, non je n'ai rien achetĂ©, je suis pauvre tu sais... Mais si tu souhaite m'offrir quoi que ce soit... Je t'en prie, fais-toi plaisir! Finit-elle par lĂącher en riant doucement pour ne pas se faire remarquer, chose qu'elle avait en muette comme une tombe, Elhora marchait aux cotĂ©s de son cousin lorsque, tout d'un coup, elle se stoppa net. Souriant malicieusement, elle attendit que le jeudi homme s'arrĂȘte Ă©galement puis se retourne avant de reprendre la parole. Autour d'eux, les Moldus semblaient contrariĂ©s que deux jeunes gens bouchent la circulation sur le trottoir et plusieurs d'entre eux ou les bousculĂšrent mĂ©chamment, ou les tretairent de ''jeunes inconscients irrespectueux des adultes-qui-travaillent-eux". Mais cela importait peu Ă  la jeune sorciĂšre et la fit plutĂŽt sourire un peu plus avant de Tu croyez tout de mĂȘme pas t'en tirer comme ça, si? Aller dis moi tout sur cette Perle Rare...! C'est un devoir que tu te dois d'accomplir que de me tenir au courant de tes histoires de coeur!Finit-elle par lĂącher en riant Ă  gorge dĂ©ployĂ©e, laissant s'Ă©chapper un rire clair et distinct de sa gorge. Puis, pour pouvoir en apprendre plus, justement, elle rejoint Actarius et attendit qu'il rĂ©ponde, Ă  cette derniĂšre question surtout. Actarius BrightSerpentard Re Petite promenade en FranceActarius Bright, le Jeu 18 AoĂ» - 1336 Actarius sondait le regard de sa jeune cousine, essayant d'y dĂ©celer les sentiments qu'elle y gardait. Il se demandait encore comment elle faisait pour le supporter dans de pareils moments. C'est vrai qu'on pouvait bien parler, des fois, il n'avait strictement aucun tact. Enfin, lĂ  encore, ça allait mais des fois, il se demandait d'oĂč il tirait son Ă©ducation. Et sa cousine qui ne cessait de lui rabĂącher qu'il Ă©tait sage... Elle fumait en secret peut-ĂȘtre... Ce devait ĂȘtre cela... Lui sage? Nos noeils!Le jeune mage ne releva pas sur la premiĂšre remarque de sa cousine, laissant juste un sourire s'Ă©tirer le long de ses lĂšvres. Il lui avait si souvent rĂ©pĂ©tĂ© qu'elle Ă©tait la bienvenue dans la petite maison de Londres qu'il ne rajoutait plus rien. Puis, comme elle le disait si bien, il s'en moquait pas mal! Elle venait quand elle voulait. Elle avait la clef. Et fallait qu'il pense Ă  faire mettre le titre de propriĂ©tĂ© Ă  son nom, d' lui reparlait de nouveau des boutiques quand ils dĂ©boulĂšrent juste sur une autre avenue Ă  la chaussĂ©e pleine de moldu. Une masse grouillante et bruyante dans laquelle les deux sorciers filtrĂšrent lentement, mais sĂ»rement. Actarius ne doutait pas qu'ils n'Ă©taient pas les seuls ĂȘtres du monde magique dans cette foule. Il y avait ceux qui irradiaient la magie, ceux qui portaient sur Elhora et lui un regard entendu et ceux qui justement, Ă©vitaient leur regard. Ils avaient un point en commun Ils se reconnaissaient assez facilement -la plupart du temps- entre observait les deux cotĂ©s de la rue, cherchant un magasin capable de "contenir" -tenir face Ă - ses envies et sa folie des grandeurs. DĂ©jĂ  distrait par le ballet de voiture -ces appareils bizarres dans lesquels les moldus s'enfermaient pour se dĂ©placer-, il le fut encore plus en se faisant interpeller par sa chĂšre cousine. Surtout lorsque cette derniĂšre lui parla de la surnommĂ©e "Perle Rare". Il en arrivait Ă  oublier qu'elle avait une mĂ©moire d'Ă©lĂ©phant tout comme lui. Enfin, lui, il Ă©tait sĂ©lectif parfois Tu sais? La Directrice de Poudlard? Je m'en plaignais parfois parce que je disais ne pas la supporter, et tout? Tu t'en souviens? Eh bien... Il lĂącha un furtif sourire avant de continuer. C'est assez rĂ©cent, tu sais... Non mais, pourquoi je t'en parle en fait!Partant d'un petit rire amusĂ©, il remit ses longs cheveux noir de jais en arriĂšre, dans son dos et, prenant sa cousine par la main, la tira de nouveau Ă  sa suite pour traverser la rue en direction d'un magasin qui devrait leur convenir... Kaya AdamsPoufsouffle Re Petite promenade en FranceKaya Adams, le Lun 31 Oct - 1622 HĂŽpital de Saint rien n'allait. Tout semblait devenir compliquĂ© pour Kaya. Que devait-elle faire ? Partir chercher la maison de sa mĂšre et demander des informations sur elle aux nouveaux habitants comme lui proposait Nathalie ? Non, au fond elle, la blondinette savait ce qu'elle devait faire. La jeune femme devait partir chercher ses grands-parents. C'Ă©tait eux qui auront des rĂ©ponses Ă  ses questions, aprĂšs tout ils connaissaient bien Marynline, bien plus que Kaya. La jeune femme se releva, et rangea les papiers en dĂ©sordre. Évidemment, elle Ă©tait bousculĂ©e par les rĂ©vĂ©lations qu'elle venait de faire, mais cela ne l'empĂȘchait pas de toujours vouloir connaĂźtre la vĂ©ritĂ©. On part en France, Ă  Paris, d'aprĂšs ses papiers mes grands-parents vivaient la-bas alors, et je pense qu'eux connaissaient la vĂ©ritĂ©. La mĂ©dicomage revient alors vers Kaya. Cette derniĂšre lui rendit le dossier et la remercia de son aide. Les deux jeunes femmes sortirent de l’hĂŽpital et la blondinette reprit son souffle et s'assit sur un banc. Doucement elle se remĂ©mora tout ce qu'elles avaient trouvĂ©es ensembles, et Kaya ne comprenait toujours pas sa mĂšre. La jeune femme ne comprenait pas pourquoi elle l'avait abandonnĂ©e, elle l'aurait plus compris si Marynline n'avait plus eu de famille, mais lĂ , elle avait comme mĂȘme des parents et des amis puisqu'il y avait ce Stan. Allez on transplane pour Paris. Kaya prit la main Ă  Nathalie et 16Ăšme arrondissement. Il faisait froid, lorsque les deux jeunes arrivĂšrent dans une petite ruelle de Paris. Kaya vĂ©rifia que Nathalie avait tous ces membres, elles sortirent de la rue sombre et se rendirent Ă  l'adresse que la blondinette avait Ă©crit sa main gauche. Kaya Ă©tait stressĂ©e ne sachant pas comment ces inconnus allaient rĂ©agir. Allait-ils la prendre dans leurs bras ou fermer la porte devant son nez ? Kaya commençait Ă  marcher de plus en plus vite, elle voulait apprendre la vĂ©ritĂ© et vite ! Finalement, Nathalie et elle arrivĂšrent devant un manoir, somptueux et grand d'extĂ©rieur. Jusqu'ici, la blondinette n'avait pas de doute sur la vĂ©ritĂ©, mais devant cette porte, tout de suite et maintenant, que devait-elle faire ? Elle posa son regard sur Nathalie qui la poussa Ă  le faire. Kaya tapa donc trois coups sur la porte en bois foncĂ©e. Au dĂ©but, elle n'eut pas de rĂ©ponses, puis des cliquetis au niveau de la porte se firent attendre, et finalement une vieille femme, grande, aux yeux foncĂ©s et aux cheveux blonds trĂšs clairs leurs ce que je peux faire pour vous ? La vieille dame se figea devant Kaya. Elle ne dit rien mais son visage se dĂ©figura. Kaya comprit qu'elle devait l'avoir reconnue, gĂȘnĂ©e prit tout de mĂȘme la vous ĂȘtes Kara Lighters ? Et toi tu ne peux ĂȘtre que Kaya ! Entrez donc, je pense qu'il est temps qu'on s' jeune femme fut si surprise qu'elle ne bougea mĂȘme pas. Cette vieille dame Ă©tait d'une gentillesse ! Nathalie la poussa Ă  l'intĂ©rieur de la maison et que ne fut pas sa surprise ! C'Ă©tait un grand manoir, sombre et Ă©lĂ©gant, avec des tableaux un peu partout, et dans le salon une cheminĂ©e ne datant pas d'hier. Kaya avait toujours vĂ©cue dans la vieille ferme de son pĂšre adoptif et dĂ©couvrit ou avait vĂ©cu sa mĂšre pendant sa jeunesse Ă©tait un choc ! Je vous en pris, prenez elles ce trouvait un grand canapĂ© en cuir, et Kaya Ă©tait presque mal Ă  l'aise d'ĂȘtre entourĂ©e autant de veut tu savoir, Kaya ? Je ne sais pas si nous aurions fini de parler avant que ton grand-pĂšre ne revienne de sa promenade quotidienne, mais je pense que nous te devons des explications. Du thĂ© ?Kaya la remercia pour le thĂ©, en but une gorgĂ©e et prit la parole. Je voulais savoir pourquoi ma mĂšre m'a abandonnĂ©e. Cette question sembla affecter Kara et ses sourcils se froncĂšrent. VoilĂ  pourquoi tu es venue nous voir alors. Bien. Ce que tu dois savoir Kaya, c'est que la famille Adams est une famille de Sang-pur, et la famille Lighters aussi. C'est comme ça que nous avons Ă©tĂ© forcĂ©s Ă  nous marier d'ailleurs. Cela remonte Ă  longtemps dĂ©jĂ ... Enfin je m'Ă©gare ! Marynline Ă  Ă©tĂ© envoyĂ©e Ă  Serdaigle, comme toute la famille Lighters, son pĂšre n'Ă©tait pas vraiment d'accord avec ça mais le Choixpeau est le seul qui choisit. Dit moi Kaya dans quelle maison est tu ? La question de Kara surprit un peu Kaya. Elle ne s'Ă©tait jamais intĂ©ressĂ©e Ă  sa petite-fille et voilĂ  qu'elle lui demandait dans quelle maison de Poudlard elle se trouvait ! A Poufsouffle, ! C'est vrai ? dit la vieille dame en riant. Ton grand-pĂšre va ĂȘtre content, toute la famille Adams est Ă  Poufsouffle ! Ah cela me met de trĂšs bonne humeur, tu vas sĂ»rement trĂšs bien t'entendre avec Jonathan ! Une pause. Bref, comme je te l'ai dit nous sommes tous les deux issus d'une famille de Sang-Pur et la tradition voulait que Marynline Ă©pouse quelqu'un de Sang-pur, autrement quel dĂ©shonneur pour notre famille ! Alors tu imagine bien que quand elle revient Ă  dix-sept ans, juste Ă  la fin de ses Ă©tudes enceinte d'un vagabond ou je ne sais qui cela nous a mis hors de nous ! De plus, notre fille ne nous a donnĂ©s aucune explication, et nous ne savons d'ailleurs toujours pas qui est cet homme. Au dĂ©but de sa grossesse nous pensions qu'elle n'allait pas le garder, et nous avons tout fait pour cacher qu'elle Ă©tait enceinte. Elle est sortit pendant ses trois premiers mois et aprĂšs elle est restĂ©e dans sa chambre. Et puis un jour, elle nous a expliquĂ©e qu'elle hĂ©sitait Ă  garder le bĂ©bĂ©. C'Ă©tait tout simplement impossible ! Je sais que tu dois nous prendre pour d'horribles personnes mais comprends bien que l'honneur de deux familles Ă©taient en jeux ! La grand-mĂšre de Kaya toussota un coup, but une gorgĂ©e de son thĂ© et reprit son nous l'avons emmenĂ©e Ă  Saint Mangouste pour qu'elle accouche, un jeune homme est apparu. Stan Smith si je ne me trompe. C'Ă©tait un jeune homme amical et charmant et nous expliquĂ© que si il pouvait nous aidĂ© pour quoi que ce soit on n'avait qu'Ă  demander. Et bien d'accord ! Avec Jonathan on lui a tout de suite demandĂ©s de faire changer d'avis Marynline. Et il s'en est occupĂ©. Le soir mĂȘme tu Ă©tais nĂ©e et elle nous Ă  dit J'ai trouvĂ©e une famille pour Kaya, elle vivra heureuse, plus heureuse qu'avec moi ». Quelle surprise ! Kara se tut. Elle avait finit de tout lui dire. Kaya ne savait plus ou donnĂ© de la tĂȘte mais elle savait que la faute ne venait pas que de sa mĂšre. Elle venait aussi et surtout de se Stan, c'Ă©tait ce Stan qui avait voulu la rĂ©cupĂ©rer aprĂšs l'accouchement, mais il n'avait pas rĂ©ussit. J'ai une derniĂšre question, ou est ma mĂšre Ă  l'heure actuelle ? Kara posa dĂ©licatement sa tasse de thĂ© et cette voix, elle parla trĂšs bas et presque dans un chuchotement lui rĂ©pondit Je ne sais pas. Nous nous savons pas. Vers ses vingts elle est partis je ne sais oĂč. Depuis nous n'avons plus de nouvelles. Morte ou vivante ? Je ne peux pas te porte d'entrĂ©e claqua alors. Une grand homme aux cheveux blanc, et Ă  la diffĂ©rence de sa femme aux yeux bleus trĂšs clair, entra dans la piĂšce. Quand il vu Kaya, il ne parla pas et resta plantĂ© lĂ  devant elle. Puis il tourna vers sa femme et dit Est ce que c'est... Oui c'est Kaya ! Et en plus elle est Ă  Poufsouffle ! InvitĂ© Re Petite promenade en FranceInvitĂ©, le Sam 12 Nov - 2016 Kaya – On part en France, Ă  Paris, d'aprĂšs ses papiers mes grands-parents vivaient lĂ -bas alors, et je pense qu'eux connaissaient la ces paroles, la mĂ©dicomage rappliqua comme si elle avait guettĂ© les deux jeunes femmes qui l’avaient tant Ă©nervĂ©e. Elle reprit le dossier et s’en alla presque aussitĂŽt. Nathalie et Kaya sortirent alors de Sainte Mangouste mais
 La Poufsouffle semblait ĂȘtre sur le point de s’évanouir. Toutes ces informations devaient se bousculer dans sa tĂȘte, ne trouver aucune rĂ©ponse, ĂȘtre encore plus confuses que les rĂ©ponses qu’elle espĂ©rait trouver ici. Elles s’arrĂȘtĂšrent alors quelques instants sur un banc, le temps que la jeune fille reprenne son souffle, ses esprits. Mais comment l’ex-Gryffondor pouvait-elle l’aider Ă  prĂ©sent ? Comment l’aider Ă  surmonter ce surplus de questions qui devait la peser ? Elle l’avait mise en garde avant mĂȘme l’ouverture du dossier mais on ne peut jamais se prĂ©parer Ă  dĂ©couvrir des vĂ©ritĂ©s, des mensonges, d’autres questions, des rĂ©ponses incomprĂ©hensibles. Au fond, ce dossier ne leur avait rien dit de spĂ©cial sinon que la mĂšre de Kaya n’était pas morte, qu’elle avait un compagnon et qu’elle avait fait adopter sa fille. Que dire ?Kaya – Allez on transplane pour 16e arrondissementIl faisait froid. TrĂšs froid. En rĂ©alitĂ©, Nathalie se demandait depuis quand elle n’avait pas connu un aussi grand froid
 Bon d’accord, en oubliant l’hiver de l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente, durant lequel elle ne sortait jamais sans ĂȘtre couverte de la tĂȘte aux pieds. Mais ici, elle n’était pas habillĂ©e en consĂ©quence de la tempĂ©rature et grelottait. Pour le coup, elle parvenait Ă  suivre Kaya Ă  la trace sans trop se presser vu la taille de cette derniĂšre et vu le froid qui la motivait Ă  se dĂ©pĂȘcher. Mais
 Elle gardait un Ɠil sur Kaya en vĂ©rifiant qu’elle n’allait pas s’évanouir, trĂ©bucher, foncer tĂȘte baissĂ©e, ou autre chose. Oui, la jeune femme s’y Ă©tait attachĂ©e. A leur retour, une fois toute cette histoire terminĂ©e, elle savait qu’elle garderait un Ɠil sur la Poufsouffle jusqu’à la fin de ses Ă©tudes. Mais alors qu’elle pensait Ă  tout cela, elles arrivĂšrent devant un grand manoir que la jeune femme devina ĂȘtre la demeure des grands-parents de Kaya. D’ailleurs, elle hĂ©sitait Ă  toquer pour faire entendre sa prĂ©sence. Mais l’ex-Gryffondor poussa doucement la Poufsouffle vers la porte et elle frappa de trois coups. Une vieille dame, sĂ»rement la grand-mĂšre de Kaya, leur ouvrit, souriante, gentille Grand-mĂšre de Kaya – Qu'est ce que je peux faire pour vous ?Un ange passa. En effet, elle avait reconnu – Bonjour, vous ĂȘtes Kara Lighters ?Kara Lighters – Et toi tu ne peux ĂȘtre que Kaya ! Entrez donc, je pense qu'il est temps qu'on s' remercia la grand-mĂšre de Kaya et, sentant la peur reprendre le dessus sur la jeune fille, elle la poussa dĂ©licatement vers l’intĂ©rieur de la maison. IntĂ©rieur trĂšs luxueux, qui plus est ! Tout semblait hors de prix ici, avec un mobilier sans doute trĂšs ancien mais qui ne dĂ©notait en rien la valeur et le charme de la maison. Tout avait une taille dĂ©mesurĂ©e, imposante. La jeune femme n’osait s’asseoir, entrer sans retirer ses chaussures et elle jeta mĂȘme un coup d’Ɠil aux habitudes de Madame Lighters pour voir si cette derniĂšre retirait ses chaussures ou non. Cela semble un peu futile vu la situation mais, Ă©trangement, on veut passer inaperçu dans ce genre d’endroit. Elle avait l’impression d’ĂȘtre tache au milieu du dĂ©cor avec tout le chemin qu’elles venaient de parcourir, leurs cheveux en bataille, et j’en Lighters – Je vous en prie, prenez ces mots, Nathalie et Kaya s’installĂšrent dans le canapĂ© situĂ© juste derriĂšre elles. Elles avaient suivi la grand-mĂšre de Kaya, soucieuses de marcher dans ses pas pour ne rien dĂ©ranger et stupĂ©faites devant tant de luxe. Mais la jeune femme ne se sentait pas trĂšs Ă  l’aise ici
 MĂȘme si elle le cachait, elle n’aimait pas ce trop », se contentant du strict minimum, de choses simples mais qui faisaient leur charme. Mais le sujet n’était pas la dĂ©coration ce soir, il fallait Ă©clairer le passĂ© de la petite Lighters – Que veux-tu savoir, Kaya ? Je ne sais pas si nous aurons fini de parler avant que ton grand-pĂšre ne revienne de sa promenade quotidienne, mais je pense que nous te devons des explications. Du thĂ© ?Kaya accepta le thĂ© tout en remerciant sa grand-mĂšre, Nathalie en fit de mĂȘme. Un peu de chaleur ne faisait pas de mal. Mais elle n’intervint pas, prĂ©fĂ©rant laisser Kaya parler d’elle-mĂȘme, utiliser les mots qui lui semblait le plus correct pour cette circonstance quelque peu – Je voulais savoir pourquoi ma mĂšre m'a ce point, Kaya avait touchĂ© sa grand-mĂšre qui semblait redouter cette question. Pourtant, elle devait s’en douter. Alors pourquoi cette rĂ©action visible ?Kara Lighters – VoilĂ  pourquoi tu es venue nous voir alors. Bien. Ce que tu dois savoir Kaya, c'est que la famille Adams est une famille de Sang-Pur, et la famille Lighters aussi. C'est comme ça que nous avons Ă©tĂ© forcĂ©s Ă  nous marier d'ailleurs. Cela remonte Ă  longtemps dĂ©jà
 Enfin je m'Ă©gare ! Marynline Ă  Ă©tĂ© envoyĂ©e Ă  Serdaigle, comme toute la famille Lighters, son pĂšre n'Ă©tait pas vraiment d'accord avec ça mais le Choixpeau est le seul qui choisit. Dis-moi Kaya, dans quelle maison es-tu ?Kaya – A Poufsouffle, Madame. Madame ». Kaya restait distante encore, pour le moment, et elle semblait surprise par la question posĂ©e par sa grand-mĂšre. Il est vrai que cette question est
 risible lorsque l’on considĂšre la Lighters – Oh ! C'est vrai ? Ton grand-pĂšre va ĂȘtre content, toute la famille Adams est Ă  Poufsouffle ! Ah cela me met de trĂšs bonne humeur, tu vas sĂ»rement trĂšs bien t'entendre avec Jonathan ! Bref, comme je te l'ai dit nous sommes tous les deux issus d'une famille de Sang-Pur et la tradition voulait que Marynline Ă©pouse quelqu'un de Sang-Pur, autrement quel dĂ©shonneur pour notre famille ! Alors tu imagines bien que quand elle revient Ă  dix-sept ans, juste Ă  la fin de ses Ă©tudes enceinte d'un vagabond ou je ne sais qui cela nous a mis hors de nous ! De plus, notre fille ne nous a donnĂ© aucune explication, et nous ne savons d'ailleurs toujours pas qui est cet homme. Au dĂ©but de sa grossesse nous pensions qu'elle n'allait pas le garder, et nous avons tout fait pour cacher qu'elle Ă©tait enceinte. Elle est sortie pendant ses trois premiers mois et aprĂšs elle est restĂ©e dans sa chambre. Et puis un jour, elle nous a expliquĂ© qu'elle hĂ©sitait Ă  garder le bĂ©bĂ©. C'Ă©tait tout simplement impossible ! Je sais que tu dois nous prendre pour d'horribles personnes mais comprends bien que l'honneur de deux familles Ă©taient en jeu !Pardon ?! L’honneur de deux familles en jeu, alors on sacrifie un ĂȘtre vivant, un bĂ©bĂ© qui plus est ? Et elle lui demanda de les comprendre ! Elle ne manquait pas de culot. Nathalie se retint de lĂącher ce qu’elle pensait Ă  cette femme, aprĂšs tout, peut-ĂȘtre avait-elle Ă©tĂ© Ă©levĂ©e comme cela. Mais tout de mĂȘme, aprĂšs un certain Ăąge, on ouvre les yeux ! RĂ©aliser que certaines personnes Ă©taient encore capables de penser de telles choses rĂ©voltaient tout bonnement l’ex-Gryffondor. D’accord, on peut ĂȘtre Ă  cent pourcents dans cette optique mais pas jusqu’au point du sacrifice d’un bĂ©bĂ© pour respecter le sang d’une famille ! Ces explications commençaient trĂšs mal. Kaya ne semblait pas rĂ©agir Ă  cette rĂ©vĂ©lation et cela inquiĂ©tait l’ex-Gryffondor. Mais la grand-mĂšre de Kaya reprit ses explications Kara Lighters – Lorsque nous l'avons emmenĂ©e Ă  Sainte Mangouste pour qu'elle accouche, un jeune homme est apparu. Stan Smith si je ne me trompe. C'Ă©tait un jeune homme amical et charmant et il nous a expliquĂ© que s’il pouvait nous aider pour quoi que ce soit on n'avait qu'Ă  demander. Et bien d'accord ! Avec Jonathan on lui a tout de suite demandĂ© de faire changer d'avis Marynline. Et il s'en est occupĂ©. Le soir mĂȘme tu Ă©tais nĂ©e et elle nous Ă  dit J'ai trouvĂ©e une famille pour Kaya, elle vivra heureuse, plus heureuse qu'avec moi ». Quelle surprise !Et voilĂ , l’histoire Ă©tait terminĂ©e. Apparemment, Kara avait tout racontĂ© Ă  sa petite-fille et semblait soulagĂ©e mĂȘme si cela ne l’avait pas, Ă  premiĂšre vue, pesĂ©e plus que de coutume. Non, vraiment, Nathalie ne comprenait pas cette famille. Elle avait beau essayer de lui trouver des excuses, jamais elle ne parviendrait Ă  comprendre leur motivation d’abandon pour une simple question de sang. Kaya, quant Ă  elle, avait l’air complĂštement perdue et ne rĂ©agit pas Ă  ce que venait de dire sa grand-mĂšre – si elle mĂ©ritait ce qualificatif – mais posa seulement une question, la question qui la taraudait depuis des annĂ©es Kaya – J'ai une derniĂšre question, oĂč est ma mĂšre Ă  l'heure actuelle ?Cette question produisit une rĂ©action chez Kara Lighters qui dĂ©posa sa tasse de thĂ©, ce qui Ă©tonna Nathalie qui pensait que cette femme n’avait aucune valeur vraisemblable, et rĂ©pondit, dans un chuchotement Kara Lighters – Je ne sais pas. Nous nous ne savons pas. Vers ses vingt ans, elle est partie je ne sais oĂč. Depuis nous n'avons plus de nouvelles. Morte ou vivante ? Je ne peux pas te avant que Kaya ne rĂ©agisse Ă  cette rĂ©ponse pour le moins dĂ©sespĂ©rante, la porte d’entrĂ©e claqua et un homme relativement ĂągĂ© entra dans la maison. A la seconde oĂč il vit Kaya, son visage se figea et il ne fit qu’articuler un dĂ©but de question, Ă  savoir Grand-pĂšre de Kaya – Est ce que c'est
Kara Lighters – Oui c'est Kaya ! Et en plus elle est Ă  Poufsouffle !Mais Kaya avait l’air comme figĂ©e, elle aussi, mĂȘme si elle et Nathalie s’étaient retournĂ©es instantanĂ©ment vers la porte d’entrĂ©e. L’homme se rapprocha des trois femmes – ou presque femme – et ne savait pas trop quoi faire, Ă  premiĂšre vue. Il semblait partagĂ© entre le rĂȘve et la rĂ©alitĂ©, comme s’il ne savait pas si Kaya n’était qu’une illusion ou si elle Ă©tait, au contraire, bien rĂ©elle. Mais s’ils Ă©taient transportĂ©s de bonheur en voyant leur petite-fille, pourquoi l’avoir abandonnĂ©e ? Cette fois, la jeune femme ne pouvait plus contenir ses questions, elle devait demander ce qui la prĂ©occupait et ce qui la choquait, en mĂȘme – Pardonnez-moi, je sais que ce ne sont pas mes affaires mais
 Vous avez l’air, tous les deux, de tenir Ă  Kaya, non ? Je veux dire
 Quand j’ai vu votre rĂ©action et celle de votre mari, c’est ce que je fit une pause, le temps de chercher ses mots. Elle Ă©tait vĂ©ritablement choquĂ©e mais elle ne devait pas, et en aucun cas, compromettre les chances de Kaya de retrouver la famille qu’elle souhaitait
 Si elle le souhaitait. Elle le refusait, elle devait respecter le choix de la Poufsouffle. Mais alors, comment poser sa question sans que cela ne les choque ? Surtout qu’elle ne faisait mĂȘme pas partie de la famille, elle ne faisait qu’accompagner et soutenir Kaya depuis le dĂ©but de la journĂ©e Ă  prĂ©sent et, si cela se trouve, les personnes se trouvant devant elle avaient fait des recherches de leur cĂŽtĂ©. Reprenant oĂč elle s’était arrĂȘtĂ©e, elle continua Nathalie – Peut-ĂȘtre avez-vous fait des recherches, surveillĂ© Kaya pendant quelques temps. Mais
 J’avoue ne pas trop comprendre cet abandon vu ce que vous lui avez racontĂ© et lorsque je remarque vos rĂ©actions
 Je suis un peu perdue, et je crois que Kaya l’est une pause, mais plus courte cette fois. Puis Nathalie reprit pour apporter une petite prĂ©cision Ă  ses dires Nathalie – Je ne blĂąme personne, mais je n’ai pas Ă©tĂ© Ă©levĂ©e avec cette considĂ©ration, cette importance quant au sang d’un sorcier. Et je pense que Kaya non plus. Alors une petite prĂ©cision, une explication, si ce n’est pas trop vous demander, ne serait pas de refus. Kaya AdamsPoufsouffle Re Petite promenade en FranceKaya Adams, le Mer 30 Nov - 1803 [ HRPG Fin du RP tu rĂ©ponds ou tu ne rĂ©ponds pas comme tu veux ]Kaya ne pouvait mentir, et la rĂ©alitĂ© Ă©tait que belle et bien elle Ă©tait perdue dans toutes les explications de Kara. Mais aprĂšs tout, elle n'avait pas Ă  les juger, car ils semblaient rĂ©ellement ĂȘtre des personnes gentils et de confiance, mais la jeune femme ne pouvait ignorer, les paroles de Nathalie ce qui piqua sa curiositĂ© au vif. La rĂ©action de ses grands-parents biologiques ne fut pas celle Ă  se que Kaya s'entendait. En effet elle se doutait qu'aprĂšs ses mots durs, Kara et Jonathan allaient sĂ»rement ĂȘtre en colĂšre et leur demander de partir mais finalement non, et encore une fois Kara reprit la parole, avec douceur mĂȘme si l'ont pouvait sortir la dĂ©solation dans sa nous somme attachĂ©s Ă  Kaya, elle est comme se mĂšre aprĂšs tout, alors dans son visage nous avons l'impression de la revoir, comme si elle n'Ă©tait jamais partie. Mais ce sont ses yeux qui font la diffĂ©rence. Jamais notre fille n'aurait aussi foncĂ©s que les tiens, elle avait de beaux yeux bleus, qui reprĂ©sentait toute sa dĂ©licatesse et sa naĂŻvetĂ©. Nous te mentirons, Ă  vrai dire, si nous ne disions pas que tu voir nous fait du mal, mais nous ne voulons pas te perdre comme nous avons perdus notre fille, nous voulons ĂȘtre lĂ  pour toi, nous savons Ă©videmment que cela ne sera pas facile et nous ne te demandons pas de nous pardonnĂ©s, mais on espĂšre que tu pourras peut-ĂȘtre essayĂ©e de reprendre le contact avec ne savait pas quoi dire. Effectivement elle n'avait jamais pensĂ©e que sa famille biologique l'accueillerai les bras ouvert comme si cela faisait Ă  peine quelques mois qu'ils ne s'Ă©taient pas vu, mais la Poufsouffle ne s'attendait pas non plus Ă  des paroles aussi touchantes de leurs parts. AprĂšs tout, pour Kaya , elle ne pouvait ĂȘtre qu'un mauvais souvenir pour ses pauvres gens, mais non, ils avaient eu la franchise de leurs dire leurs sentiments avers elle. Puis Jonathan se retourna vers Nathalie et dit Nous n'avons jamais pu vraiment l’oublier, mais par respect envers elle et sa famille adoptive nous avons prĂ©fĂ©rĂ©s les laisser tranquille. C'est vrai nous aurions pu engager quelqu'un pour savoir tous ses faits et gestes, mais qu'est ce que cela nous aurait apportĂ©s ? Nous nous sommes donc mis d'accord et finalement acceptĂ©s le fait que nous devions attendre le temps qu'il faudra pour que Kaya vient de son propre grĂ©, et nous savions que les risques qu'elle ne vient jamais n'Ă©tait pas fit une pause le temps que Kaya digĂšre ce qu'elle entendait. MĂȘme si ces grands-parents lui apprenait des choses, elle n'avait toujours pas atteint son objectif. Et sa mĂšre, oĂč Ă©tait-elle maintenant ? Kaya n'avait plus envie d'Ă©couter Kara et Jonathan, et maintenant elle voulait rentrĂ©e en Angleterre, pensĂ©e calmement Ă  cela, puis revenir les voir. Et qui c'est peut-ĂȘtre un jour, ils connaĂźtraient tous les trois la vĂ©ritĂ© ? La jeune femme se leva donc, posa doucement la tasse de thĂ© et regarda fixement, tour Ă  tour ses grands-parents ». Enfin, elle se dĂ©cida et prit la parole Merci de m'avoir Ă©clairĂ©e sur ma mĂšre. Vous avez raison, aujourd'hui je ne peux pas vous pardonner ce que vous avez fait, car aprĂšs tout, vous ne semblez pas ĂȘtre pauvres et je suis sĂ»re vous auriez pus m’élevĂ©e. Cependant, je ne sais pas si je dois vous dire merci, de m'avoir permis de rencontrĂ©e, mon pĂšre adoptif et les autres membres de ma famille, ceux qui ont toujours Ă©tĂ© lĂ  pour me soutenir. J'espĂšre que maintenant vous rĂ©flĂ©chirez Ă  deux fois avant d'abandonner un enfant pour une histoire de sang et vous aurez toujours cela sur la conscience de ce que j'ai pu vivre, pendant des annĂ©es Ă  vous cherchez. Pour l'instant, je repars en Angleterre avec Nathalie, je vous appellerais sĂ»rement afin de prendre de vos nouvelles, car vous semblez vraiment ĂȘtre des gens bien. Puis, la jeune femme suivit de Nathalie sortit de la maison sans se retourner. Elle s'assit dans un banc en face la maison et respira un grand coup. VoilĂ  qui Ă©tait fait ! Évidemment cela la rassurait d'avoir pu enfin rencontrĂ©e des personnes de sa famille biologique mais elle n'oubliais pas pour autant Josh ; Miranda et Gerik, SA famille. Comme l'avait dit sa grand-mĂšre, le chemin pour enfin se connaĂźtre et s'apprĂ©cier serait trĂšs long et sĂ»rement douloureux. Mais, Kaya ne perdait pas espoir, elle savait qu'ils pouvaient y arriver. Enfin, elle regarda Nathalie,lui prit le bras et dit Merci, maintenant on rentre dans notre pays ! Akshay LecterSerpentard Re Petite promenade en FranceAkshay Lecter, le Dim 15 Jan - 1157 Akshay venait de transplaner Ă  Paris. Il connaissait l'ancienne adresse de sa sƓur. C'Ă©tait la mĂȘme qu'Ă  l'Ă©poque oĂč elle lui avait envoyĂ© les derniĂšres lettres. Il voulait s'y rendre pour en apprendre plus sur eux, qui ils Ă©taient, car sa sƓur ne parlait plus et son neveu ne parlait jamais de ce qui s'Ă©tait passĂ© avant... Il se rendit dans le 18 Ăšme arrondissement de Paris Ă  pied, il ne pouvait pas prendre le risque de transplaner dans un endroit qu'il ne connaissait pas et quand il ne savait pas s'il y aurait quelqu'un pour le surprendre. Il arriva dans les rues tout en bas du sacrĂ© cƓur. Il monta les marches rapidement. Le ciel Ă©tait d'un bleu acier et le soleil brillait. Il faisait froid. C'Ă©tait une belle journĂ©e du mois de janvier. Des touristes prenaient des photos et se promenaient. Un jeune homme Ă©tait perchĂ© en face de la cathĂ©drale et jouait avec un ballon juchĂ© sur un muret. Il cĂŽtoyait de trĂšs prĂšs le vide. Un petit groupe l'observait, la plupart admiratifs et certains dĂ©sapprobateurs. Un petit garçon qui devait avoir dans les six ans ne le lĂąchait pas du regard, ses yeux dĂ©passa le petit groupe et continua Ă  marcher Ă  vive allure en prenant sur la gauche. Ses yeux ne purent Ă©viter la blancheur magnifique de la cathĂ©drale du sacrĂ© cƓur. Il la contourna. Un viel homme Ă©dentĂ©, la casquette vissĂ©e sur le crane, Ă©tait entrain de jouer de l'accordĂ©on. Le vampire n'avait que des Gallions et des mornilles en poche. Il continua son chemin. C'Ă©tait un endroit privilĂ©giĂ© pour les artistes. Un grand nombre d’entre eux proposaient aux passant de faire leur portrait, leur caricature et un tas d'autres choses... C'Ă©tait une ambiance trĂšs particuliĂšre qui rĂ©gnait dans ses ruelles, certes inconnue pour lui mais qui lui plĂ»t. Les rues pavĂ©es Ă©taient en pente. Des maisons de villes Ă©troites pour un certain nombre recouvertes de lierres se succĂ©daient Ă  sa droite. Il sentait qu'il Ă©tait bientĂŽt arrivĂ©. Une plus petite maison Ă©tait comme coincĂ©e entre deux plus grandes. C'Ă©tait un toit en pavillon avec des pentes assez raides. La maison Ă©tait Ă©troite mais avait du caractĂšre. Il s'approcha du portillon et le poussa. Il grinça sur ses gonds. Il fit les quelques pas qui le sĂ©paraient de la porte d'entrĂ©e et tourna la poignĂ©e. C'Ă©tait fermĂ©. Il prit garde Ă  ce que personne ne le voit et sortit sa dĂ©clic se fit entendre. Il entra. Une Ă©paisse couche de poussiĂšre recouvrait le sol et les meubles. Personne n'Ă©tait venu ici depuis un moment. Les derniers Ă  ĂȘtre venus devaient ĂȘtre la police lors de l'enquĂȘte sur le meurtre de son beau-frĂšre. Il s'avança tout en regardant autour de lui. Il y avait beaucoup de photos de famille accrochĂ© au mur. Misha, JĂ©rĂ©my et Maxim formaient un belle famille. Il n'avait pas encore idĂ©e Ă  ce moment lĂ  des secrets de cette famille...La maison Ă©tait petite mais charmante. Il y avait deux chambres, il entra dans la plus petite. CĂ©tait celle de Maxim. Les jouets Ă©taient recouverts de poussiĂšre. Des livres pour enfants Ă©taient Ă©talĂ©s au sol, des peluches gisaient un peu partout. Il y avait une commode. Il ouvrit un premier tiroir qui ne contenait que des vĂȘtements, puis un second oĂč il dĂ©nicha un petit album photo. Il ne contenait qu'un dizaine de photos. Il observa avec attention la derniĂšre. C'Ă©tait une photo de Misha Ă  la maternitĂ© avec Maxim bĂ©bĂ© dans les bras. Son regard semblait perdu, triste. Il fronça les sourcils. La couverture de l'album semblait boursouflĂ©e. Il dĂ©chira la doublure en papier et trois photos tombĂšrent au sol. Il les ramassa et les observa. La premiĂšre Ă©tait une photo de lui et Misha lorsqu'il Ă©taient Il observa avec tendresse sa petite sƓur qui Ă  l'Ă©poque n'avait pas encore perdu son innocence, puis jeta un Ɠil Ă  lui-mĂȘme enfant. Cet enfant Ă©tait mort le mĂȘme jour que son frĂšre dans le manoir de leurs parents cet hiver glacial oĂč le loup Ă©tait entrĂ©. Les enfants ont tous naturellement peur des loups, mais ils n'en trouveront jamais derriĂšre leur porte ou sous leur lit. Cette nuit lĂ , le grand mĂ©chant loup Ă©tait entrĂ© dans leur maison et avait emportĂ© son frĂšre. Il avait alors tuĂ© le loup et l'enfant qui Ă©tait en lui en mĂȘme temps. Il prit la seconde photo. Elle reprĂ©sentait son grand frĂšreSpoiler, Ă©galement peu de temps avant les tragĂ©dies qui allaient se jouer quelques temps plus tard. Il avait l'estomac nouĂ© et la gorge serrĂ©e par l'Ă©motion. Il aimerait temps pouvoir parler Ă  ce grand frĂšre disparut quelques fois, ce grand frĂšre qui Ă©tait mort pour les protĂ©ger cette nuit lĂ . Enfin il passa Ă  la troisiĂšme photo. Il fronça les sourcils. Elle reprĂ©sentait deux bĂ©bĂ©s aux cheveux bruns qui se ressemblaient beaucoup. Il retourna la photo et lĂ  ce fut le choc. "Mon Maxim, je ne te l'ai jamais dis, mais tu as un frĂšre, un jumeau. J'ai cachĂ© son existence Ă  tous. Je pensais Ă  l'Ă©poque que j'avais une bonne raison. Tu dĂ©couvriras un jour que tu as des pouvoirs magiques. J'en ai Ă©galement. Mais je les ai toujours rejetĂ©s. Or ton frĂšre Ă  sa naissance utilisait dĂ©jĂ  la magie d'une maniĂšre trĂšs particuliĂšre. Cela m'a fait trĂšs peur. Je l'ai donc confiĂ© Ă  des bonnes sƓurs pour qu'elles s'en occupent. Je suis dĂ©solĂ© de t'avoir cachĂ© tant de choses. Quand tu dĂ©couvriras tes pouvoirs, si je ne suis plus lĂ  et tu ne sais pas quoi faire, recherche mon frĂšre. Ton oncle, Akshay Lecter, il vit en Angleterre. Tu trouveras son adresse ci joint. Quant Ă  ton frĂšre, c'est Ă  l'orphelinat des papillons blancs que les bonnes sƓurs Ɠuvraient. Saches que je tiens Ă  toi plus que tout. J'espĂšre que tu me pardonneras un jour pour tout ça. Ta maman qui t'aime." Akshay ne savait plus quoi penser. Maxim avait donc un jumeau. Il devait tout de suite aller voir ces bonnes sƓurs et cet orphelinat. Peut-ĂȘtre qu'il Ă©tait encore lĂ . Il glissa les trois photos dans sa veste, mit la main sur l'annuaire, trouva l'orphelinat des papillons blancs et sortit de la maison. Il ne voulait pas perdre de temps et il ne pouvait pas prendre le mĂ©tro, il transplana donc. Il atterit dans une petite ruelle Ă©troite entre deux immeubles. Il sortit sur la route principale. Paris Ă©tait une ville en perpĂ©tuelle effervescence. L'orphelinat surplombait la rue en face de lui. Il observa la bĂątiment. C'Ă©tait un trĂšs vieux bĂątiment. Il traversa la rue et se posta devant la vielle porte en bois massif. Il prit le loquet et toqua. Il entendit distinctement le bruit de rĂ©sonance Ă  l'intĂ©rieur. Une voix de femme se fit tourna une clĂ© et un dĂ©clic bruyant retentit. La lourde porte s'ouvrit. Un vielle femme l'accueillit. Elle eut un drĂŽle de regard, puis lui entrez, je vous en jeta un Ɠil au hall, un grand escalier menait Ă  l'Ă©tage en face de la porte et un long couloir s'allongeait des deux cĂŽtĂ©s du hall. Un petit garçon passa Ă  cĂŽtĂ© de lui en courant et en riant. Un autre femme plus jeune lui courrait aprĂšs en lui disant de s'arrĂȘter. Il entendit des rires au dessus de sa tĂȘte Ă©galement. Il leva les yeux et put voir un petit groupe d'enfants accoudĂ©s Ă  la rambarde de l'escalier au dessus de lui qui les puis-je faire pour vous?Akshay se demanda comment il pourrait expliquer son se pourrait que mon neveu soit encore ici. Il a huit ans. Ma soeur l'a abandonnĂ© Ă  sa naissance, il avait un frĂšre jummeau. Il est possible qu'il ait une... vielle femme le regarda d'un drĂŽle d'air. Le doute, l'apprĂ©hension et un tas d'Ă©motions se faisaient violence en elle Ă  ce moment lĂ . Elle le regarda Ă  nouveau vous ressemble qui vous parlez?-De votre visage d'Akshay se vous qu'elle Ă©tait venu je m'en souviens comme si c'Ă©tait hier. Il faut dire que c'est quelque chose qui marque. Elle est venu avec deux bĂ©bĂ©s. Un homme Ă©tait avec elle, il pleurait. Elle aussi Ă©tait en larmes. J'Ă©tais la seule prĂ©sente ce jour lĂ . Elle m'a tendu un des nourrissons. C'Ă©tait un petit garçon. Elle m'a dit tout en pleurant qu'elle ne pouvait pas le garder, qu'il lui rappelait trop de mauvais souvenirs, qu'il fallait que je le garde. Je lui ai demandĂ© des explications, je lui ai dis qu'elle ne pouvait pas abandonner son enfant comme cela. Elle m'a juste dis "Il ressemble tellement Ă  MilĂ n" et ses derniers mots ont Ă©tĂ© "ProtĂ©gez-le". Et ils sont partis tous les trois. J'Ă©tais en Ă©tat de choc. Je tenais ce petit ĂȘtre dans mes bras et lĂ  je l'ai regardĂ©. Il semblait avoir un peu peur, alors je lui ai souris et il m'a rendu mon sourire timidement. Il avait de beaux yeux bleus expressifs. Et lĂ  ses cheveux sont passĂ© du brun au rose puis encore au brun. J'ai cru que je rĂȘvais, mais il a vite recommencer alors je n'ai pas pu m'empĂȘcher de crier. Il s'est mis Ă  pleurer, je l'ai regardĂ© et je l'ai serrĂ© contre moi. Alors j'ai compris que je ferrai tout pour protĂ©ger ce petit ĂȘtre si particulier. Je l'ai gardĂ© avec moi et j'Ă©tais la seule Ă  m'en occuper, j'y tenais. MilĂ n Ă©tait le seul prĂ©nom que ça mĂšre avait dit. Je l'ai donc prĂ©nommĂ© ainsi. C'est un beau prĂ©nom je trouve. -C'Ă©tait le nom de mon frĂšre...Akshay Ă©tait hĂ©bĂ©tĂ©. Cette histoire Ă©tait incroyable. Akshay connaissait sa sƓur. Cet enfant avait du faire remonter trop de mauvais souvenirs, plus qu'elle ne pouvait en supporter. Mais il avait quand mĂȘme du mal Ă  comprendre comment elle avait pu l'abandonner. S'il se fiait Ă  la description de la vielle femme, MilĂ n devait ĂȘtre mĂ©tamorphomage. C'Ă©tait un don trĂšs rare, souvent hĂ©rĂ©ditaire. Il ne se souvenait pas beaucoup de ses parents, il aurait Ă©tĂ© incapable de dire si l'un d'eux avait eu ce encore ici?-Comme je vous l'ai dis, c'Ă©tait un enfant particulier, je ne pouvais pas prendre le risque de la faire adopter. Venez avec la suivit. Ils montĂšrent les escaliers. Il entrĂšrent dans un grand dortoirs. Les lits Ă©taient alignĂ©s contre le mur et une grande fenĂȘtre Ă©clairait la joue souvent avancĂšrent et Akshay dĂ©couvrit le petit garçon assis parterre entre deux lits, il jouait avec des petits soldats en plomb. L'enfant leva les yeux vers lui. De grands yeux bleus expressifs et profonds. Ce fut encore un choc pour lui. Il ressemblait autant Ă  son frĂšre que Maxim ressemblait Ă  Akshay. Il eut l'impression de replonger vingt ans en lui sourit et se remit Ă  un enfant adorable. J'aurai aimĂ© qu'il ait un famille, mais je ne savais pas quoi faire et je me devais de le protĂ©ger. -Allons parler Ă  l' sortirent tous deux dans le couloir. Akshay observa la veille suis sĂ»r que vous avez fais au mieux avec lui. Est-ce que vous pensez qu'il pourrait venir avec moi? La vielle femme le regarda d'un air aujourd'hui non!-Non, je me doute bien, mais peut-ĂȘtre pourrais-je l'adopter?-Il faut monter dans ce cas un dossier et le soumettre au conseil de famille. -Je suppose qu'avec votre soutient et le fait que je sois parent avec lui jouera en ma avait dis cela d'un air rĂ©signĂ©. La tristesse se lisait dans ses savez, je suis comme une mĂšre pour lui. Je suis ravie qu'il puisse retrouver sa famille, mais je suis celle qui l'a Ă©levĂ© et qu'il considĂšre comme sa suis conscient et je ne vous enlĂšverai pas ce lien. Mais il est temps qu'il retrouve ses passa plusieurs heures avec la veille dame dans un bureau. Ils montĂšrent un dossier solide. Elle lui parla longuement de MilĂ n et lui demanda s'il pouvait expliquer cette particularitĂ©. Akshay nia. Elle lui apprit que c'Ă©tait un petit garçon intelligent et qui avait la joie de vivre. Une fois qu'il eut terminĂ©s elle lui promit de transmettre le dossier dans la journĂ©e. Il monta dire au revoir Ă  son neveu et sortit de l'orphelinat. Il se rendit dans la ruelle et Ă©dition par Akshay Lecter le Lun 16 Jan - 1101, Ă©ditĂ© 3 fois Claire WilsonGryffondor Re Petite promenade en FranceClaire Wilson, le Dim 15 Jan - 1700 Le temps d'une explication...CRÉDIT - CSS Il faisait froid dans les rues de la belle capitale française Ă  cause du vent qui venait fouetter les visages des quelques passants qui avaient du sortir de leur maison afin de s'affĂ©rer Ă  leurs tĂąches quotidienne. En ce dĂ©but de matinĂ©e les nombreux Moldus qui vivaient ici avaient le yeux rivĂ©s au sol, ayant trop peur de tomber sur une plaque de verglas qui avait pu se former pendant la nuit, et avançaient avec automatisme vers leurs destinations. Parmi eux une jeune femme d'une Ă©lĂ©gance rare dĂ©ambulaient parmi tout ces gens le regard vide, totalement plongĂ©e dans ses pensĂ©es. Sans faire attention Ă  ce qui se passait Ă  cĂŽtĂ© d'elle, Claire se dirigeait vers la belle Tour Eiffel, ce bĂątiment si vieux et tellement apprĂ©ciĂ© par les touristes qui venaient en France. Elle remontait la rue qui menait Ă  ce bel Ă©difice lorsque quelqu'un la bouscula violemment, manquant de la faire tomber au sol. Le coupable s'excuse rapidement avant de reprendre son trajet, trop pressĂ© ou trop craintif d'arrivĂ© en retard Ă  son travail. Elle aimait les moldus plus qu'elle ne l'aurait imaginĂ© et heureusement qu'elle avait vĂ©cu parmi eux les onze premiĂšres annĂ©es de sa vie, sans quoi elle n'aurait jamais pu se faufiler entre eux avec un air aussi naturel et dĂ©tendu. Ces parents adoptifs lui manquaient parfois bien qu'elle Ă©tait heureuse et satisfaite d'avoir retrouver sa vĂ©ritable famille et que cela lui suffisait amplement, mais la vie en tant que jeune Moldu Ă©tait plaisante loin de tout soucis, de combat et de magie noir... Etre Moldu, au fond, c'Ă©tait ĂȘtre innocent. Continuant son chemin aprĂšs cette brĂšve altercation, la jeune sorciĂšre accĂ©lĂ©ra son pas car elle avait repĂ©rĂ© un banc non loin d'elle qui Ă©tait inoccupĂ©e et non loin de cette Tour Eiffel qu'elle admirait tant. Elle posa son sac prĂšs d'elle, tenant la laniĂšre d'une main et se recroquevilla lĂ©gĂšrement, ramenant ces genoux vers son torse et reprenant cette position de presque-foetus qu'elle aimait pensait Ă  Zepheryn, son amie, cette jeune femme avec qui elle avait nouĂ© un lien plus fort qu'elle ne l'avait imaginĂ©. Lorsque Claire avait dĂ©cidĂ© de rejoindre Ă  nouveau les PhĂ©nix pour combattre les forces du mal tout en lui permettant d'agir dans l'ombre pour garantir une certaine sĂ©curitĂ© Ă  sa fille Mia, toutes ses convictions et tout ces plans avaient Ă©tĂ© bouleversĂ©s. Elle avait du subir un nouvel entrainement avec MĂ©lina, une dĂ©cision prise par l'ancienne chef de l'Ordre, mĂȘme si ce dernier avait Ă©tĂ© inutile puisque les deux jeunes femmes savaient pertinemment se battre. Claire n'avait jamais rien oubliĂ© de son passĂ© de PhĂ©nix et avait continuĂ© malgrĂ© tout Ă  garder une activitĂ© physique importante afin de toujours ĂȘtre en forme au cas ou son passĂ© la rattraperait ; Quant Ă  MĂ©lina, son statut de hors la loi l'avait empĂȘchĂ© d'oublier les tactiques du combat et en tant qu'ancienne chef des Aurors, ses connaissances Ă©taient bonnes. D'un commun accord, les deux jeunes femmes avaient arrĂȘtĂ©s le combat avant que celui ci ne s'achĂšve, leur Ă©vitant des blessures inutiles jugeant plus important d'ĂȘtre opĂ©rationnelles le plus rapidement possible en cas d'attaque des Mangemorts qui se faisaient de plus en plus prĂ©sent sur le territoire anglais. Et Ă  part cette fois ci ou elle avait rejoins le Quartier GĂ©nĂ©ral afin d'effectuer ce pseudo entrainement, l'ancienne Gryffondor n'avait pas remis les pieds lĂ  bas afin de pouvoir reprendre les affaires doucement et Ă©viter d'ĂȘtre embarquĂ© dans un combat Ă  mĂȘme de retour. La paperasse au fond, elle aimait presque ça ; faire des plans de capture ou chercher des idĂ©es leur permettant d'accroĂźtre leur force ou encore chercher des nouvelles recrues qui pouvaient dĂ©fendre le monde magique... C'Ă©tait ça que la jeune vĂ©lane apprĂ©ciait faire. Elle avait dĂ©jĂ  donnĂ© de son corps, de son sang et de ses larmes sur le terrain et mĂȘme si elle savait qu'un combat dans un futur proche Ă©tait inĂ©vitable, elle faisait tout pour ne pas y penser. Combattre c'Ă©tait souffrir. Et puis maintenant, elle avait une petite fille qui avait besoin d'elle et il Ă©tait hors de question de l' surprise lorsqu'elle avait rejoins le Quartier GĂ©nĂ©ral pour la deuxiĂšme fois lorsque la Chef les avaient conviĂ©s afin d'exĂ©cuter la cĂ©rĂ©monie des serments inviolables et qu'elle avait vu Zepheryn. Son coeur avait manquĂ© un battement lorsqu'elle Ă©tait entrĂ©e dans le salon et qu'elle avait vu la petite brune se tenir lĂ , prĂȘte Ă  se lier pour l'Ă©ternitĂ© Ă  l'organisation des PhĂ©nix. Elle aurait voulu hurler que ce n'Ă©tait pas possible et qu'elle refusais qu'une telle chose se produise mais si son amie se trouvait lĂ  c'est qu'elle avait dĂ©jĂ  subit un entrainement et qu'elle savait dĂ©jĂ  trop de chose pour pouvoir renoncer. Elle aurait voulu fuir, quitter Ă  nouveau les PhĂ©nix pour Ă©viter d'avoir Ă  subir une nouvelle fois la crainte de voir un ĂȘtre cher se faire tuer durant un combat. A la place, elle avait prĂ©fĂ©rĂ© s'isoler, assister Ă  la cĂ©rĂ©monie tout en Ă©tant en retrait et elle avait bien vu le regard perdu de son amie face Ă  la rĂ©action de la jeune Maman. Tant de questions lui avaient traversĂ©s l'esprit et elle prĂ©fĂ©rait s'Ă©loigner afin de refaire le monde avec des 'si'. A chaque fois que la Serdaigle acquiesçait les demandes de la chef de l'Ordre, la VĂ©lane recevait un coup de poing dans le coeur. Elle avait Ă©tĂ© discrĂšte pendant les trois serments et s'Ă©tait Ă©clipsĂ©e sans un bruit lorsque ceux-ci'Ă©taient terminĂ©s sans avoir le courage de donner la moindre elles avaient pour habitudes depuis leur rencontre de se voir presque toutes les semaines, elle avait quasiment coupĂ© les ponts, toujours en arborant ce visage d'affreuse fuyarde. Malheureusement ou fort heureusement, l'ensemble des PhĂ©nix avaient dĂ©cidĂ© de se rejoindre Ă  Manerium Flammae Aeternales pour fĂȘter le rĂ©veillon de NoĂ«l ensemble afin de faire plus ample connaissance suite aux derniĂšres arrivĂ©es et les nombreuses recrues qui ne connaissaient encore que peu de monde. Pour tout avouer, Claire ne connaissait plus grand monde non plus Ă  part Mione et quelques uns. Bien Ă©videmment ce soir lĂ , Zepheryn Ă©tait prĂ©sente et semblait avoir une amie prĂšs d'elle qui n'Ă©tait pas plus ĂągĂ©e, elle Ă©tait si jeune... Mia avait couru vers sa 'Babou' comme elle aimait l’appelĂ©, celle qu'elle n'avait vu depuis plus longtemps qu'habituellement ne la lĂąchant pas de la soirĂ©e. Elle lui avait simplement dit pendant la soirĂ©e qu'elles devraient parlĂ© Ă  un moment ou Ă  un venue Ă  Paris n'Ă©tait pas anodine et elle avait prĂ©fĂ©rĂ©e s'Ă©loigner des endroits qu'elles frĂ©quentaient habituellement afin de se sentir plus Ă  l'aise. Respirer un air nouveau lui semblait propice aux confidences et l'heure des explications Ă©taient venue. Avant de quitter sa maison de Loutry elle avait demandĂ© Ă  son Elfe de rejoindre Zepheryn qui devait surement se trouver que Quartier GĂ©nĂ©ral et lui demandĂ© de venir Ă  Paris prĂšs de cette magnifique Tour Eiffel. Son coeur battait un peu plus vite et un peu plus fort ; les confidences ce n'Ă©taient pas son truc mais elle savait que, parfois, le choix n'Ă©tait pas possible. Tapotant lĂ©gĂšrement sur ces genoux avec ses doigts, son impatience grandissait au fur et Ă  mesure que les secondes s'Ă©coulaient. Puis au loin, elle aperçut enfin son amie, toujours aussi belle que d'habitude. Elle Ă©tait venue, c'Ă©tait un vĂ©ritable soulagement. Maintenant, il fallait juste parler et s'expliquer. Lorsqu'elle arriva Ă  sa hauteur, Claire lui fit un peu de place l'invitant d'un geste doux Ă  s'asseoir prĂšs d'elle les bancs, elles connaissaient et ça avait toujours Ă©tĂ© une combinaison gagnante pour les deux PhĂ©nix. - Tu vas bien ? La bombe Ă©tait posĂ©e, elle savait pertinemment que le coeur du problĂšme allait trĂšs vite rentrer dans la conversation, elle s'y attendait et elle l'avait voulu. Re Petite promenade en FranceContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Packde 2 livres "Hamid et Halima" : 1- il Ă©tait un fois un homme une femme. 2- il se mariĂšrent et eurent beaucoup de SURPRISES. Dans ses livres sur le mariage, la conseillĂšre conjugale, Mme lakhdar Myriam nous rappelle : « Love is never enought », c’est-Ă -dire : « L’amour ne suffit pas ». C’est dans cet Ă©tat d’esprit que le

" A prĂ©sent nous allons courir une petite demi-heure, le temps d'arriver au stand de Robin. Gardez le silence. "Ils avaient dĂ©jĂ  perdu dix minutes avec les quelques complications, cependant Ravness ne regrettait rien. Elle avait montrĂ© Ă  quatre-vingt hommes que ne pas obĂ©ir Ă  ses ordres Ă©tait proscrit, et davantage qu'ils devaient avoir peur d'elle autant que de Kefka. Ils reprirent donc la course. La pause avait Ă©tĂ© longue pour la plupart, aussi aucun d'entre eux ne semblait dĂ©jĂ  Ă  bout de souffle. Pour sa quiĂ©tude, durant cette demi-heure, les troupes furent plus silencieuses que le vent... Sans doute devaient-ils tous ĂȘtre tourmentĂ©s par leurs ressentiments envers elle. Elle ne pouvait les en blĂąmer, au contraire. C'Ă©tait une bonne chose... et ĂȘtre l'ennemi public numĂ©ro un Ă  l'instar de Kefka ne la dĂ©rangeait pas outre mesure. Elle n'avait cure d'ĂȘtre rentrĂšrent dans le campement, mais sans s'arrĂȘter, le traversĂšrent jusqu'Ă  atteindre le stand de tir de Robin... encerclĂ© de barriĂšres en bois. La structure Ă©tait fort simple... Des cibles Ă©taient disposĂ©es l'une Ă  cĂŽtĂ© de l'autre et de plus ou moins loin les archers devaient tirer. Plus loin, il y avait aussi un parcours de tir Ă  faire en cavalier, mais ce n'Ă©tait guĂšre dans le programme d'aujourd'hui. Elle laissa les hommes s'approcher de Robin tandis qu'elle resta tout de mĂȘme fort loin, ici davantage prĂ©sente pour s'assurer qu'ils ne se prĂ©lassent pas que pour les entraĂźner. Non pour les armes Ă  distance, elle n'avait pour ainsi dire aucun talent. Ravness traĂźna donc autour du stand, rappelant Ă  l'ordre certains brigands... " Ne restez pas Ă  rien faire, vous deux ! "" C'est-Ă -dire qu'on n'a vraiment rien Ă  faire ! Y a qu'une quinzaine de cibles alors qu'on est plus de cinquante, ma Dame. "" Et bien... pourquoi ne pas vous entraĂźner sur les arbres, vous pourriez vous trouver une cible et tenter de l'att..." Impossible. Robin nous a dĂ©fendus de nous servir des arbres comme des cibles. Ca bousille trop souvent la pointe de la flĂšche, et on n'en a pas assez pour les gaspiller. "" Ah... et bien dans ce cas... "Elle s'Ă©carta un peu du duo et d'une voix plus forte s'adressa Ă  tous " Tous ceux qui attendent leur tour pour le stand de tir... trouvez-vous un adversaire. Exercices de selfdĂ©fense. "Quelques minutes plus tard, deux par deux, ils la regardĂšrent. Elle faisait face Ă  l'homme-rhinocĂ©ros qu'elle avait repĂ©rĂ© plus tĂŽt, maladroitement perchĂ© sur les faux-arbres. Certains rires fusĂšrent, sans doute dus au contraste tout Ă  fait voulu qu'ils affichaient... Une petite courte-sur-pattes face Ă  un mastodonte naturellement surarmĂ©. " Bien. Pour rappel... Les quatre ennemis les plus communs de l'armĂ©e royale sont... les hallebardiers ou tout autres manieurs d'armes d'hast, les archers, les soldats d'infanterie lĂ©gĂšre et enfin les arbalĂ©triers. Ces derniers ont quittĂ© Nothingham hier... Quand bien mĂȘme, ici on ne va voir que les combats Ă  mains nues contre l'infanterie lĂ©gĂšre et l'infanterie lourde. "Ravness se mit en garde, lĂ©gĂšrement voutĂ©e, tĂȘte un peu baissĂ©e, les deux mains devant son corps... " Commençons par le hallebardier. Comme vous le savez, ils sont quasiment tous des rhinocĂ©ros, des hippopotames ou... pires encore, des Ă©lĂ©phants. Quand vous les verrez s'approcher, vous paniquerez sĂ»rement. Si vous n'avez que vos poings, vous serez en trĂšs mauvaise posture... Ils ont une arme de moyenne Ă  longue portĂ©e, portent une armure et ils sont plus costauds que nous au combat rapprochĂ©. Son armure couvre... son thorax, son abdomen ainsi que ses hanches. Sa peau est, grĂące Ă  sa nature, plus dure que la votre. Les rhinocĂ©ros, comme dans mon exemple, ont en plus une corne qui malheureusement leur sert. "Elle murmura un mot au rhinocĂ©ros qui dĂ©gaina sa hallebarde et se mit en garde. Ils se regardĂšrent ainsi en restant immobiles. " Leurs points faibles sont... leur gorge, leur entre-jambe, leurs genoux mais surtout leur champ de vision. Si vous vous approchez suffisamment... "Ravness fit un pas en avant, agitant lĂ©gĂšrement ses bras devant elle. Le rhinocĂ©ros tenta de la repousser d'un coup de hallebarde qu'elle dĂ©via en bloquant en premier lieu la trajectoire de la hallebarde de son poignet, au niveau de la hampe. Elle se rapprocha vivement et resta immobile devant le rhinocĂ©ros, Ă  quelques centimĂštres de lui." Sa vue est truffĂ©e d'angles morts. J'exagĂšre un peu mais en somme, s'il se tient droit, menton haut, il ne voit rien de ce qui se passe sous son nez Ă  un mĂštre de lui. C'est Ă  cet instant prĂ©cis que vous devez frapper le plus fort. Dans quelques secondes, il va baisser la tĂȘte et vous combattra tĂȘte au niveau des Ă©paules, ce qui rendra toute attaque au niveau de la gorge vaine. "Son poing le plus proche du rhinocĂ©ros singea une frappe sur la gorge du rhinocĂ©ros. Elle recula ensuite Ă  distance respectable, se remettant en garde." Revenons un peu en arriĂšre... Le vĂ©ritable moment dĂ©cisif de votre combat face Ă  un lancier, un piquier ou un hallebardier sera toujours le premier coup. Avec ou sans arme, vous devez dĂ©vier ou esquiver cette premiĂšre attaque. Ce n'est pas la peine d'essayer de frapper avant lui... Alors, la hallebarde frappe d'estoc pour percer et de taille pour trancher. La difficultĂ© pour son manieur, c'est sa posture pour une attaque ou une autre. Le plus souvent, pour une attaque d'estoc optimale, votre ennemi va tenir sa hallebarde Ă©videmment Ă  deux mains... sa premiĂšre sur l’extrĂ©mitĂ© de la hampe et sa deuxiĂšme au milieu de celle-ci. Ainsi, son allonge est tout simplement dĂ©mentielle... et la puissance de l'attaque pourra vous transpercer trĂšs facilement. S'il tient sa hallebarde plus haute, donc s'il la tient en puissance plus proche de son corps, il va frapper de taille puissamment. Savoir comment il allait frapper m'a permis d'esquiver le premier coup. "Elle reproduit l'action prĂ©cĂ©dente un peu plus lentement, tout en regardant les autres brigands." Comme ils tiennent leur arme d'hast Ă  deux mains, qu'ils frappent trĂšs fort et qui plus est que l'Ă©nergie cinĂ©tique est elle-mĂȘme assez exceptionnelle, les hallebardiers souffrent d'un instant de vulnĂ©rabilitĂ© aprĂšs une attaque qui se voulait ample. Bien, sur ce, quand vous ĂȘtes proche de lui, que vous l'avez frappĂ© Ă  un endroit vulnĂ©rable, vous devez le dĂ©sarmer ou le faire basculer. LĂ  c'est toujours Ă  vous de voir... mais un hallebardier, davantage s'il est lourd, va garder une jambe en avant lors et quelques secondes aprĂšs son attaque. Sa jambe va ĂȘtre flĂ©chie... "Elle fit un signe au rhinocĂ©ros qui Ă  cĂŽtĂ© d'elle fit une attaque tranchante dans le vide et posa une jambe fort en avant, perdant quelques centimĂštres... " N'essayez pas de faire un croc-en-jambes... non Ă  ce prix-lĂ , si vous l'avez attaquĂ© en Ă©tant un peu dĂ©saxĂ© par rapport Ă  lui, un bon coup de talon dans le genoux de cette jambe en avant devrait le dĂ©sĂ©quilibrer suffisamment. "Ravness frappa le genoux flĂ©chi du rhinocĂ©ros, suffisamment violemment pour que sa jambe s'affaisse. Sa cible se rattrapa sur la pelouse d'une main, ne tenant dĂ©sormais sa hallebarde que de l'autre. Elle saisit alors la hampe de son ennemi, la fit pivoter simplement en tordant la main de son partenaire jusqu'Ă  ce qu'il lĂąche prise avant de pointer le fer sur sa gorge. Lui rendant son arme, elle l'aida Ă  se relever..." Il n'y a pas d'enchaĂźnement Ă  reproduire, tout dĂ©pendra de la situation... Mais si vous esquivez la premiĂšre attaque, si elle est assez ample, vous aurez au moins l'occasion de vous rapprocher une fois et de frapper une zone sensible. Dans la guerre, il n'y a pas de beau combat... Frappez les parties intĂźmes si elles sont proches de vos poings ou de vos pieds. Pas de frappe circulaire, de grands coups visibles, non. L'infanterie lourde vous voit Ă  peine si vous ĂȘtes juste en face d'elle. Frappez rapidement, puissamment et directement. Aussi... n'oubliez pas que vos jambes sont votre arme la plus efficace. Personnellement, quand je dois assommer quelqu'un, c'est toujours d'un coup de talon sur son visage... Visez un maximum le genou avec vos pieds, ainsi que l'entrejambes. Bien maintenant... face Ă  un adversaire plus grand et plus fort que vous et qui n'a pas d'arme. "Le rhinocĂ©ros lĂącha sa hallebarde deux mĂštres plus loin et se mit en garde, ce qu'elle fit aussi. " Dans nonante pourcents des cas, sa premiĂšre attaque sera un direct droit. Partez sur l'idĂ©e que ce sera sa plus puissante frappe, qu'il vous faut l'esquiver. Je vous donne deux moyens trĂšs simples qui marchent contre n'importe qui. PremiĂšrement, vous vous dĂ©saxez vers la gauche et vous dĂ©viez le coup adverse. "Le rhinocĂ©ros s'exĂ©cuta, Ă  vitesse et Ă  puissance rĂ©elle. Sa main gauche glissa sur le poing adverse et le maintint sur sa trajectoire tandis qu'elle plongea ses membres supĂ©rieurs vers la gauche, les jambes immobiles, proches de celles du rhinocĂ©ros. Sa main droite n'attendit pas la fin de l'esquive pour se claquer sur la machoire de l'assaillant. Elle s'arrĂȘta nette, restant fixe quelques secondes. " LĂ  vous avancez votre hanche extĂ©rieure, donc vous vous mettez de profil face Ă  lui... vous ĂȘtes plus proche de son visage. Votre poing gauche peut lui assĂ©ner un uppercut sous son propre direct droit. "Elle mima l'action au ralenti, faisant un pas gauche vers lui, glissant son bras sous le sien et frappant sa mĂąchoire une nouvelle fois, lentement cette fois... " Il va reculer. Jusque-lĂ , il n'aura pas eu mal... C'est lĂ  que vous avancez et que vous frappez Ă  la gorge. Ensuite vous le finissez comme vous pouvez. DeuxiĂšme mĂ©thode, plus simple et un peu plus libre. "Elle se rapprocha encore, descendant lĂ©gĂšrement sa garde. " Il frappe d'un direct droit... vous vous penchez en avant et tournez votre corps lĂ©gĂšrement sur le cĂŽtĂ©, rentrez la tĂȘte et le menton le plus possible, haussez votre Ă©paule gauche... et lancez tout votre poids sur son torse. C'est exactement comme un plaquage mais en moins tĂ©mĂ©raire. "Ils s'exĂ©cutĂšrent Ă  reproduire l'exercice... Le direct est dĂ©viĂ© par l'Ă©paule, touche Ă  peine son crĂąne, elle fonce tĂȘte en avant et de tout son corps atteint le plastron de l'adversaire. Elle resta renfrognĂ©e mais s'adressa Ă  tous. " LĂ , il a une armure... donc mon poids ne l'a pas atteint, nĂ©anmoins, il est tout de mĂȘme dĂ©sĂ©quilibrĂ© et surtout sur le recul. Comme je suis fort voĂ»tĂ©e, je peux trĂšs facilement le rouer de coups au niveau du ventre, mais Ă  nouveau c'est inutile vu son armure... ou par contre frapper son entre-jambes plusieurs fois aussi bien avec poings que genoux, et il ne s'en relĂšvera pas. Je ne” vais pas rester comme ça trĂšs longtemps car il peut facilement me saisir, notamment par les cheveux ou la nuque. "Elle se redressa finalement et se tourna vers les brigands... " EntraĂźnez-vous sur les deux derniers exercices... Quand vous en aurez assez fait, faĂźtes de la lutte entre vous. La prochaine fois que nous viendrons, il faudra que nous voyions beaucoup plus en dĂ©tail les clĂ©s de bras. Vous verrez que l'infanterie lĂ©gĂšre tentera d'utiliser discrĂštement une dague cachĂ©e contre vous. Pour cela, ils sont peut-ĂȘtre les pires ennemis que vous puissiez affronter. "La jeune femme les laissa essayer les diffĂ©rentes techniques qu'elle-mĂȘme avait apprises de... Ă  vrai dire elle n'en Ă©tait pas sĂ»re. Son instructeur lui avait bien sĂ»r appris la lutte et le selfdĂ©fense mais ces techniques en particulier... C'Ă©tait peut-ĂȘtre en voyant d'autres personnes les pratiquer, s'imagina-t-elle. " Dame Ravness ! ", cria la voix claire et chaleureuse de Robin. Elle lui adressa un simple regard interrogateur qu'il interprĂ©ta bien malgrĂ© la distance. " Venez essayer l'arc ! ", ajouta-t-il... Cela ne l'arrangeait pas. Ayant Ă©tĂ© dure avec l'homme-tortue parce qu'il ne voulait pas monter sur un arbre, elle ne pouvait se permettre de rĂ©chigner Ă  faire certains exercices par caprice. Aussi avança-t-elle, obligĂ©e, vers le prince des voleurs qui lui tendit un arc." Je pense que je prĂ©fĂ©rerais encore une arbalĂšte. "" Parfait ! Tenez ! Vous savez encocher un carreau ? "Elle acquiesça simplement. Pour devenir garde, elle avait du apprendre le maniement de la plupart des armes courantes dans la CitĂ© des rĂȘves. L'arbalĂšte et l'arc en faisaient partie Ă  la diffĂ©rence que sa prĂ©cision Ă©tait... tout Ă  fait embarassante. De nombreux hivers Ă©taient passĂ©s depuis mais elle ne pouvait se prĂ©tendre meilleure qu'en raison de l'expĂ©rience de la guerre. " Je ne sais pas si dans votre monde, l'on considĂšre diffĂ©remment les arbalĂ©triers des archers mais ici, ils estiment que c'est le jour et la nuit ! "" Ah oui ? "Elle mit la crosse Ă  son Ă©paule et visa, respirant calmement..." Oh vous savez... les chevaliers trouvent cette arme mĂ©prisable car utilisable par le premier venu. Enfin c'Ă©tait comme ça il y a encore quelques annĂ©es. "" L'arc est Ă  ce point complexe ? "" Pour tout vous dire, j'ai toujours Ă©tĂ© douĂ© Ă  l'arc donc je l'ignore. "" J'imagine. "Elle appuya sur la gachette au bout de quelques secondes. Le carreau se planta dans l'herbe, non loin d'une des cibles. " Oh rassurez-vous, ils rĂ©ussissent rarement la premiĂšre. "" Je... fais surtout ça pour la forme. RĂ©ussir ou rater ne change rien au fait que je ne me battrai pas avec cette arme. "Robin s'appuya sur son arc et soupira, tout en regardant la pose de la jeune femme. " Dommage, ce serait une arme parfaite pour vous. Elle est puissante, prĂ©cise et ne peut tirer qu'une fois... enfin vous me comprenez. Cela changerait Ă  peine votre style de combat. "" J'en ai une, pour tout vous dire. Je l'ai trouvĂ©e lors de la crĂ©mation... "" Oh. "Elle tira une nouvelle fois... et manqua sa cible, la flĂšche s'abattant au pied du mannequin." C'est dĂ©jĂ  mieux. "" Vous n'ĂȘtes pas censĂ© donner des conseils ? ", dit Ravness avec un lĂ©ger sourire et sous le ton de la plaisanterie." Oh si ! Pratiquez plus cette noble discipline ! "Elle encocha un carreau Ă  son arbalĂšte avec un petit sourire aux lĂšvres, sans regarder Robin, tous les deux occupĂ©s Ă  regarder les flĂšches et les cibles." Vous pourriez ĂȘtre bonne tireuse. "Elle appuya sur la dĂ©tente lorsqu'il finit sa phrase. Cette fois, la flĂšche se planta dans la cible... en un point fort Ă©loignĂ© du centre, mais il y avait un net progrĂšs. Sans attendre elle rendit l'arbalĂšte Ă  Robin." Merci. "Ravness retourna auprĂšs de ses hommes, attendant la fin de l'exercice de Robin pour tout le monde. Sa prĂ©sence ne suffisait pas Ă  les rendre compĂ©tents, mais Ă  dĂ©faut de parfois faire preuve de vivacitĂ©, ils se fatiguaient au moins autant qu'elle l'espĂ©rait. C'Ă©tait l'avantage de la lutte... ils s'Ă©puisaient Ă  faire tomber leur adversaire mais n'Ă©taient jamais blessĂ©s. AprĂšs une petite heure, elle les arrĂȘta et les invita Ă  se relever. Sans dire quelle Ă©tait leur nouvelle direction, Ravness partit en courant, suivie trĂšs vite par les dizaines de brigands dĂ©jĂ  fort fatiguĂ©s. Il devait leur rester deux bonnes heures, estima-t-elle... aussi les consacreraient-ils au profit de l'entrainement le plus primordial, tout en profitant d'un autre stand Ă  proximitĂ©. A une quinzaine de minutes de lĂ  en pas de course se trouvait le stand de Will l'Ecarlate qui Ă©tait indubitablement le meilleur Ă©pĂ©iste de la bande de Robin. Elle l'avait vue Ă  l'oeuvre lors d'un vulgaire entrainement et ne pouvait prĂ©tendre arriver Ă  sa cheville. A le voir manier l'Ă©pĂ©e, elle aurait pu jurer qu'il avait appris Ă  en connaĂźtre le moindre dĂ©tail avant mĂȘme de savoir marcher. Cela semblait pour lui... si naturel. Il Ă©tait aussi connu pour ĂȘtre un redoutable lanceur de couteaux. Le temps passa assez vite. Le soleil Ă  prĂ©sent haut dans le ciel rĂ©chauffait l'atmosphĂšre et le temps passĂ© rendait la perspective de la suite moins lourde pour les brigands. Ils se turent, ce qu'elle apprĂ©cia, durant le trajet. Elle devina que c'Ă©tait davantage du Ă  la fatigue qu'Ă  leur simple obĂ©issance, mais peu lui importait. Quand ils arrivĂšrent au stand de Will, ils se mirent silencieusement en place. Certains rejoignirent des stands de lancer oĂč Ă©taient disposĂ©s quelques rĂąteliers d'armes de petite facture, disposant de lances, de couteaux, de pierres et de fronde. Les autres, en attendant que des places se libĂšrent, se disposĂšrent une nouvelle fois deux par deux. Will, quant Ă  lui, resta quelques temps auprĂšs du stand avec les quelques volontaires. " On va commencer par un exercice individuel. Regardez tous vers le nord et laissez un espace suffisamment grand entre chacun de vous. "Ils se placĂšrent convenablement, bien qu'elle dut recadrer certains d'entre eux, avant de se dresser devant eux, dans une pose affirmĂ©e, les deux bras dans le dos, la tĂȘte haute, droite, mais marchant lentement devant leurs yeux. " DĂ©gainez ! "Ils s'exĂ©cutĂšrent, prĂ©parĂ©s Ă  l'ordre... aussi bien les archers que les frondeur que les piquiers et le reste. " Garde Ă  vous ! "Ce fut plus chaotique. Certains pointĂšrent leur arme vers le nord, d'autres semblaient prĂȘts Ă  attaquer. Bon Ă  vrai dire, elle pouvait le comprendre. Pour la plupart, ils n'Ă©taient que paysans ou brigands... le respect hiĂ©rarchique et la parade ne signifiaient rien Ă  leurs yeux. " D'accord... en garde ! "Cette fois-ci, ils se mirent d'accord. Tous furent sous la dĂ©fensive, dans une position plus ou moins rĂ©ussie. Elle entra dans les rangs et corrigea quelques dĂ©fauts dans la garde de certains des brigands. Les archers, pour la plupart, bandaient dĂ©jĂ  la corde de leur arc et pointaient la pointe de leur flĂšche vers l'avant..." Quel est le principe de la garde, soldats ? "Elle ne pouvait s'empĂȘcher d'espĂ©rer entendre une seule et mĂȘme rĂ©ponse, prononcĂ©e Ă  voix forte par des dizaines d'hommes, dans une harmonie puissante... au lieu de ça, elle eut peu de rĂ©ponses tout Ă  fait dĂ©sordonnĂ©es, de telle sorte qu'aucune ne fut comprĂ©hensible. Pour finir elle dĂ©cela dans le brouhaha ces quelques mots " Se prĂ©parer Ă  l'attaque, oui c'est vrai... mais encore et surtout Ă  la dĂ©fense. C'est, comme vous le savez, votre position par dĂ©faut. L'idĂ©e est simple, vous ĂȘtes en cela prĂȘt Ă  agir. Les archers, arbalĂ©triers et unitĂ©s Ă  distance peuvent-ils se mettre en garde ? "" Non, Dame Ravness. En principe, c'est l'affaire de l'infanterie lĂ©gĂšre ou lourde, non celle de l'infanterie Ă  distance.",dit un rhinocĂ©ros, ancien garde de la couronne." Cela paraĂźt logique. L'archer peut difficilement ĂȘtre prĂȘt Ă  parer, Ă  esquiver et Ă  frapper au mĂȘme moment. NĂ©anmoins les unitĂ©s Ă  distance doivent ĂȘtre prĂȘtes, au mĂȘme titre que les autres. Donc... dĂ©gainer son arme, c'est bien... encocher une flĂšche, c'est conseillĂ©. De la mĂȘme façon, Robin vous conseillerait sĂ»rement de bander... lĂ©gĂšrement votre arc. Regardez, si vous lĂąchiez prise, vous pourriez toucher un compagnon. "Elle baissa l'arc d'un archer vers le sol et attendit qu'il dĂ©bande son arme. " Et vous devez rester mobiles, ou en tout cas prĂȘts Ă  bouger. Quand vous ĂȘtes en position de tir, vos pieds sont dans l'axe de votre flĂšche, vos jambes sont droites et votre corps est trop raide. DĂ©tendez tout... gardez votre arc bandĂ©, oui, mais pas trop... et la flĂšche en direction du sol. Et surtout, soyez prĂȘts Ă  courir. Le principe d'une garde, pour quelque combattant que ce soit, c'est qu'elle doit ĂȘtre relativement confortable. Or, bander la corde de son arc trop fort ou mĂȘme... "Elle se dĂ©plaça vers un lancier et baissa son bras..." Hisser votre lance ou votre hallebarde au-dessus de votre tĂȘte vous fatiguera trĂšs vite. Gardez vos armes prĂȘts du corps, fermez bien votre garde. Donc si vous tenez votre seule arme d'une main, gardez votre autre bras prĂšs du corps, ne soyez pas bras ballant. "Ravness ajusta quelques autres positions avant de se diriger devant le groupe et de regarder l'ensemble." En position d'attaque ! "Chacun fut cette fois correctement parĂ© Ă  l'attaque directe. " Rengainez. "Elle rentra une nouvelle fois dans les rangs mais cette fois-ci se positionna comme l'un d'entre eux... et cria " Chargez ! "Elle courut avec eux vers le nord, oĂč Ă  une trentaine de mĂštres Ă©taient disposĂ©s quelques ennemis en paille. Jetant de temps en temps un regard derriĂšre son Ă©paule, elle inspecta les troupes. Les archers Ă©taient bien positionnĂ©s, gardaient l'oeil alerte... ceux qui Ă©taient en position de se dĂ©fendre durant la charge se protĂ©geaient correctement. Elle vit devant de nombreux hommes quitter les rangs pour courir beaucoup plus vite, ainsi que d'autres se dĂ©tachant des flancs pour nĂ©gocier la trajectoire autrement. Ils dĂ©gainĂšrent leurs armes Ă  des moments diffĂ©rents, alors qu'ils Ă©taient assez proches de leur cible. D'un cri, elle les arrĂȘta finalement et les invita Ă  retourner Ă  leur position initiale, tandis qu'elle commença Ă  commenter la charge." Votre course est bonne, vos gestes sont corrects. NĂ©anmoins vous avez dĂ©gainĂ© vos armes trop tard, de maniĂšre Ă  les avoir en main Ă  l'instant de l'attaque. En thĂ©orie c'est bien, mais dans les faits, c'est risquĂ©. Les imprĂ©vus, une simple maladresse, peuvent faire Ă©chouer votre tentative. En somme, c'est trop juste. Essayez d'avoir vos armes en main environ cinq secondes avant l'impact. De plus... il est impĂ©ratif que vous restiez dans le groupe. Ne vous dĂ©tachez pas du reste de la charge. Que l'armĂ©e ne forme pas un rectangle parfaitement rĂ©gulier lors de la course, on s'en moque... mais vous ne pouvez pas ĂȘtre seul en dehors de la charge. Donc... n'allez ni trop lentement ni trop vite. Être prudent affaiblira le groupe, ĂȘtre agressif vous exterminera. "Elle s'immobilisa quelques secondes, jetant un regard derriĂšre son Ă©paule pour observer les quelques cibles de paille. Les rebelles auraient jusqu'Ă  la fin la position d'attaquant. L'armĂ©e du rĂ©gent serait sur la dĂ©fensive, sur ses murailles... Aussi l'attaque devait ĂȘtre parfaite. " Vous pourriez crier... Cela peut vous paraĂźtre bĂȘte mais... lors d'une charge sur des ennemis immobiles, un cri de rage commun a un effet tout Ă  fait dĂ©mesurĂ©. Je vais vous dire... Une personne qui vous hurle dessus, vos sens l'interprĂštent dĂ©jĂ  comme une agression. Alors une foule entiĂšre ? Vous briserez les dĂ©fenses avec la seule force de votre voix. Qui plus est, cela exhortera vos compagnons. Bien, Ă  prĂ©sent, formez des groupes de trois et rĂ©partissez-vous dans la plaine. "Ravness ne s'occupa guĂšre de la tournante du stand de Will, passa outre les quelques passages de soldats, et organisa son exercice, attendant pour cela que les groupes se forment. " DĂ©gainez vos armes. Comme je vous le disais ce matin, individuellement, vous ĂȘtes corrects. Face Ă  des ennemis qui rĂ©ussiraient Ă  s'accorder quelques minutes, vous auriez par contre beaucoup de mal. L'exercice est simple mais extrĂȘmement dangereux. Chacun Ă  votre tour, vous allez affronter vos deux partenaires en mĂȘme temps au corps Ă  corps. Les unitĂ©s Ă  distance utiliseront leur Ă©pĂ©e courte ou autre arme Ă  leur disposition. Les rĂšgles sont faciles Votre but est de blesser, lĂ©gĂšrement ou non, vos deux adversaires qui tenteront eux aussi de vous atteindre. Si vous les blessez tous les deux avant d'ĂȘtre touchĂ©, vous aurez rĂ©ussi la leçon et pourrez vous consacrer Ă  l'instruction de Will... Dans le cas contraire, les rĂŽles seront inversĂ©s et le seront encore jusqu'Ă  ce que vous ayez blessĂ© vos deux adversaires. "" ... C'est extrĂȘmement barbare, vous ĂȘtes sĂ»re ? "" Certaine. "" C'est une mauvaise idĂ©e, Dame Ravness ! Certains pourraient ĂȘtre griĂšvement blessĂ©s ! "" C'est en effet le risque de la guerre. "" Mais vous allez rĂ©ussir Ă  nous faire tuer ! "" Croyez-en mon expĂ©rience... Aucun entrainement ne vous prĂ©parera mieux Ă  la guerre que celui qui vous donnera le plus Ăąpre avant-gout de la terreur qui vous attend. Il ne s'agit pas que de la peur de l'ennemi ou d'ĂȘtre blessĂ©... Quand vous y serez, si vous n'avez pas dĂ©jĂ  vĂ©cu ça, vous comprendrez ce que veut dire le dĂ©sespoir. Voir un ami, un frĂšre ou un compagnon d'arme mourir sans avoir pu combattre, aprĂšs tant d'entrainement et de sacrifices... Ne pas pouvoir s'arrĂȘter sur sa dĂ©pouille, l'aider Ă  partir sereinement, prier pour son repos... La peur de voir un alliĂ© mourir, c'est cela qui commandera votre tĂȘte lors de la bataille. "" Est-ce une raison pour prendre autant de risques ? Ne pouvez-vous pas compter sur nous pour assumer nos peurs lorsque l'heure viendra ? "" Cet exercice vous inculquera trois leçons. PremiĂšrement, vous apprendrez Ă  vous battre sur deux fronts, Ă  ne jamais ouvrir votre garde et cela mĂȘme si vous ĂȘtes certain de tuer votre premier adversaire. Vous ne devez pas combattre pour tuer mais pour votre objectif. Se sacrifier pour occire un homme qui ne porterait pas du maquillage et un costume de clown, cela ne vaut pas le coup. DeuxiĂšmement, vous combattrez de grĂ© ou de force la peur la plus lĂ©gitime de mourir, et cela en vous battant. En Ă©tant ainsi sous pression, si vous parvenez Ă  agir en faisant fi de vos peurs, vous serez plus Ă  mĂȘme de supporter l'effroi d'un danger plus tard. Finalement, en devant combattre et blesser vos alliĂ©s, j'espĂšre bien vous habituer Ă  rĂ©sister Ă  l'envie d'abandonner en voyant vos alliĂ©s meurtris ou tombĂ©s. J'en ai assez dit. Combattez, Ă  prĂ©sent. "Les plus vifs comprirent aussitĂŽt. Si vraiment ils souhaitaient Ă©pargner Ă  leurs compagnons des blessures trop graves, ils devaient tenter de rĂ©ussir l'Ă©preuve le plus vite possible, avant d'ĂȘtre eux-mĂȘme touchĂ©s. Elle avait emportĂ© assez de bandages pour momifier le bataillon entier, ce qui comblerait quelques temps au moins la prĂ©sence d'un vrai mĂ©decin. Evidemment, elle connaissait les risques, oui. De tout coeur, Ravness espĂ©rait qu'aucun ne perdrait un bras ou pire... et pour cela, du mieux qu'elle le put, sans jamais dĂ©tourner son attention, elle regarda les nombreux combats devant elle. Il y avait plus de vingt-cinq groupes Ă  surveiller, soit beaucoup trop pour qu'elle puisse efficacement empĂȘcher toute blessure grave, cela malgrĂ© sa force psychique. En premier lieu, elle jeta un oeil sur les quelques gros gabarits de la rĂ©bellion... Les ours, les rhinocĂ©ros, les hippopotames Ă©taient disposĂ©s Ă  frapper plus forts que d'autres. Elle devait les surveiller, sans quoi involontairement ils pourraient trancher en deux un autre brigand. AprĂšs cela, une attention toute particuliĂšre devait ĂȘtre portĂ©e sur les plus vaillants soldats. Ceux-lĂ , elle ne pouvait les distinguer qu'Ă  force d'observation... Dans les trois premiĂšres minutes, quatre brigands rĂ©ussirent Ă  blesser leurs deux assaillants, et cela avec brio. Elle invita les vainqueurs Ă  rester auprĂšs d'elle et de soigner les autres rescapĂ©s Ă  venir. Pour ceux qui avaient Ă©tĂ© blessĂ©s en deux contre un, la rĂšgle Ă©tait simple puisqu'ils n'avaient qu'Ă  se trouver, parmi les "vaincus", assez de compagnons pour reformer un groupe de trois et recommencer l'exercice jusqu'Ă  la victoire de l'un d'entre eux, et ainsi de suite. Un groupe se distingua, dans cette foule de batailles, puisqu'il comportait un homme-chat Ă©quipĂ© d'une hache et d'une Ă©pĂ©e, un homme-hĂ©risson portant une simple Ă©pĂ©e courte et finalement une femme-poule tenant dans ses mains un gourdin qui sembla bien lourd pour ses deux ailes... Chacun paraissait plus dĂ©cidĂ© que l'autre, rendant le spectacle plus qu'intĂ©ressant. Qui plus est, aucun n'avait vĂ©ritablement une technique Ă©crasant celle des autres. Quelques secondes, elle regarda la poule se dĂ©mener face aux deux hommes, assĂ©nant Ă  l'air quelques coups de gourdin tĂ©mĂ©raires, repoussant quelques secondes ses assaillants... Mais rapidement, elle fut blessĂ©e au bras d'un coup d'estoc du fĂ©lin... Ce n'Ă©tait qu'une blessure superficielle, autre combat la prĂ©occupa davantage. Un ours... enfin, il devait s'agir d'un grizzli car il lui sembla plus gigantesque et terrifiant que tous les hommes-courses qu'elle avait croisĂ©s Ă  Sherwood jusque-lĂ ... maniant avec talent un flĂ©au d'armes Ă  deux mains; Il ne dominait pas vraiment ses deux adversaires quand c'Ă©tait Ă  son tour de combattre en un contre deux, face Ă  d'une part un berger allemand armĂ© d'une pique, et de l'autre un homme-lapin de moins d'un mĂštre tenant deux dagues. NĂ©anmoins, elle n'osait pas imaginer les effets d'une attaque rĂ©ussie de la part d'une telle arme contondante. Il n'y avait pas de demi-mesure pour cela... soit l'attaque Ă©choue lamentablement, soit elle commet des dĂ©gĂąts lĂ©taux. L'homme-lapin n'avait aucun mal Ă  dominer ses adversaires, Ă©tant aussi agile que rapide, et difficile Ă  toucher qui plus est. L'homme-chien n'avait pas trop de mal Ă  lui assĂ©ner quelques violents coups de hampe ou de pieds pour le blesser le plus prudemment possible... nĂ©anmoins elle put deviner qu'avec un peu de chance, il sortirait vainqueur du un contre deux, Ă  force d'esquive et d'attaques. Mais ce fut finalement au grizzli d'affronter les deux hybrides. Le lapin crachait rĂ©guliĂšrement du sang, donc il n'Ă©tait que peu blessĂ©, mais le chien avait reçu quelques coupures au niveau des jambes... Ce fut ce dernier qui engagea le combat, tentant bien entendu d'atteindre le grizzli tant qu'il Ă©tait encore loin de sa portĂ©e, de sa longue pique et d'un coup d'estoc. Ce dernier esquiva correctement, se rua sur ses deux ennemis et fit voler son flĂ©au autour de lui, trop maladroitement toutefois... ses deux adversaires esquivĂšrent mais furent sans doute trop impressionnĂ©s et n'osĂšrent pas attaquer aussitĂŽt. Une nouvelle fois l'ursidĂ© tenta une attaque, mais l'Ă©choua, le flĂ©au s'abattant dans l'herbe et retournant celle-ci par la simple force du choc. Le berger allemand frappa une nouvelle fois d'estoc, et eut toutes chances de rĂ©ussir, sans compter les Ă©tonnants rĂ©flexes du grizzli. Ce dernier attrapa la hampe de l'arme d'hast d'une main... La suite fut trop rapide pour le piquier. Il tira violemment sur la hampe, força le brigand Ă  se rapprocher et lui assĂ©na un violent crochet Ă  la mĂąchoire, l’assommant aussitĂŽt. Il se retourna alors vers le lapin. Ce dernier aurait eu, selon l'humble estimation de la garde, toutes ses chances face Ă  son adversaire. HĂ©las, l'homme-ours Ă©tait... plus grand, plus armĂ© et bien sĂ»r fichtrement plus terrifiant, venant Ă  l'instant de mettre KO un bon combattant d'un seul coup de poing. Le lapin bougea, Ă  la suite, beaucoup moins bien. Il parvint Ă  esquiver la premiĂšre et la deuxiĂšme attaque mais n'osa jamais attaquer. Lors de la troisiĂšme frappe du flĂ©au, il parĂ»t Ă©vident pour Ravness qu'il ne pourrait esquiver. Vivement, elle pointa l'arme en mouvement d'une main, se concentrant aussi prestement qu'elle le put. La masse au bout de la chaĂźne d'acier s'immobilisa juste avant d'atteindre sa cible... " D'accord, Gautier, vous avez rĂ©ussi l'exercice. Venez par ici. "Plus tard, elle put empĂȘcher quelques blessures consĂ©quentes mais bien entendu, moult plaies superficielles Ă©chappĂšrent, en toute logique, Ă  son regard. Ce soir, ils reviendraient pour la plupart au camp plus escarpĂ©s que jamais. Elle ne comptait pas leur infliger une nouvelle fois cet exercice dorĂ©navant... La leçon Ă©tait assez percutante pour ne pas ĂȘtre rĂ©pĂ©tĂ©e plus tard. Ravness voyait cet affrontement comme le plus intimidant des rites d'initiation... Il y eut quelques blessĂ©s plus graves, ce dont elle ne se fĂ©licita pas, malgrĂ© son air neutre qui laissa penser qu'elle n'en avait cure. Elle ne put qu'ordonner les premiers soins et l'Ă©vacuation des quelques cas. Elle jeta un oeil sur le combat entre le hĂ©risson, la poule et le chat, mais avec un timing un tout petit peu dĂ©saccordĂ©, puisque l'affrontement venait de se finir. Le hĂ©risson venait de remporter le combat, avec un tel Ă©tonnement que ce fut sĂ»rement un coup du hasard. A croire qu'il avait trĂ©buchĂ© et Ă©gratinĂ© ses adversaire de ses poils piquants. Bien entendu, la jeune femme arrĂȘta l'exercice au bout d'un certain temps, alors qu'il restait aisĂ©ment une quarantaine de brigands dans l'affrontement. D'une, parce que le temps manquait, et enfin car ces quelques dizaines de participants Ă©taient trop blessĂ©s pour continuer sĂ©rieusement. Qui plus est, son but Ă©tait accompli. Ils auraient Ă  prĂ©sent moins peur... et ils la dĂ©testeraient Ă  tout jamais, sans avoir soignĂ© les quelques blessures, ils repartirent au pas de course vers le campement. Elle ralentit toutefois son rythme, pour ne pas pousser Ă  bout les quelques brigands... ce qui clĂŽtura l'entrainement de son n'eurent pas le temps de souffler. Une foule se dessinait dĂ©jĂ  aux alentours de la tente du shĂ©rif. Lorsqu'elle vit cela, la premiĂšre chose qu'elle fit fut de ravaler sa salive et de soupirer avant de s'avancer vers le centre de l'attention. MalgrĂ© tout, elle ressentait un stress qu'elle ne pouvait ni expliquer, ni ignorer. Elle rejoignit la foule... quelques hommes la laissĂšrent passer devant eux, pour qu'elle puisse voir l'exĂ©cution, en raison de sa petite taille. Elle ne s'aventura guĂšre plus loin, lorsqu'elle eut une certaine vue. Ils durent attendre quelques minutes avant que le shĂ©rif ne sorte de sa tente, un air dur au visage. Il se tut, tout d'abord, jusqu'Ă  ce que du bruit se fasse entendre plus loin. Quatre brigands encerclaient le lĂ©vrier. Toute la journĂ©e, elle avait pensĂ© Ă  ce moment. Et dans les nombreux scĂ©narios qu'elle s'Ă©tait imaginĂ©s, son prisonnier Ă©tait maĂźtre de ses Ă©motions, avançait d'un air arrogant et la regardait avec des yeux inquisiteurs. Or, il paraissait ici absolument paniquĂ©. Il regardait ses geĂŽliers avec la terreur d'un gibier encerclĂ© par des chasseurs. Il tenta de fuir, Ă  plusieurs reprises, et ils durent s'y mettre Ă  plusieurs pour le final, il n'Ă©tait qu'un homme comme les autres. Pourquoi s'Ă©tait-elle imaginĂ©e qu'il agirait tel un sociopathe, comme on les dĂ©crit dans les vieilles histoires qui font peur, oĂč leur seule raison est de sourire Ă  la mort et de ne jamais partir sans avoir soufflĂ© son haleine glacĂ© sur les tĂ©moins ? Il agissait tel un condamnĂ© Ă  mort, avec plus de regrets dans les yeux qu'elle n'en eut jamais vu. Le lĂ©vrier restait un homme mauvais, elle le savait et le voyait. Combien d'insultes dĂ©versa-t-il sur les gardes, sur les brigands qui regardaient son supplice ? Quelle mĂ©chancetĂ© Ă©pargna-t-il Ă  la quĂȘte de libertĂ© de cette compagnie ? MalgrĂ© tout, elle dĂ©tourna les regards de cet homme. Elle ne regrettait pas, non... Simplement, Ravness ressentait une pitiĂ© pour lui, une empathie telle qu'elle se crut capable d'annuler l'exĂ©cution d'un simple pourtant elle le dĂ©testait. A vrai dire, elle ne comprenait pas. OĂč Ă©tait sa pitiĂ© lorsqu'elle tua les gitans sous les ordres de Frollo, jadis ? Qu'en Ă©tait-il de sa compassion lorsqu'elle prĂ©fĂ©ra la survie d'une communautĂ© Ă  celle de quelques enfants ? Sa vie avait Ă©tĂ© vouĂ©e Ă  obĂ©ir aux ordres. De nombreuses fois elle avait tuĂ© des personnes qui ne le mĂ©ritaient peut-ĂȘtre pas, car on le lui avait ordonnĂ©. Qu'est-ce qui avait changĂ© ? " SlĂ©vin, dit le LĂ©vrier, shĂ©rif de Nothingham, est coupable de trahison envers notre seul et lĂ©gitime Roi Richard, d'outrages envers le peuple de Sherwood et complicitĂ© de meurtre. ", dit l'ex-shĂ©rif d'une voix sonore et sĂ©vĂšre. Ravness releva son regard vers lui et fronça les sourcils, se forçant Ă  chasser toutes ses pensĂ©es de sa tĂȘte... Elle devait ĂȘtre l'acier... Froide et impĂ©nĂ©trable. " En raison des pouvoirs qui m'ont Ă©tĂ© confĂ©rĂ©s par les brigands et les rebelles, soutenu par le conseil de guerre, je condamne le LĂ©vrier Ă  mort par dĂ©capitation. "Et elle comprit. C'Ă©tait elle qui avait exigĂ© son exĂ©cution. Ils avaient Ă©tĂ© plusieurs Ă  soutenir sa proposition, mais elle fut l'initiatrice de ce projet. De sang froid, elle avait jugĂ© de la nĂ©cessitĂ© qu'un tel ĂȘtre soit supprimĂ©... Contre ces dizaines de fois oĂč elle avait du tuĂ© pour garantir la paix, selon les ordres de ses supĂ©rieurs... une seule dĂ©cision remettait toutes les choses en perspective. " SlĂ©vin, le FrĂšre Tuck va t'entendre, confesser tes crimes et te prĂ©parer Ă  mourir. "Un respect sinistre et religieux suivit cet instant. Les brigands assistĂšrent dans un silence austĂšre aux moments que le lĂ©vrier partagea avec le FrĂšre Tuck. Ravness, quant Ă  elle, se jura de ne pas commettre le pĂ©chĂ© de juger la dĂ©votion ou le manque de dĂ©votion du condamnĂ© Ă  mort, et d'offrir Ă  l'homme la dignitĂ© dans la mort que tout homme mĂ©ritait. Une vingtaine de minutes passa ainsi. Le LĂ©vrier se releva finalement. Elle ne crut pas qu'il Ă©tait dĂ©cidĂ© Ă  mourir, simplement qu'il s'Ă©tait fait une raison. " SlĂ©vin, as-tu une derniĂšre volontĂ© ? "En premier lieu, il implora d'une voix faible la pitiĂ© de l'ours, ce que ce dernier refusa froidement en rĂ©itĂ©rant simplement la question. L'homme-chien baissa alors la tĂȘte quelques secondes, semblant marmonner quelques paroles nĂ©buleuses et..." Je veux que l'envoyĂ©e de la lumiĂšre s'en occupe. "Elle se mordit la lĂšvre infĂ©rieure et dĂ©tourna le regard quelques secondes, soudainement angoissĂ©e. " De ton exĂ©cution ? "" Ouais, c'est ça. "Ravness sentit quelques regards posĂ©s sur elle, qui ne la dĂ©rangĂšrent pas tant que la peur qu'Ă  travers la foule, le lĂ©vrier la distingue. " Vous n'ĂȘtes pas obligĂ©e d'y aller, ma Dame. "Elle tourna son visage vers l'origine de la voix. C'Ă©tait Petit Jean qui la regardait avec un sourire sincĂšre et cette façon de parler et de se comporter comme si la situation n'existait pas, comme s'il n'y avait que lui et son interlocutrice, dans ce monde... Avec une telle aisance. Rien ne semblait le gĂȘner." Si. "Bien sĂ»r... elle devait le faire. Par simple pitiĂ©, elle devait devant Dieu accomplir la sentence qu'elle avait induite. La jeune femme n'aurait pas du douter... Si elle avait vraiment Ă©tĂ© pieuse, elle aurait acceptĂ© ses bons sentiments et accordĂ© au LĂ©vier une mort en paix. Elle devait ĂȘtre l'acier... froide et elle s'avança. La foule se fendit en deux devant elle, la laissant passer et la dĂ©voilant au lĂ©vrier qui la regarda de maniĂšre familiĂšre comme si les derniĂšres minutes eurent suffi Ă  les rapprocher. Ravness s'arrĂȘta alors Ă  quelques mĂštres de lui et d'un visage sĂ©vĂšre, se prĂ©senta. " Tu vas le faire ? "Elle ne dit rien et ne changea rien dans l'expression de son visage. " J'Ă©tais sincĂšre, sur tout ce que j'ai dit. Je t'ai...Il s'interrompit, sans doute en voyant la jeune femme discrĂštement serrer les poings. Mais celle-ci regretta aussitĂŽt et baissa lĂ©gĂšrement le menton et les yeux sur les habits nobles mais salis du condamnĂ©. " Je t'aime vraiment. "Son regard se plongea sur le cĂŽtĂ©, posant son dĂ©volu par hasard sur la souche d'un arbre dont elle devinait l'utilitĂ© future." Moi pas. ", dit-elle sans cruautĂ©. " Je sais. "Un silence se fit, oppressant. Le shĂ©rif avait assez de respect pour elle pour ne pas l'interrompre. Car si elle en avait eu assez, elle l'aurait fait savoir. " Tu vas mourir comme ton compagnon... pour l'honneur, pour Alpha ou pour le rĂ©gent ? "" Non. "Il s'approcha de la souche et se mit Ă  genoux avant de ployer devant la foule, posant sa joue sur le bois... Un homme tendit une longue hache Ă  Ravness qu'elle saisit sans un regard." Je vais mourir pour toi. "Elle acquiesça, bien qu'il ne pĂ»t le voir. " Et moi pour Dieu. Vois donc ta mort comme un sacrifice en son nom. "Il sourit... ce rictus mauvais qu'elle l'avait vu porter en quelques occasions. Mais pourtant et cette fois, il ne dit rien, sinon " C'est quoi ton nom, au fait ? "Elle s'avança jusqu'Ă  lui, saisissant la hache de ses deux mains et inspirant une bouffĂ©e d'air." Dame Ravness. "D'un coup sec, elle abattit sa hache sur la nuque du lĂ©vrier, dĂ©tachant sa tĂȘte de sa fine gorge...

Lassociation Liens organise une confĂ©rence sur le thĂšme du couple . titre : “Ils se mariĂšrent et eurent beaucoup de surprises” ConfĂ©renciĂšre: Myriam LAKHDAR (conseillĂšre conjugale

ILS SE MARIÈRENT ET EURENT BEAUCOUP D’ENFANTS DE ET AVEC YVAN ATTAL avec Charlotte Gainsbourg, Alain Chabat, Alain Cohen, Emmanuelle Seigner .Sans risques et sans surprises, un film qui ne ressemble peut-ĂȘtre pas Ă  ce qu’Yvan Attal voulait en faire. C’est l’histoire d’un type, Vincent Yvan Attal, qui a un boulot, un appart, une voiture, des parents Claude Berri et Anouk AimĂ©e et des amis qui l’aiment Alain Chabat et Alain Cohen, qui jouait l’enfant dans Le Vieil Homme et l’Enfant de Claude Berri, une Ă©pouse charmante, patiente et comprĂ©hensive quand il veut aller jouer aux cartes avec ses poteaux Charlotte Gainsbourg, un fils sympathique qui va se coucher gentiment quand on le lui dit. Tout va bien, sauf qu’il y a les tentations ­ les autres femmes. Comment s’en sortir ?Le problĂšme principal de Ils se mariĂšrent
, c’est qu’Yvan Attal, Ă  l’image de son film et de son hĂ©ros, veut Ă  la fois rĂ©aliser un film de Cassavetes et un film de Sautet, tout en jouant sur l’image glamour du couple d’acteurs qu’il forme dans la vie avec Charlotte Gainsbourg et Ă  l’écran depuis son premier film, Ma femme est une actrice, tout en donnant Ă  l’ensemble un cĂŽtĂ© comĂ©die bien française du type Un Ă©lĂ©phant ça trompe Ă©normĂ©ment et Nous irons tous au paradis d’Yves Robert. Cela fait beaucoup, et l’absence de choix radical donne un rĂ©sultat bien connu en informatique un conflit d’ seul exemple faire du Cassavetes s’avĂšre impossible, parce que pour cela il ne faut pas ĂȘtre gentil, se cacher derriĂšre son image. Cassavetes ne se souciait pas de son image d’acteur hollywoodien, ou du moins faisait tout pour la casser dans ses films. Attal, lui, entretient la sienne le beauf sympathique mais veule Oui, je suis un lĂąche, je ne mĂ©rite pas ma femme, je suis un salaud, mais je ne suis qu’un homme aprĂšs tout, etc. » et celle de Charlotte Gainsbourg globalement une sainte super sympa et drĂŽle. C’est pour le moins un peu tĂŽt pour se replier sur soi-mĂȘme ainsi, non ? Car ici, tout est lisse et gentil on picole, mais gentiment ; on se prend une maĂźtresse, mais surtout il faut qu’elle soit jolie et normale » c’est-Ă -dire, selon le clichĂ©, victime consentante. Pas le moindre risque qu’il se passe quelque chose d’inattendu ou de tendancieux, qui sorte des voies balisĂ©es de l’adultĂšre bourgeois propre sur lui. MĂȘme chez Yves Robert, c’était beaucoup plus Ăąpre, gonflĂ©, dĂ©rangeant et le travail d’Yvan Attal aboutit Ă  un film sur pellicule glacĂ©e, trĂšs lisse, sans aucune aspĂ©ritĂ©, qui ne ressemble sans doute pas Ă  ce qu’Attal aurait souhaitĂ©. Ce que nous voyons, c’est une sĂ©rie de clips pour Radiohead, Eels
 ou mĂȘme de publicitĂ©s voir le spot Ă©tonnant pour le Virgin Megastore avec Johnny Depp en idole des femmes sur une hĂ©tĂ©robeaufitude peu ragoĂ»tante. Quant aux femmes, on apprend in extremis qu’elles peuvent avoir des fantasmes bien sĂ»r gentils. Ouf !Jean-Baptiste Morain Critiques
AprĂšsdeux comĂ©dies qui ont bien marchĂ© (Ma femme est une actrice et Ils se mariĂšrent et eurent beaucoup d’enfants), le rĂ©alisateur et acteur Yvan Attal n’a pas hĂ©sitĂ© Ă  se mettre en
Que sont devenues les princesses Disney de notre enfance aprĂšs leur happy ending? Surprise, la vraie vie n’a rien d’un conte de fĂ©es mais elle peut parfois ĂȘtre drĂŽle grĂące au talent de certains, comme ce jeune homme surnommĂ© Paint. Dans cette vidĂ©o, il chante les tristes destins d’Ariel, victime de la marĂ©e noire, Jasmine, privĂ©e de son Prince Ali que les Etats-Unis prennent pour un taliban, Belle, accusĂ©e de zoophilie et bientĂŽt sur le bĂ»cher, et Pocahontas, qui a attrapĂ© une MST et veut buter les Anglais, les Français et les Espagnols. Bienvenue dans la rĂ©alitĂ©, les enfants. . Cedevait ĂȘtre le sixiĂšme face-Ă -face Ă  l’écran de Charlotte Gainsbourg et Yvan Attal, huit ans aprĂšs « Ils se mariĂšrent et eurent beaucoup d’enfants ». Passer au contenu Et ils se mariĂšrent et eurent beaucoup de truffes au chocolat bio AprĂšs avoir passĂ© un formidable week-end auprĂšs de M&A, avec le comitĂ© des experts gouteurs, je peux enfin vous rĂ©vĂ©ler la fin de l’histoire des truffes produites pour l’occasion, puisque la surprise a eu lieu 🙂 ! La sĂ©lection du comitĂ© spĂ©cial de goĂ»teurs parisiens Ă©tait donc Truffe chocolat noir toute simple, revenons aux fondamentaux Truffe framboise et son enrobage sucre rose, aux couleurs du mariage Truffe fruit de la passion la fameuse J’aime pas mais c’est bon ! » Truffe pralinĂ© sĂ©same ma prĂ©fĂ©rĂ©e La phase de rĂ©alisation pouvait alors commencer 
 Il a fallu choisir le lieu de fabrication pour Ă©pargner aux truffes fragiles un trop long voyage sous le soleil, l’idĂ©al Ă©tait de trouver un lieu de production proche du lieu du mariage, dotĂ© d’une cave bien saine, Ă  tempĂ©rature constante pour conserver les truffes quelques jours, sans oublier l’essentiel mon Oompa Loompa prĂ©fĂ©rĂ©e sur place ! Check ! Ensuite, s’approvisionner en bons produits 3 kg de chocolat ; presque 1kg de pralinĂ©, de beurre, de purĂ©e de framboises ; de la purĂ©e de fruits de la passion, du sĂ©same, du beurre de cacao 
 Des sucres colorĂ©s pour faire des enrobages originaux 
 La qualitĂ© des matiĂšres premiĂšres Ă©tant primordiale pour faire de bons bonbons, j’ai choisi du chocolat de chez Valrhona et du beurre d’EchirĂ©. J’ai trouvĂ© les purĂ©es de fruits et les sucres colorĂ©s sur Internet chez et Et il a fallu aussi prĂ©parer les boĂźtes ! Mon amie Marmotte pour mettre le chocolat dans le papier d’alu les boĂźtes a trouvĂ© un gabarit sur Internet, et nous avions dĂ©cidĂ© de les dĂ©couper nous-mĂȘmes. Pas facile de trouver un beau papier suffisamment Ă©pais pour faire des boĂźtes Ă  truffes respectant les couleurs du mariage gris et rose ! C’est finalement Ă  la boutique l’Eclat de Verre Ă  Paris, rue VercingĂ©torix que nous avons trouvĂ© notre bonheur un trĂšs beau papier gris satinĂ© qui brille Ă  la lumiĂšre, accompagnĂ© d’un plus fin, rose Bubblegum », pour prĂ©parer des Ă©tiquettes Ă  mettre au fond de la boĂźte et faire les dĂ©corations finales. Je ne vous raconte pas en dĂ©tails la partie fastidieuse du dĂ©coupage 
 Nous en avons conclu que la prochaine fois on les achĂšterait toutes faites ! Je pense que le rapport qualitĂ© – prix – temps passĂ© aurait Ă©tĂ© meilleur. Enfin, ça a bien occupĂ© mes soirĂ©es dans mon studio d’étudiante ainsi que celles de mon amie Marmotte et mon amie GoĂ»teuse critique. Au final, nous avons passĂ© 2 jours avec mon Oompa Loompa prĂ©fĂ©rĂ©e pour prĂ©parer l’ensemble des truffes au chocolat bio, puis 1 journĂ©e avec mon amie Marmotte et Oompa Loompa pour les mettre en boĂźte sans compter le temps de dĂ©coupage. 130 boĂźtes de truffes ont Ă©tĂ© distribuĂ©es aux invitĂ©s de M&A ! Il semblerait qu’ils aient apprĂ©ciĂ© 🙂 Partagez sur les rĂ©seaux sociaux Articles similaires Ce site utilise Akismet pour rĂ©duire les indĂ©sirables. En savoir plus sur comment les donnĂ©es de vos commentaires sont utilisĂ©es. Titre Page load link Ilsse mariĂšrent et eurent beaucoup d'enfants. Oui, mais aprĂšs ? 364 divorces sont prononcĂ©s chaque jour en France. Pourquoi ? IdĂ©alise-t-on trop l'amour et donc le mariage au point que fatalement lorsque la rĂ©alitĂ© Pourquoi les mariages ne durent-ils pas ? Ils se mariĂšrent et eurent beaucoup d'enfants. Oui, mais aprĂšs ? 364 divorces sont
Pack de 2 livres "Hamid et Halima" 1- il Ă©tait un fois un homme une femme2- il se mariĂšrent et eurent beaucoup de SURPRISES Dans ses livres sur le mariage, la conseillĂšre conjugale, Mme lakhdar Myriam nous rappelle Love is never enought », c’est-Ă -dire L’amour ne suffit pas ». C’est dans cet Ă©tat d’esprit que le musulman devra s’efforcer d’envisager sa future relation pour ne pas surestimer les vertus du bonheur conjugal. En effet, les tribunaux voient leurs salles peuplĂ©es de personnes qui s’aiment mais qui veulent divorcer, n’ayant pas su vivre et apprĂ©cier leur union Ă  sa juste valeur. Le mariage devant Dieu et pour Dieu, est une construction qui se fait Ă  deux, et pour deux. Il faut pour cela, que les deux aimants, qui se sont attirĂ©s, acceptent de revenir sur certaine de leurs certitudes. InformĂ©s sur les diffĂ©rences qui existent entre les hommes et les femmes, humbles et pourvus d’une intelligence conjugale avisĂ©e, ils pourront ainsi traverser ensemble et sans encombre les quatre Ă©tapes difficiles de la vie de couple, que sont Le dĂ©sir de fusion nous, on La diffĂ©renciation je + je La confrontation l’autre, moi et la relation qu’il y a entre nous
 Le couple face au monde extĂ©rieur famille, communautĂ©, sociĂ©tĂ© civile

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 C’est pour les grands », s’était exclamĂ©e une petite fille quand mĂȘme bien informĂ©e. C’était lors d’une rencontre avec Philippe Dorin, auteur de Ils se mariĂšrent et eurent beaucoup », et Adeline DĂ©tĂ©e qui a mis en scĂšne ce texte pour la Compagnie du RĂ©fectoire. Le spectacle sera donnĂ© le 30 avril au Galet, aprĂšs avoir fait ses premiers pas dans plusieurs communes. La premiĂšre aurait dĂ» avoir lieu Ă  CanĂ©jan en novembre, oĂč la compagnie bordelaise avait Ă©tĂ© en rĂ©sidence. Pour cause d’attentats, la reprĂ©sentation avait Ă©tĂ© repoussĂ©e au 15 mars, devant un public Pessac, Adeline DĂ©tĂ©e et Philippe Dorin ont Ă©tĂ© au cƓur du dispositif Souffleurs de mots, consacrĂ© chaque Ă  annĂ©e Ă  un auteur et un metteur en scĂšne, ou le reprĂ©sentant d’une troupe de théùtre. Ils ont ainsi rencontrĂ© les Ă©lĂšves de huit classes sept d’écoles primaires pessacaises et une du collĂšge de l’Alouette, avant une rencontre tout public Ă  la mĂ©diathĂšque Jacques-Ellul en texte Ă  la scĂšne, la surpriseCe public reviendra voir le spectacle dont ils ont lu le texte Ils sont curieux de savoir ce que ça va donner, comment il va prendre vie sur scĂšne avec les comĂ©diens », se rĂ©jouit Philippe Dorin qui connaĂźt la musique Je travaille avec une metteure en scĂšne, Sylviane Fortuny. Nous dirigeons la compagnie Pour ainsi dire rĂ©gion parisienne. »L’auteur souligne que cela a changĂ© sa façon d’écrire. Cela ne l’empĂȘche pas de continuer Ă  offrir » des piĂšces Ă  d’autres, avec confiance Je n’ai jamais Ă©tĂ© déçu. J’aime travailler sur commande. Ensuite, je me dĂ©tache du texte et la plupart du temps, je choisis de ne pas aller voir le spectacle. » C’est une autre affaire quand il cosigne avec Sylviane Fortuny, mĂȘme si chacun garde son rĂŽle J’aime ĂȘtre surpris. »Pour Adeline DĂ©tĂ©e, c’est le baptĂȘme du feu Ma premiĂšre mise en scĂšne ! Jusque-lĂ , j’étais comĂ©dienne, sous la direction de Patrick Ellouz. BasĂ©e Ă  Bordeaux, la Compagnie du RĂ©fectoire fait un passionnant travail de crĂ©ation dans le domaine du théùtre jeunesse contemporain Chaque spectacle repose sur une commande Ă  un auteur. »Ainsi, ce n’est pas la premiĂšre fois que les routes de Philippe Dorin et d’Adeline DĂ©tĂ©e se croisent Dans le cadre de notre projet Si j’étais grand, oĂč l’on propose Ă  des auteurs d’écrire des textes courts destinĂ©s Ă  ĂȘtre jouĂ©s par des enfants et des adolescents, Philippe a dĂ©jĂ  collaborĂ© avec nous. »Marivaudage en musiqueLes brefs dialogues qui composent Deux citrons » ont Ă©tĂ© publiĂ©s dans Si j’étais grand 2 », aux Éditions théùtrales. Ils donnent une idĂ©e de l’écriture singuliĂšre de Philippe Dorin qu’Adeline DĂ©trĂ©e a bien su mettre en valeur dans Ils se mariĂšrent et eurent beaucoup’’», note Sophie Casteignau, directrice du Centre Simone-Signoret de CanĂ©jan. La tĂąche n’était pas facile, car l’Ɠuvre avait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© mis en scĂšne par Sylviane Fortuny. Adeline DĂ©tĂ©e a concentrĂ© la distribution sur quatre jeunes comĂ©diens dont trois de l’école de théùtre du TNBA. Une musique originale de Marc Closier rythme les scĂšnes, comme si l’on surprenait des conversations entre deux danses d’un bal. La piĂšce brode sur du marivaudage pour enfants Ă  la maniĂšre d’un Jeu de l’amour et du hasard » rĂ©actualisĂ©, que les enfants peuvent trĂšs bien entendre. Unouvrage tonique et rĂ©confortant, qui apprend Ă  "former une vie de couple harmonieuse". Voici lĂ  la possibilitĂ© de concrĂ©tiser le rĂȘve de beaucoup. This is a cookie agreement request — you can customize it or disable in the backoffice: Modules / Module manager / Les informaticiens vous le diront, le systĂšme binaire, comme le couple, a beau ne comporter que deux Ă©lĂ©ments, il permet toutes les combinaisons possibles et inimaginables. Les informaticiens vous le diront, le systĂšme binaire, comme le couple, a beau ne comporter que deux Ă©lĂ©ments, il permet toutes les combinaisons possibles et inimaginables. Vincent et Gabrielle Charlotte Gainsbourg -Yvan Attal s'aiment, ont un enfant, un bel appartement, et entretiennent leur libido en inventant sans cesse de nouveaux jeux amoureux. Et pourtant Vincent a une maĂźtresse Angie David et Gabrielle fantasme sur de beaux inconnus ici, Johnny Depp en guest-star charismatique. Leurs meilleurs amis ne filent pas un meilleur cocon affectif. L'un Alain Chabat entretient une relation plutĂŽt orageuse avec son Ă©pouse Emmanuelle Seigner, l'autre Alain Cohen, un cĂ©libataire Ă  harem, se sent aussi seul sur son Ăźle de la tentation qu'un Robinson... AprĂšs Ma femme est une actrice», Yvan Attal nous revient avec un petit coup de vieux et de blues. Une fois de plus, il bĂątit une fiction drĂŽlissime Ă  partir de ses propres interrogations. En ce sens, sa dĂ©marche, toutes proportions gardĂ©es, est la mĂȘme que celle d'un Woody Allen. Mais c'est davantage au Cœur des hommes», qui lui-mĂȘme rappelait Un Ă©lĂ©phant, ça trompe Ă©normĂ©ment», que nous renvoie ce film choral trĂšs branchĂ© sur l'air du temps. ScĂ©nariste, Attal perd de son originalitĂ© et s'embourgeoise gentiment, mais gagne en universalitĂ©. RĂ©alisateur, il filme Charlotte Gainsbourg avec la dĂ©licatesse d'un homme amoureux. Alain Chabat et Alain Cohen, qui fut le petit garçon du Vieil homme et l'enfant » de Claude Berri, le producteur du film, incarnent avec bonheur des mecs nature faute d'ĂȘtre matures. Mais les vraies bonnes surprises viennent d'Emmanuelle Seigner, surprenante dans le registre mĂ©gĂšre, et d'Angie David, une rĂ©vĂ©lation au charme ravageur. Ils se mariĂšrent et eurent beaucoup d'enfants » sera votre dernier coup de soleil avant de piquer une tĂȘte dans la rentrĂ©e. Contenus sponsorisĂ©s PersonnalitĂ©s Sur le mĂȘme sujet yDbL.
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