TECHNIQUE LOW TECH RENCONTRE HIGH TECH Gratia Hydro est spĂ©cialisĂ©e dans les roues Ă aubes qui par une boite dâengrenage sont accouplĂ©es Ă une gĂ©nĂ©ratrice. LâĂ©lectricitĂ© gĂ©nĂ©rĂ©e est tout simplement livrĂ©e au rĂ©seau public. Chaque roue Ă aubes que Gratia Hydro construit est du travail sur mesure. Lâhistoire et la situation actuelle du cours dâeau dĂ©terminent quel systĂšme sera utilisĂ©. Lorsquâil est question dâune chute jusquâĂ trois mĂštres et un dĂ©bit de 500 litres par seconde ou plus, une roue dâalimentation par le milieu ou par-dessous sera utilisĂ©e. Lorsquâil y a une chute jusquâa trois mĂštres et un dĂ©bit jusquâĂ 1 m3 par seconde, il sera optĂ© pour une roue alimentĂ©e par le haut. Dans chaque situation nous installons une boite dâengrenage industrielle pour augmenter la vitesse de rotation de la roue jusquâĂ une vitesse convenable pour la gĂ©nĂ©ratrice. La boite dâengrenage industrielle est silencieuse, efficace et fiable. Gratia Hydro utilise diffĂ©rents types de gĂ©nĂ©ratrices ; aimant permanent, synchrone et asynchrone. Chaque solution connaĂźt ses propres avantages et inconvĂ©nients. Les experts de Gratia Hydro donnent des conseils appropriĂ©s pour chaque situation. La combinaison roue Ă aubes - boite dâengrenage - gĂ©nĂ©ratrice forme le coeur de lâinstallation. Pour un fonctionnement de façon optimale il faut que les Ă©cluses, les grilles, la commande et le raccordement au rĂ©seau ENEDIS soient en ordre. Gratia Hydro sâoccupe de la conception et garde la rĂ©gie en main tout le long du projet de façon adĂ©quate pour garantir une qualitĂ© optimale.
CaractĂ©ristiquestechniques de la turbine hydraulique : Puissance nominale : 1500 Watts. Voltage : 220 Volts - 50 Ă 60 Hz. Dimension de l'embase : 400 x 400 mm. Ă de l'ouverture sous turbine : 320 mm. Hauteur : 470 mm. LongueurComment mettre Ă profit le dĂ©bit dâune riviĂšre, tout en respectant lâenvironnement ? En Bretagne, dans lâouest de la France, un homme a dĂ©cidĂ© de transformer un vieux moulin Ă eau â inutilisĂ© depuis 14 ans â afin quâil produise de lâĂ©lectricitĂ©. Lâobjectif alimenter une vingtaine de logements. Le Moulin Neuf, situĂ© le long de la riviĂšre du Locâh, Ă Pluneret, a commencĂ© Ă ĂȘtre utilisĂ© au XVIIIe siĂšcle, pour moudre le grain et fabriquer de la farine. Ă lâĂ©poque, il fonctionnait avec une roue. AprĂšs avoir Ă©tĂ© dĂ©truit par un incendie en 1896, il a Ă©tĂ© remplacĂ© par un nouveau moulin, activĂ© cette fois par une turbine. Il a Ă©tĂ© utilisĂ© durant un siĂšcle environ, avant dâĂȘtre laissĂ© Ă lâabandon. Le site du Moulin Neuf, il y a plus d'unsiĂšcle."On pourra utiliser lâeau de la riviĂšre pour produire de lâĂ©lectricitĂ© six Ă huit mois par an"Il y a quatre ans, lorsque Joseph Montel, 55 ans, rachĂšte le site, le moulin nâest plus utilisĂ© depuis 14 ans et sa turbine est cassĂ©e. Il dĂ©cide alors de reprendre les choses en main. On parle beaucoup des problĂšmes de pollution actuellement, mais il existe des solutions ! Ici, par exemple, le Locâh a un dĂ©bit assez important, qu'on peut utiliser pour produire de lâ j'ai rachetĂ© le site, le moulin ne fonctionnait plus mais les infrastructures Ă©taient globalement en bon Ă©tat. Il fallait juste faire quelques travaux. Mais on vient Ă peine de les achever, car les procĂ©dures ont Ă©tĂ© trĂšs longues...Tout dâabord, jâai dĂ» faire appel Ă un cabinet spĂ©cialisĂ© qui a rĂ©alisĂ© une Ă©tude sur la faisabilitĂ© du projet. Ăa a coĂ»tĂ© 10 000 jâai dĂ» rĂ©aliser une mise aux normes environnementales du site, qui a coĂ»tĂ© 84 000 euros. Heureusement, elle a Ă©tĂ© subventionnĂ©e Ă 80 % par une agence de lâeau et le conseil gĂ©nĂ©ral. J'ai surtout dĂ» amĂ©nager le ruisseau qui est parallĂšle au cours dâeau principal. Il sâagit de la passe Ă poissons câest lĂ quâils passent toute lâannĂ©e dans un sens ou dans lâautre. On a Ă©largi ce ruisseau, oĂč on a aussi installĂ© des colonnes elles permettent de ralentir le dĂ©bit du cours dâeau, pour aider les poissons Ă le remonter. La passe Ă poissons, un aspect crucial de la mise aux normes environnementale. De gros travaux ont Ă©galement Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s dans la chambre Ă eau, oĂč se trouvait lâancienne turbine. Comme elle Ă©tait cassĂ©e, on a dĂ» lâenlever. Ă la place, on a installĂ© deux turbines, fabriquĂ©es par une entreprise bretonne. En tout, on a dĂ©pensĂ© 70 000 euros pour les acheter et rĂ©aliser ces travaux. Les deux turbines installĂ©es dans la chambre Ă il y a trois mois, on a reçu le devis dâERDF [ĂlectricitĂ© RĂ©seau Distribution France] concernant le raccordement du moulin au rĂ©seau Ă©lectrique. Il va nous coĂ»ter 2050 euros et doit ĂȘtre rĂ©alisĂ© cette semaine. Puis, le moulin commencera enfin Ă fonctionner."Une vingtaine de logements alimentĂ©s en Ă©lectricitĂ© toute l'annĂ©e"On pourra utiliser lâeau de la riviĂšre pour produire de lâĂ©lectricitĂ© six Ă huit mois par an, câest-Ă -dire uniquement lorsque le niveau de lâeau sera assez Ă©levĂ©. Dans la chambre Ă eau, chaque turbine peut absorber 700 litres par seconde, ce qui permet de produire 18 kilowatts/heure par turbine. Ăa devrait permettre dâalimenter en Ă©lectricitĂ© une vingtaine de logements toute lâannĂ©e. Lorsque l'eau de la riviĂšre passe au-dessus du niveau zĂ©ro du dĂ©versoir, comme Ă gauche dans la vidĂ©o, il est possible de produire de l'Ă©lectricitĂ©."Le coĂ»t du projet devrait ĂȘtre amorti en cinq environ"LâĂ©lectricitĂ© produite sera revendue Ă EDF [ĂlectricitĂ© de France, le premier fournisseur d'Ă©lectricitĂ© de lâHexagone, NDLR], au prix de 12 Ă 13 centimes le kilowatt-heure, qui la redistribuera ensuite aux foyers des alentours. Le coĂ»t total du projet devrait donc ĂȘtre amorti en cinq environ. Ensuite, ça me fera un complĂ©ment de dâici, il y a dâautres moulins, mais aucun nâest utilisĂ©. En mĂȘme temps, c'est vraiment compliquĂ© de trouver des conseils et de lâaide pour ce genre de projet, et les procĂ©dures sont extrĂȘmement longues. Câest beaucoup plus simple quand on veut se lancer dans le photovoltaĂŻque par exemple, sans compter que la vente dâĂ©lectricitĂ© issue de lâĂ©nergie solaire rapporte davantage. Lorsque le dĂ©bit de l'eau devient trop important, l'eau passe Ă travers des vannes de dĂ©charge. Les particuliers produisant de l'Ă©lectricitĂ© pour leur propre consommation ne sont pas tenus de la revendre. En revanche, s'ils produisent davantage d'Ă©lectricitĂ© qu'ils n'en consomment, ils sont obligĂ©s de la revendre Ă un fournisseur d'Ă©lectricitĂ© EDF, EnercoopâŠ. Ils ne peuvent en aucun cas raccorder directement leurs installations Ă des maisons par France 24, EDF indique avoir l'obligation d'acheter l'Ă©lectricitĂ© de ces producteurs, au prix fixĂ© par la Commission de rĂ©gulation de l'Ă©nergie, une autoritĂ© administrative indĂ©pendante. EDF la revend ensuite au prix du marchĂ©. Le prix de revente Ă©tant infĂ©rieur au prix d'achat, c'est l'Ătat qui compense financiĂšrement cette diffĂ©rence Ă travers la contribution au service public de l'Ă©lectricitĂ©. Bien qu'aucun inventaire prĂ©cis n'ait Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©, la FĂ©dĂ©ration des moulins de France estime qu'il existe plusieurs dizaines de milliers de moulins dans le pays. "Si tous ces moulins Ă©taient utilisĂ©s pour produire de l'Ă©nergie hydroĂ©lectrique, ils produiraient autant qu'une centrale nuclĂ©aire", assure son secrĂ©taire Christian Peron. LeMusĂ©e nĂ©erlandais de lâeau utilise lâhydroĂ©lectricitĂ© pour produire de lâĂ©lectricitĂ© avec une vieille roue Ă eau et charge des vĂ©los Ă©lectriques. Micro HydroĂ©lectricitĂ© . NL EN FR. CONTACT QUI SOMMES NOUS WEBSHOP INSPIRATION PROJETS CARACTĂRISTIQUES SERVICES. retour. MUSĂE DE LâEAU NĂERLANDAIS Le MusĂ©e nĂ©erlandais est situĂ© dans le Barrage hydroĂ©lectrique de Saint Pierre Cognet. ©EDF-Lionel AstrucLâhydroĂ©lectricitĂ© ou Ă©nergie hydroĂ©lectrique exploite lâĂ©nergie potentielle des flux dâeau fleuves, riviĂšres, chutes dâeau, courants marins, etc.. LâĂ©nergie cinĂ©tique du courant dâeau est transformĂ©e en Ă©nergie mĂ©canique par une turbine, puis en Ă©nergie Ă©lectrique par un constitue la premiĂšre source renouvelable et la troisiĂšme source - toutes filiĂšres confondues - de production Ă©lectrique au monde 15,8% en 20181 derriĂšre le charbon 38% et le gaz 23,2%. En France mĂ©tropolitaine, la production hydroĂ©lectrique a atteint 60 TWh en 2019, soit 11,2% de la production nationale dâĂ©lectricitĂ© cette centrale hydroĂ©lectrique se compose dâune retenue dâeau prise au fil de lâeau » ou barrage ainsi que dâune installation de centrales gravitairesLes centrales gravitaires mettent Ă profit lâĂ©coulement de lâeau et un dĂ©nivelĂ©. Elles peuvent ĂȘtre classĂ©es en fonction du dĂ©bit turbinĂ© et de leur hauteur de chute. Il existe trois types de centrales gravitaires ici Ă©numĂ©rĂ©es par ordre dâimportance dans le mix hydrauliqueles centrales au fil de lâeau utilisent le dĂ©bit dâun fleuve et fournissent une Ă©nergie de base produite au fil de lâeau » et injectĂ©e immĂ©diatement sur le rĂ©seau. Elles nĂ©cessitent des amĂ©nagements simples et beaucoup moins coĂ»teux que les centrales de plus forte puissance petits ouvrages de dĂ©rivation, petits barrages servant Ă dĂ©river le dĂ©bit disponible de la riviĂšre vers la centrale, Ă©ventuellement un petit rĂ©servoir lorsque le dĂ©bit de la riviĂšre est trop faible constante de vidage2 infĂ©rieure Ă 2 heures. Elles sont gĂ©nĂ©ralement constituĂ©es dâune prise dâeau, dâun tunnel ou dâun canal, puis dâune conduite forcĂ©e et dâune usine hydroĂ©lectrique situĂ©e sur la rive de la riviĂšre. La faible perte de charge3 dans le tunnel ou le canal permet Ă lâeau de prendre de la hauteur par rapport Ă la riviĂšre et donc dâacquĂ©rir de lâĂ©nergie potentielle ;les centrales dâĂ©clusĂ©e dans les grands fleuves Ă relativement forte pente comme le Rhin ou le RhĂŽne, des barrages sur le fleuve ou sur un canal parallĂšle au fleuve provoquent des suites de chutes dâeau dĂ©camĂ©triques qui ne perturbent pas la vallĂ©e dans son ensemble grĂące Ă des digues parallĂšles au fleuve. Les usines hydroĂ©lectriques placĂ©es aux pieds des barrages turbinent lâeau du fleuve. Une gestion fine de lâeau stockĂ©e entre deux barrages permet de fournir de lâĂ©nergie de pointe en plus de lâĂ©nergie de base ;les centrales-lacs ou centrales de hautes chutes sont Ă©galement associĂ©es Ă une retenue dâeau créée par un barrage. Leur rĂ©servoir important constante de vidage de plus de 200 heures permet un stockage saisonnier de lâeau et une modulation de la production dâĂ©lectricitĂ© les centrales de lac sont appelĂ©es durant les heures de plus forte consommation et permettent de rĂ©pondre aux pics. Elles sont nombreuses en France. Lâusine peut ĂȘtre placĂ©e au pied du barrage ou bien plus bas. Dans ce cas, lâeau est transfĂ©rĂ©e par des tunnels en charge du lac jusquâĂ lâentrĂ©e de la de fonctionnement dâune centrale gravitaire ©Connaissance des ĂnergiesLes stations de transfert dâĂ©nergie par pompage STEPLes stations de transfert dâĂ©nergie par pompage ou STEP possĂšdent deux bassins, un bassin supĂ©rieur par exemple, un lac dâaltitude et un bassin infĂ©rieur par exemple une retenue artificielle entre lesquels est placĂ© un dispositif rĂ©versible pouvant aussi bien fonctionner comme pompe ou turbine pour la partie hydraulique et comme moteur ou alternateur pour la partie Ă©lectrique. Lâeau du bassin supĂ©rieur est turbinĂ©e en pĂ©riode de forte demande pour produire de lâĂ©lectricitĂ©. Puis, cette eau est pompĂ©e depuis le bassin infĂ©rieur vers le bassin supĂ©rieur dans les pĂ©riodes oĂč lâĂ©nergie est bon marchĂ©, et ainsi de suite. Les STEP ne sont pas considĂ©rĂ©es comme productrices dâĂ©nergie de source renouvelable puisquâelles consomment de lâĂ©lectricitĂ© pour remonter lâeau turbinĂ©e. Ce sont des installations de stockage dâĂ©nergie. Elles interviennent frĂ©quemment pour des interventions de courte durĂ©e Ă la demande du rĂ©seau et en dernier recours aprĂšs les autres centrales hydrauliques pour les interventions plus longues, notamment en raison du coĂ»t de lâeau Ă remonter. Le rendement entre lâĂ©nergie produite et lâĂ©nergie consommĂ©e est de lâordre de 70% Ă 80%. LâopĂ©ration se rĂ©vĂšle rentable lorsque la diffĂ©rence de prix de l'Ă©lectricitĂ© entre les pĂ©riodes creuses achet dâĂ©lectricitĂ© Ă bas prix et les pĂ©riodes de pointe vente dâĂ©lectricitĂ© Ă prix Ă©levĂ© est importante. La STEP de la vallĂ©e de l'Eau d'Olle se sert, par exemple, du lac du barrage du Verney comme retenue aval et du lac du barrage de Grand'Maison comme retenue de fonctionnement dâune station de transfert dâĂ©nergie par pompage ©Connaissance des ĂnergiesLes centrales utilisant lâĂ©nergie de la mer marĂ©motrices, hydroliennes, houlomotrices sont dĂ©crites dans une fiche spĂ©cifique Ă©nergies marines ».Fonctionnement techniqueLes centrales hydrauliques sont constituĂ©es de 2 principales unitĂ©s une retenue ou une prise dâeau dans le cas des centrales au fil de lâeau qui permet de crĂ©er une chute dâeau, avec gĂ©nĂ©ralement un rĂ©servoir de stockage afin que la centrale continue de fonctionner, mĂȘme en pĂ©riode de basses eaux. Un canal de dĂ©rivation creusĂ© peut permettre de dĂ©river latĂ©ralement l'excĂ©dent d'eau arrivant vers un Ă©tang de barrage. Un Ă©vacuateur de crues permet de faire passer les crues de la riviĂšre sans danger pour les ouvrages ;la centrale, appelĂ©e aussi usine, qui permet dâutiliser la chute dâeau afin dâactionner les turbines puis dâentraĂźner un barragesles plus frĂ©quents, de loin, sont les barrages en remblai de terre ou dâenrochements obtenus en carriĂšre par abattage Ă lâexplosif. LâĂ©tanchĂ©itĂ© est centrale en argile ou en bĂ©ton bitumineux ou sur la surface amont en bĂ©ton de ciment ou en bĂ©ton bitumineux. Ce type de barrage sâadapte Ă des gĂ©ologies trĂšs variĂ©es ;les barrages poids construits dâabord en maçonnerie, puis en bĂ©ton puis plus rĂ©cemment en bĂ©ton compactĂ© au rouleau BCR qui permet dâimportantes Ă©conomies de temps et dâargent. Le rocher de fondation doit ĂȘtre de bonne qualitĂ© ;les barrages voutes en bĂ©ton adaptĂ©s aux vallĂ©es relativement Ă©troites et dont les rives sont constituĂ©es de rocher de bonne qualitĂ©. La subtilitĂ© de leurs formes permet de diminuer la quantitĂ© de bĂ©ton et de rĂ©aliser des barrages Ă©conomiques ;les barrages Ă voutes multiples et Ă contreforts ne sont plus construits. Les barrages poids en BCR les turbinesLes centrales sont Ă©quipĂ©es de turbines qui transforment lâĂ©nergie du flux dâeau en une rotation mĂ©canique de façon Ă actionner des type de turbine utilisĂ© dĂ©pend de la hauteur de la chute dâeau pour les trĂšs faibles hauteurs de chute 1 Ă 30 mĂštres, des turbines Ă bulbe peuvent ĂȘtre utilisĂ©es ;pour les faibles chutes 5 Ă 50 mĂštres et les dĂ©bits importants, la turbine Kaplan est privilĂ©giĂ©e ses pales sont orientables ce qui permet dâajuster la puissance de la turbine Ă la hauteur de chute en conservant un bon rendement ;la turbine Francis est utilisĂ©e pour les moyennes chutes 40 Ă 600 mĂštres et moyen dĂ©bit. Lâeau entre par la pĂ©riphĂ©rie des pales et est Ă©vacuĂ©e en leur centre ;la turbine Pelton est adaptĂ©e aux hautes chutes 200 Ă 1 800 mĂštres et faible dĂ©bit. Elle reçoit lâeau sous trĂšs haute pression par lâintermĂ©diaire dâun injecteur impact dynamique de lâeau sur lâauget.Pour les petites centrales hydroĂ©lectriques, des turbines Ă prix bas et dont le rendement est moins bon et de concepts simples facilitent lâinstallation de petites par rapport Ă l'Ă©nergieRentabilitĂ© et prĂ©visibilitĂ© de la productionLa construction de barrages est caractĂ©risĂ©e par des investissements dâautant plus Ă©levĂ©s que la hauteur de chute est importante et que la vallĂ©e est large. Ces dĂ©penses d'investissements diffĂšrent fortement selon les caractĂ©ristiques de l'amĂ©nagement et les dĂ©penses annexes liĂ©es aux contraintes sociales et environnementales, en particulier le coĂ»t des terrains expropriĂ©s. Les avantages Ă©conomiques liĂ©s Ă la capacitĂ© de modulation de la production dâĂ©lectricitĂ© permettent de rentabiliser ces investissements car la ressource hydraulique est gratuite et les frais dâentretien sont hydraulique permet de rĂ©pondre aux besoins dâajustement de la production Ă©lectrique, notamment en stockant de lâeau dans de grands rĂ©servoirs au moyen de barrages ou de digues. Les fluctuations annuelles de la production hydraulique sont cependant importantes. Elles sont essentiellement liĂ©es aux prĂ©cipitations. La production peut croĂźtre de 15% les annĂ©es oĂč la ressource hydraulique est forte et diminuer de 30% les annĂ©es de grande social et environnementalIl est parfois reprochĂ© Ă l'Ă©nergie hydraulique dâengendrer des dĂ©placements de population, les riviĂšres et les fleuves Ă©tant des lieux privilĂ©giĂ©s pour installer des habitations. Par exemple, le barrage des Trois Gorges en Chine a entraĂźnĂ© le dĂ©placement de prĂšs de deux millions de personnes. En raison dâune rĂ©gulation modifiĂ©e de lâeau, les Ă©cosystĂšmes en amont et en aval des barrages peuvent ĂȘtre perturbĂ©s notamment la migration des espĂšces aquatiques bien que des dispositifs comme les passes Ă poissons soient de mesure et chiffres clĂ©sMesure de la puissance hydroĂ©lectriqueLa puissance dâune centrale hydraulique peut se calculer par la formule suivante9P = P puissance exprimĂ©e en W ;Q dĂ©bit moyen mesurĂ© en mĂštres cube par seconde ;Ï masse volumique de l'eau, soit 1 000 kg/m3 ;H hauteur de chute en mĂštres ;g constante de gravitĂ©, soit prĂšs de 9,8 m/s2 ;r rendement de la centrale compris entre 0,6 et 0,9Chiffres clĂ©sDans le monde l'hydroĂ©lectricitĂ© a comptĂ© pour prĂšs de 15,8% de la production mondiale d'Ă©lectricitĂ© en 2018 avec une production annuelle d'environ 4 193 TWh ;une dizaine de pays, dont quatre en Europe, produisent plus de la moitiĂ© de leur Ă©lectricitĂ© grĂące Ă lâhydraulique. La NorvĂšge vient en tĂȘte, suivie par le BrĂ©sil, la Colombie, lâIslande, le Venezuela, le Canada, lâAutriche, la Nouvelle ZĂ©lande et la France la production hydroĂ©lectrique en France mĂ©tropolitaine a atteint 60 TWh en 2019, soit 11,2% de la production nationale dâĂ©lectricitĂ© cette France mĂ©tropolitaine dispose d'environ 2 300 installations hydroĂ©lectriques, de tailles et de puissances trĂšs diverses, dont 433 sont exploitĂ©es par et prĂ©sentLes barrages moulins existent probablement depuis la prĂ©histoire mais c'est au Moyen-Ăąge qu'ils se sont fortement dĂ©veloppĂ©s en Europe pour alimenter les moulins Ă eau, moudre le blĂ©, fouler le lin, prĂ©parer le cuir, alimenter les martinets et les forges, etc. Ă la fin du XIXe siĂšcle, la turbine remplace la roue hydraulique et les premiers barrages destinĂ©s Ă la production dâĂ©lectricitĂ© font leur apparition, ce qui permet dâĂ©loigner les usines des riviĂšres et de partager lâĂ©lectricitĂ© produite par des unitĂ©s de tailles le mĂȘme sujet FICHES PĂDAGOGIQUES FICHES PĂDAGOGIQUES FICHES PĂDAGOGIQUES FICHES PĂDAGOGIQUES FICHES PĂDAGOGIQUES FICHES PĂDAGOGIQUES LâESSENTIEL DE LâACTUALITĂ LâESSENTIEL DE LâACTUALITĂ 12 fĂ©vrier 2020 QUESTIONS ET RĂPONSES QUESTIONS ET RĂPONSES IDĂES REĂUES IDĂES REĂUES INNOVATIONS ET INSOLITES INNOVATIONS ET INSOLITES LâESSENTIEL DE LâACTUALITĂ LâESSENTIEL DE LâACTUALITĂ 16 mai 2018 EnjournĂ©e, une partie de lâhuile brĂ»lante transforme de lâeau en vapeur, qui entraĂźne une turbine pour produire de lâĂ©lectricitĂ© (2). Lâautre partie transmet
Le moulin Ă eau est une machine traditionnelle, inventĂ©e dĂšs l'AntiquitĂ©, qui utilise l'Ă©nergie hydraulique, c'est-Ă -dire l'Ă©nergie des cours d'eau, pour moudre le grain, mais aussi pour toutes sortes d'applications artisanales comme des forges, des scieries et des papeteries. Sommaire 1 Historique 2 Fonctionnement et positionnement des moulins Les diffĂ©rents types de roue Bief 3 Mouture 4 Voir aussi Historique[modifier modifier le wikicode] Au Moyen Ăge, on utilise la force motrice des moulins partout en Europe pour transformer le grain en farine, les noix en huile, le chanvre en teille. Les moulins deviennent alors essentiels au sein de la vie villageoise, au mĂȘme titre que lâĂ©glise ou le chĂąteau et appartiennent gĂ©nĂ©ralement Ă des seigneurs, Ă des bourgeois aisĂ©s ou encore Ă des Ă©tablissements monastiques. L'Ăąge dâor des moulins hydrauliques se situe entre les XVIIIe et XIXe siĂšcles. Les petits moulins familiaux ou semi-artisanaux se multiplient alors sur le moindre ruisseau. Fonctionnement et positionnement des moulins[modifier modifier le wikicode] Pour fonctionner, un moulin doit disposer d'une certaine hauteur de chute d'eau sauf pour les roues au fil de l'eau qui fonctionnent plongĂ©es dans le courant. Or les moulins devaient ĂȘtre Ă proximitĂ© des villages pour permettre Ă chacun de moudre son grain. Ils ne pouvaient donc pas ĂȘtre construits sur une zone trop accidentĂ©e, oĂč l'on trouve les chutes d'eau. On a donc utilisĂ© un petit barrage de prise d'eau qui prĂ©lĂšvent une part du dĂ©bit de la riviĂšre puis un canal d'amenĂ©e aussi appelĂ© bief. Il part parfois de plusieurs centaines de mĂštres du moulin, quasi horizontalement, tandis que le cours d'eau a une pente naturelle. Ainsi, au niveau du moulin, le canal d'amenĂ©e est plus haut que la riviĂšre et. On utilise cette diffĂ©rence pour faire fonctionner les roues hydrauliques horizontales et verticales sauf celles au fil de l'eau. Il y a parfois un plan d'eau dans l'installation au bout du canal ou en travers de la riviĂšre qui sert de rĂ©servoir. La roue utilisĂ©e dĂ©pend de la hauteur de chute disponible. Au-dessus de 3 m, on trouve des roues verticales par-dessus ou des roues horizontales. En-dessous, des roues de poitrine et des roues de cĂŽtĂ©. Une fois l'eau passĂ©e dans la roue, elle passe par un canal d'Ă©vacuation, puis elle est rendue Ă la riviĂšre. Un moulin Ă eau fournit typiquement une puissance de 3 000 Ă 30 000 watts. selon le dĂ©bit qu'il est capable d'exploiter et la hauteur de la chute d'eau la diffĂ©rence entre le niveau oĂč l'eau rentre et celui oĂč elle sort. Certains anciens moulins ont Ă©tĂ© Ă©quipĂ©s pour produire de l'Ă©lectricitĂ© ou complĂštement transformĂ©s en petites centrales hydroĂ©lectriques. NĂ©anmoins la plupart des centrales hydroĂ©lectriques ont Ă©tĂ© installĂ©es sur de nouveaux sites pour exploiter une puissance beaucoup plus grande grĂące aux progrĂšs techniques et Ă la possibilitĂ© d'utiliser l'Ă©nergie ailleurs Ă distance avec l'Ă©lectricitĂ©. Les diffĂ©rents types de roue[modifier modifier le wikicode] Le grand moulin d'Arenberg XIXe sicle en Belgique, Ă©quipĂ© d'une roue verticale Les roues, organes essentiels d'un moulin, sont de diffĂ©rents types. Les roues horizontales ou verticales aboutissent Ă des architectures trĂšs diffĂ©rentes. Les roues horizontales sont moins bien connues que les verticales, car elles ne sont pas visibles depuis lâextĂ©rieur. Les roues horizontales fonctionnent grĂące Ă la force de lâeau Ă©coulement appliquĂ©e sur les pales de la roue. Lâeau provient dâun rĂ©servoir en amont. Pour augmenter la hauteur de chute de lâeau, les roues horizontales sont souvent placĂ©es sous le moulin. La roue tourne et transmet son mouvement Ă la meule. C'est d'elle en grande partie que va dĂ©pendre la qualitĂ© de la farine. Bief[modifier modifier le wikicode] SchĂ©ma de fontionnement d'un moulin Ă huile et Ă roue horizontale La mise en place d'un bief concerne surtout les moulins Ă roue horizontale, mais on en utilise pour certaines roues verticales, dites roue en dessus, roue de poitrine, et roue de cĂŽtĂ©. La roue se situe alors Ă cĂŽtĂ© du bief. Une conduite mĂšne ensuite l'eau du rĂ©servoir Ă la roue Ă travers un mur du moulin. Ă la sortie de la conduite est amĂ©nagĂ©e une vanne qui peut ĂȘtre actionnĂ©e par le meunier depuis la salle des meules. Il commande ainsi l'arrivĂ©e d'eau sur la roue. Le meunier peut ainsi Ă tout moment arrĂȘter la roue du moulin. Mouture[modifier modifier le wikicode] SchĂ©ma de fonctionnement d'un moulin Ă farine. SchĂ©ma de fonctionnement d'un moulin Ă papier. Le systĂšme de fonctionnement du moulin Ă grains repose sur l'agencement de deux meules la meule dormante » ou gisante et la meule tournante actionnĂ©e par un arbre vertical reliĂ© au rouet et Ă lâarbre moteur. Le grain est versĂ© dans un entonnoir en bois la trĂ©mie ». L'Ă©cartement entre les meules dĂ©termine la finesse de la mouture. Les deux meules - qui sont l'Ăąme vĂ©ritable du moulin - sont rainurĂ©es de stries rayonnantes ou de stries latĂ©rales pour pouvoir Ă©craser le grain par frottement. Il est important dâentretenir ces rainures trĂšs rĂ©guliĂšrement et le meunier procĂšde alors au rhabillage de la meule tournante quâil fallait sĂ©parer de la meule dormante en la soulevant Ă lâaide dâune poulie. Il fallait passer la rĂšgle, pour situer les parties usĂ©es, passer au rouge les cannelures pour vĂ©rifier leur degrĂ© de rugositĂ©, puis marteler Ă petits coups de marteau les rainures pour raviver les Ă©veillures des meules, une opĂ©ration que le meunier pouvait effectuer seul, en une nuit, avec beaucoup de patience et d'habiletĂ©. Lorsqu'il n'y a plus de grain Ă moudre, les meules offrent bien moins de rĂ©sistance Ă la roue qui accĂ©lĂšre donc. Si elle finit par arriver Ă sa vitesse critique, il peut y avoir rupture de l'axe ou d'un autre Ă©lĂ©ment du moulin. Un systĂšme indique au meunier que le niveau de grain dans le rĂ©servoir est bas. Sur certains moulins, on trouve Ă©galement une planche mobile pouvant s'interposer entre le jet et la roue. Cette mĂ©thode Ă©tait la seule utilisĂ©e avant l'utilisation de vannes suffisamment solides pour pouvoir contenir l'eau du bief. Voir aussi[modifier modifier le wikicode] Moulin Ă vent ; Ă©nergie hydraulique.InventĂ©epar deux Belges, cette sorte de moulin Ă eau des temps modernes permet de produire de lâĂ©lectricitĂ© pour des particuliers ! Et ce,
1. La retenue de l'eau Le barrage retient l'Ă©coulement naturel de l'eau. De grandes quantitĂ©s d'eau s'accumulent et forment un lac de retenue. 2. La conduite forcĂ©e de l'eau Une fois l'eau stockĂ©e, des vannes sont ouvertes pour que l'eau s'engouffre dans de longs tuyaux mĂ©talliques appelĂ©s conduites forcĂ©es. Ces tuyaux conduisent l'eau vers la centrale hydraulique, situĂ©e en contrebas. La plupart des centrales hydrauliques en France sont automatisĂ©es. Chaque centrale se met en marche selon un programme prĂ©-dĂ©fini en fonction des besoins d'Ă©lectricitĂ©. 3. La production d'Ă©lectricitĂ© Ă la sortie de la conduite, dans la centrale, la force de l'eau fait tourner une turbine qui fait Ă son tour fonctionner un alternateur. GrĂące Ă l'Ă©nergie fournie par la turbine, l'alternateur produit un courant Ă©lectrique alternatif. La puissance de la centrale dĂ©pend de la hauteur de la chute et du dĂ©bit de l'eau. Plus ils seront importants, plus cette puissance sera Ă©levĂ©e. 4. L'adaptation de la tension Un transformateur Ă©lĂšve la tension du courant Ă©lectrique produit par l'alternateur pour qu'il puisse ĂȘtre plus facilement transportĂ© dans les lignes Ă trĂšs haute et haute tension. L'eau turbinĂ©e qui a perdu de sa puissance rejoint la riviĂšre par un canal spĂ©cial appelĂ© canal de fuite.
Dela pluie, une roue et un accumulateur pour stocker lâĂ©nergie Ă©lectrique : câest Rainergy.DerriĂšre ce projet, on retrouve une jeune fille surdouĂ©e, Reyhan Jamalova, originaire dâun
Le 7 octobre 2015, une turbine hydrolique a Ă©tĂ© inaugurĂ©e prĂšs du Barrage du gouffre d'enfer Ă RochetaillĂ©e. L'objectif utiliser le dĂ©bit de l'eau qui alimente Saint-Etienne pour produire de l'Ă©nergie. La turbine hydraulique a Ă©tĂ© installĂ©e dans un bĂątiment existant. Elle est en service depuis fin aoĂ»t. Au-dessus se trouve le barrage du Pas de Riot. Il s'agit du plus ancien des barrages alimentant Saint-Etienne, il fut construit sous NapolĂ©on III. Il couvre 60 % des besoins de la ville. Il contient 975 000 m3 d'eau. L'autre barrage qui fournit Saint-Etienne est celui de local, situĂ© prĂšs du barrage du Gouffre d'enfer, permettait jusque-lĂ de "briser la charge", "c'est Ă dire d'Ă©viter que la pression de l'eau ne soit pas trop forte en arrivant Ă Saint-Etienne", prĂ©cise Bertrand Bonnard, du service de l'eau de la Ville de Saint-Etienne. "Il peut passer ici jusqu'Ă 700 litres d'eau par seconde, en fonction des besoins".Jusqu'alors, l'eau qui alimente Saint-Etienne n'Ă©tait pas utilisĂ©e pour produire de l'Ă©nergie, son Ă©nergie Ă©tait perdue. "L'idĂ©e est de rĂ©cupĂ©rer cette Ă©nergie perdue, en faisant tourner une roue, sur le mĂȘme modĂšle qu'une dynamo de vĂ©lo", indique-t-il. Un transformateur a Ă©tĂ© installĂ© prĂšs du bĂątiment de la turbine. Le maire de Saint-Etienne, GaĂ«l Perdriau, a rappelĂ© que "la turbine hydrolique est une invention stĂ©phanoise". C'est BenoĂźt Fourneyron qui a créé cet outil en derniĂšre va produire 1 500 000 KW/an, soit l'Ă©quivalent de la consommation de 1 250 habitants pour une annĂ©e en Ă©lectricitĂ©. L'investissement est de 800 000 euros, dont 85 000 financĂ©s par la RĂ©gion. En 8 ans elle devrait ĂȘtre rentabilisĂ©e. "C'est important de ne plus perdre une Ă©nergie gratuite, verte et renouvelable", lance Bertrand Bonnard. Un an de travaux ont Ă©tĂ© nĂ©cessaire pour installer la turbine. Deux autres turbines de ce type sont positionnĂ©es sur la station de l'eau de Solaure "elles permettent de couvrir 80 % des besoins Ă©lectriques de l'usine". Une troisiĂšme a Ă©tĂ© mise en place au pied du barrage de Lavalette. Elle produit l'Ă©quivalent de la consommation de 3 000