Croquer dans une galette sucrée, savourer une douzaine d’huîtres sur le port de Brest, déguster une part de kouign amann tout chaud… La gastronomie du Finistère, ce sont des dizaines de spécialités culinaires plus gourmandes les unes que les autres. Nous vous emmenons à la découverte de 10 plats typiques et incontournables ! Le kouign amann Promis, il n’est pas obligatoire de savoir le prononcer pour y goûter ! Le kouign amann est un gâteau typique breton, qui trouve son origine dans une boulangerie de Douarnenez vers 1860. Oubliez tout de suite les calories la recette traditionnelle au pliage très technique, se compose de pâte feuilletée, de sucre, et de beaucoup, beaucoup… de beurre. Le meilleur conseil pour le déguster faites-le réchauffer pour qu’il soit tiède et que le beurre vous coule sur les doigts ! Les galettes de Pont-Aven C’est en 1890, au cœur de la cité des peintres qu’Isidore Penven a créé dans sa boulangerie les galettes de Pont-Aven, de délicieux petits biscuits croquants au bon goût de beurre devenus une spécialité du sud Finistère. La recette bien gardée ravit les amateurs de traou mad » bonnes choses » en breton à l’heure du café ou pour une pause gourmande. Le kig ha farz Un pot-au-feu breton ! Le kig ha farz, spécialité originaire du nord Finistère, est un plat traditionnel composé de viandes et de légumes. Sa particularité le farz », un mélange à base de farine de froment pour le farz blanc, de sarrasin pour le farz noir. Le farz est cuit dans le sac en tissu typique, directement dans le bouillon. Si le sac peut être fabriqué maison, on le trouve aussi à l’achat comme dans le kit kig ha farz » proposé par La Chikolodenn. Et on n’oublie pas le lipig » un mélange d’oignons et de beurre déposé dans l’assiette au moment du service et qui vient accompagner le tout. Le Pâté Hénaff Le Pâté du mataf ! Une spécialité à base de porc, compagnon convivial des pique-nique, voyages et apéros improvisés entre amis, qui a même accompagné les astronautes dans l’ISS ! Le Pâté Hénaff, dans sa petite boîte bleue, est depuis toujours fabriqué à Pouldreuzic, dans le sud du Finistère. Un musée lui est dédié et les boutiques Hénaff and Co proposent plusieurs boîtes aux séries limitées. On y trouve aussi un grand choix d’épicerie fine de producteurs bretons. Fans de la marque Hénaff ? Retrouvez également une collection de vêtements personnalisés à son effigie ! Les huîtres du Belon C’est la star des tables de fête et sa renommée va bien au-delà de la Bretagne ! La Belon est une huître plate qui trouve son origine ici, dans le sud Finistère. Les huîtres sont cultivées durant 3 ans dans le golfe du Morbihan, puis viennent achever leur affinage dans la rivière du Belon. C’est le mélange d’eau de mer et d’eau douce qui leur ce petit goût de noisette si particulier. La cotriade On aime le Finistère pour ses spécialités de la mer au bon goût iodé, et la cotriade ne fait pas exception. Il s’agit d’une soupe bretonne réalisée avec plusieurs espèces de poissons. Historiquement, elle désignait la part qui était laissée au pêcheur après une marée. On peut agrémenter la cotriade de moules ou autres fruits de mer, de légumes et d’aromates, et on la sert traditionnellement avec des pommes de terre. Les oignons de Roscoff Cet oignon rosé a une saveur douce, légèrement sucrée. On l’aime en tarte, en confit, il est parfait pour accompagner le kig ha farz ou la galette saucisse ! Produit dans le nord Finistère, l’oignon rosé bénéficie d’une AOP. À Roscoff, on lui dédie même une fête chaque année au mois d’août ! On peut aussi visiter la maison des johnnies, le nom donné aux vendeurs d’oignons qui se rendaient en Grande-Bretagne par la mer. Les fraises de Plougastel Cette petite douceur sucrée fait également partie des spécialités du Finistère. De variété gariguette, elle se plaît particulièrement au climat doux et tempéré du nord de la Bretagne. On la trouve sur les marchés de producteurs dès le mois d’avril. À Plougastel-Daoulas, un musée et une fête lui sont consacrés. À découvrir également les produits d’épicerie à base de fraise de Plougastel confitures, thé et la liqueur de fraise pour des apéros bretons très fruités ! Les artichauts de Bretagne Comme pour la fraise, le climat du nord Finistère appelé la ceinture dorée » se prête particulièrement bien à la culture de l’artichaut, dont la pleine saison en Bretagne s’étale de mai à novembre. L’artichaut est présent dans des innovations culinaires et notamment des tartinables pour l’apéritif, associé à ses saveurs douces ou plus exotiques. Les saucisses de Molène Ne quittez pas le Finistère sans avoir goûté à cette spécialité ! La saucisse de Molène ou pikolenn » est fumée aux algues, pour une simple et bonne raison il n’y a pas d’arbre sur l’île Molène ! Préparez la pikolenn en cuisson lente dans une recette de ragoût ou de potée, ou appréciez-la grillée au barbecue où elle fera ressortir toutes ses saveurs ! À découvrir absolument le cassoulet breton à la saucisse de Molène, un plat original et 100 % breton ! Cette liste des spécialités du Finistère est loin d’être exhaustive ! Citons les gâteaux bretons et autres lichouseries » comme le kouign bigouden, le kouign des gras, les thés et infusions locales de chez Barrony’s ou Tonnerre de Brest, les autres produits de la mer sardines de Douarnenez, langoustines et coquillages… Mais aussi le cidre et le chouchen, à consommer avec modération ! Et pour manger local en Finistère ? Manger local en Bretagne, c’est facile, et devenir presque 100 % locavore, c’est possible ! Des plateformes comme Mangeons Local en Bretagne ou Produits valorisent le circuit court et les producteurs en permettant au consommateur de trouver les ventes directes près de chez lui.
Lekig ha farz. Recette typique bretonne, autrefois considérée comme la nourriture du pauvre. C'est le pot au feu breton, qui se démarque par l'utilisation d'une pâte à base de farine de blé noir (farz gwiniz du). Celle ci est traditionnellement cuite dans le même bouillon que la viande de bœuf ainsi que le jarret de porc salé, bien
Envie de cuisiner de la queue de lotte ? Ce poisson facile à préparer s’adapte à toutes les recettes, des plus légères aux plus gourmandes. Avec sa chair savoureuse et sans arête, la lotte est appréciée par les petits autant que par les grands ! Qu’est-ce que la queue de lotte ? La queue de lotte, c’est en réalité la queue de la baudroie, un poisson assez effrayant qui vit dans les fonds marins. Qu’on l’appelle queue de lotte ou lotte, on parle bien de la chair de sa queue. Ce poisson est commercialisé sans sa tête, donc c’est sa queue le plus souvent de belle taille que tu trouveras sur les étals. Elle se cuisine entière, en filet, en médaillon, rôtie, grillée, pochée, braisée… Comment bien choisir sa queue de lotte ? Achète ta queue de lotte idéalement en vente directe des bateaux, et sinon à la criée ou chez ton poissonnier du moment qu’elle est pêchée localement !. Ainsi, tu consommeras un produit frais et de qualité. La chair doit être blanche et tendre. Sache que la queue de lotte réduit et rend de l’eau à la cuisson Alors pour 4 personnes, choisis une queue de lotte de 1,5 kg minimum. Comment préparer de la queue de lotte ? La lotte n’a pas d’écaille, mais une peau grise qui s’enlève facilement en tirant dessus. On dit qu’on dépouille » la lotte. Décolle ensuite sa seconde peau et élimine toutes les membranes nerveuses qui seraient restées collées à la chair. Pour cette étape, sers-toi d’un couteau pointu et les petites nageoires au ciseau. Voilà, ta queue de lotte est prête à être cuisinée ! Tu peux également ôter l’épaisse arête dorsale mais ta recette sera tout aussi bonne avec. Pour cela, fais glisser un couteau bien tranchant le long de l’arête, en l’inclinant. C’est comme ça qu’on lève les filets. Sers-toi de l’arête pour concocter un délicieux fumet de poisson. Quand manger de la queue de lotte ? On trouve de la queue de lotte presque toute l’année sur les étals. Comme elle est très prisée pendant les fêtes, c’est le moment où son prix augmente. Hors saison, privilégier les conserves Ton poissonnier n’a pas de queue de lotte en ce moment ? Alors tourne-toi vers une conserverie artisanale, qui te proposera des recettes traditionnelles réalisées avec des produits locaux et du terroir ! Voir la saison des poissons 5 idées de recettes Avant de commencer, assure-toi que ta queue de lotte est parfaitement débarrassée de ses petites peaux. S’il en reste, cela va altérer la cuisson de la chair. Et maintenant, je te propose 5 façons différentes de cuisiner la queue de lotte ! 1 – Queue de lotte à la plancha Lève tes filets, coupe-les en deux et recouvre-les d’une marinade d’huile d’olive, sel, poivre, persil, ail haché et autres condiments de ton choix. Laisse tes flets mariner au frais au moins 1 h. Cuis tes morceaux de queue de lotte sur une plancha bien chaude pendant 5 min, en les retournant à mi-cuisson. 2 – Queue de lotte au lard Pour une queue de lotte de 1,5 kg préchauffe le four à 210 degrés ; barde ta queue de lotte d’une dizaine de tranches de lard et ficelle-la comme un rôti ;dépose-la dans un plat sur un lit d’oignons émincés, et arrose le tout d’huile et de condiments ; fais cuire 30 minutes en arrosant la lotte régulièrement ; sers avec des champignons poêlés. 3 – Queue de lotte à la poêle Pour cette recette ultra rapide, commence par lever tes filets puis coupe-les en 2 ; roule-les dans la farine ; fais-les revenir 10 min à la poêle dans du beurre salé en ajoutant de l’ail et du persil à mi-cuisson. 4 – Queue de lotte à la provençale Fais revenir un oignon émincé dans de l’huile puis ajoute 3 tomates et 2 gousses d’ail écrasées, un demi-verre de vin blanc sec et un bouquet ta queue de lotte coupée en morceaux, puis couvre et laisse cuire 20 minutes. Sale, poivre, met un peu de piment, puis sers avec des pommes de terre. 5 – Queue de lotte à la vapeur La queue de lotte est délicieuse en sauce, mais tu peux la cuisiner de façon plus diététique détaille tes petits légumes et fais-les cuire 20 min dans ton cuit-vapeur ; ajoute ta queue de lotte coupée en tranches et laisse cuire encore 10 min ; sers avec une sauce au fromage blanc relevée d’un jus de citron, de sel et de poivre. Alors, laquelle de ces recettes de queue de lotte te tente le plus ?Description Pendant l'été 2014, alors que je travaillais à l'élaboration d'un projet d'activité indépendante, un ami restaurateur m'a demandé de préparer un kig ha farz dans son établissement à l'occasion d'une soirée bretonne animée par mon compagnon musicien. Le succès fut au rendez-vous ce qui donna l'idée d'un concept de soirée traditionnelle festive clé en main avec repas et animation musicale d'où le nom MIAM GLOU ZICK » on mange bien, on boit un coup et on écoute de la bonne musique. Proposée dans un premier temps aux bars et restaurants du secteur, la formule intéresse aussi des associations, comités d'entreprises et particuliers qui aujourd'hui font appel à nos services même au delà de notre belle région. Jusqu'à présent j'ai autofinancé l'achat des différents matériels indispensables à l'exercie de l'activité, mais au vu de l'évolution des prestations distance, quantités, etc. Un investissement supplémentaire va s"avérer nécessaire. Par ailleurs, ce repas typiquement finistérien originaire du Léon rencontre un vif succès, à tel point que nombre d'estivants et/ou de bretons expatriés m'ont sollicitée à plusieurs reprises pour pouvoir en rapporter dans leurs valises. Suggestion sympathique au demeurant mais fort peu pratique... J'ai donc ressorti de mes cartons une idée qui m'était venue il y a quelques temps déjà, à savoir adapter cette recette familiale à la mise en conserve. Le Kig ha Farz Pour ceux qui ne connaissent pas, le kig ha farz traduction littérale viande et far c’est en quelque sorte le pot au feu breton on fait cuire dans un bouillon les légumes choux, carottes, poireaux, etc., les viandes lard et/ou jarret de porc ½ sel, bœuf, parfois poule ainsi que le fameux far noir pâte à base de farine de sarrasin dans son sac de toile. Certains font également un far doux à base de froment. Pour la dégustation, après avoir préparé son estomac en commençant par un bol de bouillon aux petits légumes, on savoure la viande accompagnée du far noir arrosé de lipig sauce à base de beurre et d’échalotes, bref que du bon. Le repas se termine généralement par un far blanc nature, aux raisins, aux pruneaux ou même aux pommes. Qui suis-je ? Fille de paysans bretons, je suis une enfant loup » Trégoroise élevée par une tribu de Léonards ce n'est pas de ma faute si je suis née du bon côté de la rivière… mais je dois avouer qu'ils m'ont, entre autres, transmis un véritable trésor culinaire à savoir la recette du kig ha farz. Régulièrement nous dégustions ce plat les dimanches et jours de fête et, à bientôt 49 ans je peux dire que cela fait quasiment 40 ans que j'ai appris à cuisiner toujours avec le même plaisir ce plat typique du Léon Finistère nord. Utilisation des fonds Les € récoltés me permettront de renforcer l'activité de traiteur et lancer une gamme de produits traditionnels en bocaux. 1 Renforcer mon activité de traiteur auprès des particuliers, associations, comités d'entreprises... en faisant l'acquisition de matériel traiteur complémentaire. -Lot de 100 couverts complet assiettes, verres, couverts -2 caissons isothermes -2 Marmites 100l -2 Réchaud gaz -10 Bacs gastro inox Montant total € 2 Lancer la gamme de produits traditionnels en bocaux avec la mise en fabrication de conserves -Le 1er lot en conserverie -Tests qualité -Le packaging -Le dépôt de marque -L’étiquetage Montant total € Si l'objectif de la collecte est dépassé le surplus récolté servira à la création d'un site internet.
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Parune vente de kig ha farz à emporter, l’association d’Ergué-Gabéric (Finistère), Ergué Togo, espère récolter de nouveaux fonds à envoyer au