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Didier-Marie Golay Thérèse de Lisieux sans doute la sainte française la plus populaire au monde, la plus connue, mais aussi la plus mystérieuse… À travers plus de 450 photographies et de nombreux encarts historiques, géographiques et thématiques, cet album nous fait pénétrer dans l’univers de la plus grande sainte des temps modernes » pour la découvrir dans la simplicité de sa vie quotidienne et de ses relations humaines et spirituelles. Il nous invite à une rencontre personnelle avec Thérèse qui s’écrie Je suis ta soeur, ton amie, toujours je veillerai sur toi », et à découvrir sa spiritualité de la petite voie ». Patronne des missions, Docteur de l’Église, la carmélite morte à 24 ans n’a pas fini de nous surprendre et de répandre son message sur la terre. Toute sa vie est résumée dans le poème Vivre d’amour » amour vécu au quotidien dans les joies et les épreuves de la vie, dans les souffrances intérieures et extérieures. Vivre d’amour, c’est un programme de vie, mais c’est surtout une grâce à demander par l’intercession de la Petite Thérèse ». Un album pour vivre d’amour » à son tour. Le père Didier-Marie Golay, chapelain à Lisieux, est membre de la Province de Paris de l’Ordre des Carmes déchaux. Il est co-commissaire de l’exposition Thérèse de Lisieux ou la brûlure d’amour » qui voyage en France et dans le monde entier. Il a participé à la réalisation du mémorial Sainte- Thérèse au carmel de Lisieux et au cloître de la miséricorde de la basilique Sainte-Thérèse. 21 x 26 cm - 320 pages Album grand Format - 450 photographies éditions du Cerf
En2013, Natasha St-Pier portait avec d’autres artistes de renom tels que Grégoire, Grégory Turpin, Anggun notamment, un projet ambitieux autour d’une musique d’inspiration religieuse à destination du grand public. La mise en parole et en chanson de certains poèmes de Sainte Thérèse de Lisieux ont en effet donné lieu à la sortie d
Sophie de Villeneuve Souvent, à la messe, nous chantons ce poème de Thérèse de Lisieux Aimer, c’est tout donner et se donner soi-même. » Tout donner, n’est-ce pas un peu trop ?R. B. En effet, ce sont des paroles très exigeantes et mystérieuses. Si elles sont mal entendues, elles peuvent être source de crispations ou de culpabilisation si l’on croit qu’on n’en fait jamais assez, ce qui n’apporte pas grand-chose à la foi paroles ne nous conduisent-elles pas sur des chemins inaccessibles pour la plupart ?R. B. Elles peuvent nous amener à une posture volontariste, sur laquelle on peut se crisper, se fermer, se durcir, dans l’idée qu’il faudrait toujours en faire davantage, ce qui n’est guère peut-on dire alors de ce texte de Thérèse de Lisieux, qui est pourtant très beau ?R. B. Je pense que Thérèse a dû vivre cela peu à peu, à petites touches. Je ne sais pas si on peut tout donner de sa vie. Je crois qu’on expose sa vie un peu à la fois, qu’on l’ouvre ou qu’on la livre un peu à la fois. Il ne s’agit pas de vouloir tout donner à Dieu, mais d’accueillir la vie que Dieu nous donne et de lui répondre. Pour moi, c’est de ce côté-là que se situe le désir de voulez dire que le désir de Dieu est que nous l’accueillions de mieux en mieux au cours de nos vies ?R. B. Il y a à ce sujet un très beau texte dans le livre de Michée. Le prophète se demande ce qui plairait à Dieu qu’il offre ses taureaux et fasse couler leur sang sur les autels ? Il sent bien que non. Qu’il fasse couler des torrents d’huile sur les tables du Temple ? Non plus. Il se pose alors la question d’un sacrifice beaucoup plus douloureux Ferait-il plaisir à Dieu que je lui donne mon propre fils, la prunelle de mes yeux ? Il sent bien à nouveau que ce n’est pas ce que Dieu attend. Vient alors ce texte magnifique On t’a fait savoir, homme, ce que Dieu attend de toi, rien d’autre que agir selon la justice, aimer avec tendresse et marcher humblement avec ton Dieu » Mi 6, 8. Je crois que tout donner », c’est cela. Cela n’a rien à voir avec un effort surhumain, c’est un compagnonnage d’ concilier une vie que l’on aimerait accueillante à l’amour de Dieu, avec la difficulté que nous avons à reconnaître la volonté de Dieu dans nos vies qui sont parfois difficiles ?R. B. Il faut s’entendre sur ce que l’on veut dire par volonté de Dieu ». C’est une expression très piégée. Dieu n’a pas de volonté particulière sur les êtres humains, je ne le crois pas en tout cas. Je crois que l’unique désir de Dieu est que nous déployions, chacun, ce que nous portons au plus intime de notre être. Tout notre travail – et c’est parfois un travail difficile et douloureux – consiste à découvrir ce que nous sommes dans les profondeurs, et à déployer nos talents et nos capacités. Ce que Dieu attend de nous, c’est que nous déployions le meilleur de êtes l’auteur d’un livre sur Madeleine Delbrêl, qui montre bien pourtant qu’elle a donné sa vie à quelque chose qui la dépassait… Elle a renoncé à beaucoup de Je dirais qu’elle a donné sa vie sou après sou. Elle a renoncé à certaines choses comme nous-mêmes y sommes appelés quelquefois. On ne renonce pas par héroïsme, mais parce qu’on croit prendre ainsi un chemin qui sera plus juste pour soi. Nous cherchons la vie, et acquiescer à la vie demande par moments de renoncer à certaines cela fait parfois passer par des moments difficiles. Madeleine Delbrêl en a connu…R. B. En effet. Après sa conversation, elle s’est prise à rêver de devenir carmélite. Elle aurait voulu, justement, tout donner à Dieu. Mais ce fantasme qu’elle portait en elle a été rattrapé par la vie, notamment par la maladie de son père. Fille unique, elle ne pouvait pas abandonner ses parents dans cette épreuve. Elle a donc décidé de renoncer au Carmel. C’est la vie elle-même qui appelle à certains renoncements, et Madeleine en a connu d’autres. Elle appelait cela la passion des patiences ». Il nous faut beaucoup de patience dans la a aussi connu la déception d’un amour qui ne s’est pas réalisé… Et elle a été souvent B. Elle avait en effet une petite santé. Elle a dû obéir à cette réalité, et renoncer à vivre certaines choses. Mais elle ne l’a pas décidé, il y a ce ne serait donc pas tout donner », mais consentir à ce qui vient, et qui nous fait parfois changer de route…R. B. Il s’agit d’abord d’écouter et de regarder la vie, de chercher avec d’autres le sens des événements. Et, à partir de là, d’ajuster notre vie à la réalité. Je crois vraiment que c’est à cela que la foi chrétienne nous invite. C’est ainsi que Madeleine a cheminé avec ses compagnes de route, avec qui elle avait formé une petite communauté. Elle a pris le temps, régulièrement, d’en relire l’histoire, d’accueillir les gens, de chercher à comprendre le sens des événements, d’y ajuster sa vie et d’être ainsi dans la banalité du quotidien devrait-il être notre chemin à tous ?R. B. C’est ce qui fait la sainteté des gens ordinaires que Madeleine aimait évoquer. Le pape François, quand il parle des saints de la porte d’à côté », reprend cette thématique. La sainteté à laquelle nous sommes appelés n’est pas une forme d’héroïsme, c’est une sainteté ordinaire qui se tisse au fil des jours. Madeleine disait que Dieu préfère sûrement quelqu’un qui offre un anneau de cuivre avec beaucoup d’amour, que celui qui offre un anneau d’or sans trop béatification de Madeleine Delbrêl est en cours. L’héroïcité de ses vertus a été reconnue en 2018. Est-elle une sainte pour notre temps, qui peut nous aider à vivre nos difficultés ?R. B. Oui, car c’est une femme que l’on pourrait croiser dans n’importe laquelle de nos rues. Elle ne se distingue pas par de grandes déclarations ou de grandes réalisations. Elle a vécu dans l’étroitesse d’un quartier, rue Raspail à Ivry-sur-Seine pendant trente ans, dans la fidélité au quotidien, dans la rencontre avec des gens simples, dans l’hospitalité qu’elle a exercée et développée. Mais quelque chose de l’Évangile s’est bien joué dans sa vie, dans son ici et maintenant ».
Vivred’Amour, c’est vivre de ta vie, Roi glorieux, délice des élus. Tu vis pour moi, caché dans une hostie Je veux pour toi me cacher, ô Jésus ! A des amants, il faut la solitude Un coeur à coeur qui dure nuit et jour Ton seul regard fait ma béatitude Je vis d’Amour ! Vivre d’Amour, ce n’est pas sur la terre Fixer sa tente au sommet du Thabor.Natasha Saint-Pier revient interpréter Thérèse Vivre d'amour, un Album à succès sorti en 2013, qui avait donné lieu à peu de représentations. Cette année, une tournée en trois dates est conduite par la chanteuse pop, dont Ambert, ce dimanche. Les poèmes de sainte Thérèse, écrits au XIX e siècle, sont remis à l'honneur à la demande de son public. Absente de la scène depuis 2015, Natacha St Pier se livre sur sa réappropriation des poèmes de la religieuse et sa tournée dans les églises. Comment est né le projet de l'album Thérèse Vivre d'amour » avec le compositeur Grégoire ? Grégoire a mis en musique certains poèmes de Thérèse et par la suite, on m'a proposé d'interpréter ces textes. Les poèmes de Thérèse m'ont beaucoup parlé. Ils ont une modernité indéniable. Comment avez-vous travaillé autour de ces textes du XIX e siècle ? Cela peut paraître bizarre de travailler face à des textes du XIX e siècle, on est face à un vocabulaire et des idées qui ne sont plus les mêmes aujourd'hui. Mais très étrangement, je pense que Thérèse est une femme très moderne. Le fait qu'elle soit très jeune, elle est décédée à l'âge de 24 ans. Donc sa poésie, elle l'a écrite dans sa vie de très jeune adulte. On est face à des textes très purs et très forts. Il n'y a rien de compliqué dans sa prose et cela augmente la puissance de son message. On ne se perd pas dans sa poésie. Elle est très nature, facile à chanter et à comprendre. Vous êtes-vous réappropriés entièrement ses textes ? Sa poésie n'est pas écrite de manière à être chantée. Certains poèmes sont très courts, du coup on les a répétés sous forme de refrain. Puis d'autres sont longs, comme Vivre d'amour. Donc on en a gardé une partie. Mais on n'a jamais fait de petits découpages à l'intérieur des textes. Il n'y a pas de phrases sautées puis une autre gardée. On a conservé la nature du poème et sa pensée. C'est justement sa pensée qui vous a séduit pour participer au projet ? Je la trouv e très moderne. À l'époque, et peut-être encore aujourd'hui dans certaines communautés, la religion catholique a pu être très rigide et souvent culpabilisante. Thérèse est l'une des premières personnes à dire "Arrêtons de nous flageller". Dans l'un de ses poèmes, elle dit "je ne suis qu'une pâquerette au milieu d'un champ de rose mais Dieu m'aime". C'est une façon de dire "Je ne suis pas parfaite, je ne sors pas du lot, je n'ai pas besoin, parce que Dieu m'aime". Pour la première fois dans la religion, on se retrouve avec des textes qui ne sont pas culpabilisants. Cette idée d'amour est accessible à tout le monde. Recevez par mail notre newsletter loisirs et retrouvez les idées de sorties et d'activités dans votre région. Les poèmes ont une modernité indéniable » Dans votre vie privée vous attachez de l'importance à la religion ? Je ne le cache pas, je suis catholique, baptisée et croyante. Il y a une grande place dans ma vie pour la spiritualité. Aller à la messe tous les dimanches, ce n'est pas possible pour moi. Je pense que l'on peut pratiquer sa foi en dehors de l'église. L'album est sorti en 2013, pourquoi refaire une tournée cinq ans après ? La tournée a commencé autour de la période de Noël. C'est devant une demande que les promoteurs m'ont proposé de le rejouer. Thérèse n'a pas été beaucoup jouée. On a fait quelques spectacles dans la région parisienne et sur Lisieux. Déjà à l'époque, le producteur de la tournée voulait faire un spectacle multi-artistique. Mais arriver à coordonner les agendas de plusieurs artistes est compliqué. Cela limite le nombre de dates. Puis après, sûrement pour des raisons techniques de marketing que je ne maîtrise pas… J'ai eu envie de rechanter ces textes parce qu'ils me plaisent. Surtout pendant la période de Noël, je trouvais cela très intéressant. Donc là, ils nous restent trois dates en janvier et cela me plaît énormément de revivre ça. Comment abordez-vous la rencontre avec le public dans une église ? C'est différent. J'ai fait une tournée Confidence autour d'un piano » où je suis dans des petites jauges, entre 500 et places. Les gens viennent écouter un spectacle très intimiste. Mais ce n'est pas la même chose que dans une église. On ressent une spiritualité et une énergie » Le lieu lui-même fait que les gens n'y rentrent pas de la même manière que dans une salle de spectacle. Déjà la beauté du lieu, tous ces vitraux… C'est en général très apaisant et, que l'on croit ou non, je pense que l'on ressent une certaine spiritualité et une énergie. Y a-t-il une retenue dans votre prestation ? Non, il n'y a pas de retenue parce que je chante les textes de Thérèse. Elle a été une carmélite, une religieuse qui était au carmel. Donc finalement, je n'ai aucune retenue à chanter ses textes. Je pense même qu'on a envie de les faire vivre. Les gens qui viennent pour Thérèse et mon public, qui me suit depuis longtemps, tous sont assez surpris de ce qu'ils ressentent pendant le spectacle. Des émotions plus profondes que d'habitude. Le passage à Ambert, dans l'église saint-Jean, était-il prévu ? Cela s'est fait sur le tas mais c'est un plaisir de rajouter en janvier trois dates pour clore cette tournée. Avez-vous d'autres projets en France ? Je retourne au Canada en février-mars pour une tournée de spectacles là-bas. Et après je serai en studio pour un nouveau projet d'album qui verra le jour en fin d'année. Julien Penot ambert
Vivred'Amour. Un poème de Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus. Interprété par Sylvie Buisset. Extrait de l'Album "Vivre d'Amour" Posté par fmonvoisin à 17:45 - Vidéos - Commentaires [1] - Permalien Tags : Communauté des Béatitudes, Poèmes de Sainte Thérèse, Renouveau Charismatique, Sainte Thérèse de Lisieux, Sylvie Buisset, Vidéos, Vivre d'Amour. 02 novembreVIVRE D'AMOUR » Cantique de Ste Thérèse de Lisieux, 1895, chanté par le Choeur des Carmélites de France Thérèse Martin, devenue "Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte-Face" en entrant au Carmel un couvent de religieuses, a été proclamée Docteur de l'Église en 1997. Spécialité science de l'Amour. Paroles Au soir d’Amour, parlant sans parabole Jésus disait "Si quelqu’un veut m’aimer Toute sa vie qu’il garde ma Parole Mon Père et moi viendrons le visiter. Et de son cœur faisant notre demeure Venant à lui, nous l’aimerons toujours !… Rempli de paix, nous voulons qu’il demeure En notre Amour !…" Vivre d’Amour, c’est te garder Toi-Même Verbe incréé, Parole de mon Dieu, Ah ! tu le sais, Divin Jésus, je t’aime L’Esprit d’Amour m’embrase de son feu C’est en t’aimant que j’attire le Père Mon faible cœur le garde sans retour. O Trinité ! vous êtes Prisonnière De mon Amour !… Vivre d’Amour, c’est vivre de ta vie, Roi glorieux, délice des élus. Tu vis pour moi, caché dans une hostie Je veux pour toi me cacher,ô Jésus ! A des amants, il faut la solitude Un cœur à cœur qui dure nuit et jour Ton seul regard fait ma béatitude Je vis d’Amour !… Vivre d’Amour, ce n’est pas sur la terre Fixer sa tente au sommet du Thabor. Avec Jésus, c’est gravir le Calvaire, C’est regarder la Croix comme un trésor !… Au Ciel je dois vivre de jouissance Alors l’épreuve aura fui pour toujours Mais exilée je veux dans la souffrance Vivre d’Amour. La suite sur Interprétations
Mes armes d'après les poèmes de Sainte-Thérèse de Lisieux LyricsÔ pauvreté mon premier sacrificeJusqu'à la mort tu me suivras partoutCar je le sais, pour courir dans la liceL'athlète doit se détacher de toutGoûtez, mondains, le remords et la peineCes fruits amers de votre vanitéJoyeusement, moi je cueille en l'arèneLes palmes de la pauvretéL'ange orgueilleux au sein de la lumièreS'est écrié "Je n'obéirai pas!"Moi je m'écrie dans la nuit de la terreJe veux toujours obéir ici-basJe sens en moi naitre une sainte audaceDe tout l'enfer je brave la fureurL'obeissance est ma forte cuirasseEt le bouclier de mon cœurSi du guerrier j'ai les armes puissantesSi je l'imite et lutte vaillammentComme la Vierge aux grâces ravissantesJe veux aussi chanter en combattantEn souriant je brave la mitrailleEt dans tes bras Ô mon Époux DivinEn chantant je mourrai sur le champ de batailleLes armes à la mainEn souriant je brave la mitrailleÔ mon Époux DivinJe mourrai sur le champ de batailleLes armes à la mainSur le champ de batailleLes armes à la mainLes armes à la mainLyrics powered by from Thérèse, vivre d'amour d'après les poèmes de Sainte-Thérèse de Lisieux LoadingYou Might Like LoadingFAQs for Mes armes d'après les poèmes de Sainte-Thérèse de Lisieux
1er octobre Sainte Thérèse de Lisieux » Poême de Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus et de la Sainte Face. » Mes armes (Ste Thérèse de Lisieux) : chant par Natasha St Pier et Sonia Lacen » Dans le coeur de l'Eglise ma mère, je serai l'Amour (Ste Thérèse de Lisieux) Permission de ce forum: Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum: Forum